Titre : | La maison de l'aube | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | N. Scott Momaday (1934-....), Auteur ; Daniel Bismuth (1955-....), Traducteur ; Yves Berger (1931-2004), Préfacier, etc. | Editeur : | Monaco : Éd. du Rocher | Année de publication : | 1993 | Collection : | Nuage rouge, ISSN 1815-1817 | Importance : | 277 p. | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 23 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 2-268-01491-6 | Prix : | 120 F | Langues : | Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) | Index. décimale : | 82-3 Oeuvres de fiction. Prose narrative | Résumé : | «Dans ce livre gorgé d'espace, d'infini, de violence, de cruauté et de mort, pas un personnage qui n'ait le goût et le sens de l'invisible, pas un personnage qui ne tente de voir au-delà et, quelquefois, y réussit. La maison de l'aube parle d'un temps presque révolu, retenu ici et là comme la robe sur laquelle on tire, le monde de la nature avec les nuages, la pluie, les arcs-en-ciel, les étoiles - quelque chose que nous avons cessé de voir et de savoir ou, plutôt, que nous ne savons plus voir et reconnaître !
À le (res)susciter, Scott Momaday excelle, comme il excelle à restituer l'ambiguïté du monde indien, en équilibre instable entre hier et aujourd'hui, le sacré et le profane, les dieux ou Dieu, les dieux ou rien, le calumet de la paix et la cigarette, la noblesse et une déchéance...»
Yves Berger. |
La maison de l'aube [Livres, articles, périodiques] / N. Scott Momaday (1934-....), Auteur ; Daniel Bismuth (1955-....), Traducteur ; Yves Berger (1931-2004), Préfacier, etc. . - Monaco : Éd. du Rocher, 1993 . - 277 p. : couv. ill. en coul. ; 23 cm. - ( Nuage rouge, ISSN 1815-1817) . ISBN : 2-268-01491-6 : 120 F Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng) Index. décimale : | 82-3 Oeuvres de fiction. Prose narrative | Résumé : | «Dans ce livre gorgé d'espace, d'infini, de violence, de cruauté et de mort, pas un personnage qui n'ait le goût et le sens de l'invisible, pas un personnage qui ne tente de voir au-delà et, quelquefois, y réussit. La maison de l'aube parle d'un temps presque révolu, retenu ici et là comme la robe sur laquelle on tire, le monde de la nature avec les nuages, la pluie, les arcs-en-ciel, les étoiles - quelque chose que nous avons cessé de voir et de savoir ou, plutôt, que nous ne savons plus voir et reconnaître !
À le (res)susciter, Scott Momaday excelle, comme il excelle à restituer l'ambiguïté du monde indien, en équilibre instable entre hier et aujourd'hui, le sacré et le profane, les dieux ou Dieu, les dieux ou rien, le calumet de la paix et la cigarette, la noblesse et une déchéance...»
Yves Berger. |
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