[article] in Santé mentale > 269 (Juin 2022) . - p. 30-35 Titre : | "Je ne voulais pas mourir, juste me tuer " | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Xavier Pommereau | Année de publication : | 2022 | Article en page(s) : | p. 30-35 | Note générale : | Cet article fait partie du dossier "Adolescence : de la dépressivité à la dépression". | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Adolescents Crise sanitaire Ecoute thérapeutique Facteurs de risque Fragilité Groupe Socio-Culturel Suicide Souffrance psychique | Résumé : | Le projet suicidaire à l'adolescence ne vise généralement pas la mort pour «cesser d'être», mais plutôt un changement d'état pour en finir avec cette vie-là, faire cesser les tourments intérieurs, reprendre la main sur l'adversité et nourrir l'attente d'une «vie meilleure».
La «suicidalité» est un néologisme qui définit l'ensemble des idées noires plus ou moins fugaces, des pensées morbides insistantes et récurrentes et des passages à l'acte pouvant conduire au suicide. On y associe habituellement les automutilations, même si la finalité suicidaire n'est pas engagée, car ces actes de rupture autoagressifs sont fréquemment retrouvés dans les antécédents des jeunes suicidaires. |
[article] "Je ne voulais pas mourir, juste me tuer " [Livres, articles, périodiques] / Xavier Pommereau . - 2022 . - p. 30-35. Cet article fait partie du dossier "Adolescence : de la dépressivité à la dépression". Langues : Français ( fre) in Santé mentale > 269 (Juin 2022) . - p. 30-35 Mots-clés : | Adolescents Crise sanitaire Ecoute thérapeutique Facteurs de risque Fragilité Groupe Socio-Culturel Suicide Souffrance psychique | Résumé : | Le projet suicidaire à l'adolescence ne vise généralement pas la mort pour «cesser d'être», mais plutôt un changement d'état pour en finir avec cette vie-là, faire cesser les tourments intérieurs, reprendre la main sur l'adversité et nourrir l'attente d'une «vie meilleure».
La «suicidalité» est un néologisme qui définit l'ensemble des idées noires plus ou moins fugaces, des pensées morbides insistantes et récurrentes et des passages à l'acte pouvant conduire au suicide. On y associe habituellement les automutilations, même si la finalité suicidaire n'est pas engagée, car ces actes de rupture autoagressifs sont fréquemment retrouvés dans les antécédents des jeunes suicidaires. |
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