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Maisons de Naissance: l'exemple australien |
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Ajouter le résultat dans votre panierMaisons de Naissance / Emilie Clady in Les Dossiers de l'Obstétrique, 408 (Octobre 2011)
in Les Dossiers de l'Obstétrique > 408 (Octobre 2011) . - p. 3-10
Titre : Maisons de Naissance : l'exemple australien Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Emilie Clady Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 3-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Australie Centres de naissance Témoignage Résumé : L'expérimentation des maisons de naissance en France, a été proposée au vote du Parlement par le Gouvernement dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2011. Après des débats animés et le renforcement des conditions de sécurité de ces nouvelles structures, l'Assemblée nationale et le Sénat ont approuvé cette expérimentation en novembre 2010. Le Conseil constitutionnel a néanmoins estimé qu'elle n'avait pas un effet suffisant sur les finances des régimes d'assurance-maladie pour figurer dans une loi de financement de la Sécurité sociale et a invalidé l'article qui l'instaurait. En mai 2011, un nouveau projet de loi a été soumis au Sénat pour demander l'autorisation de créer à titre expérimental des structures dénommées "Maisons de naissance", où des sages-femmes réalisent l'accouchement des femmes enceintes dont elles ont assuré le suivi de grossesse, dans les conditions prévues aux articles L. 4151-1 et L. 4151-3 du code de la Santé publique (Dini, 2011). Ces autorisations d'expérimentations portent sur une durée maximale de cinq ans. [article] Maisons de Naissance : l'exemple australien [Livres, articles, périodiques] / Emilie Clady . - 2011 . - p. 3-10.
Langues : Français (fre)
in Les Dossiers de l'Obstétrique > 408 (Octobre 2011) . - p. 3-10
Mots-clés : Australie Centres de naissance Témoignage Résumé : L'expérimentation des maisons de naissance en France, a été proposée au vote du Parlement par le Gouvernement dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2011. Après des débats animés et le renforcement des conditions de sécurité de ces nouvelles structures, l'Assemblée nationale et le Sénat ont approuvé cette expérimentation en novembre 2010. Le Conseil constitutionnel a néanmoins estimé qu'elle n'avait pas un effet suffisant sur les finances des régimes d'assurance-maladie pour figurer dans une loi de financement de la Sécurité sociale et a invalidé l'article qui l'instaurait. En mai 2011, un nouveau projet de loi a été soumis au Sénat pour demander l'autorisation de créer à titre expérimental des structures dénommées "Maisons de naissance", où des sages-femmes réalisent l'accouchement des femmes enceintes dont elles ont assuré le suivi de grossesse, dans les conditions prévues aux articles L. 4151-1 et L. 4151-3 du code de la Santé publique (Dini, 2011). Ces autorisations d'expérimentations portent sur une durée maximale de cinq ans.
in Les Dossiers de l'Obstétrique > 408 (Octobre 2011) . - p. 12-17
Titre : Inhibition de la lactation dans le post-partum : bromocriptine vs cabergoline (Etude prospective, comparative réalisée auprès de 99 patientes à Necker et Port-Royal) Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Brune Galouzeau de Villepin Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 12-17 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lactation Période du postpartum Résumé : Objectifs: Comparer l'efficacité et la tolérance de la bromocriptine (2.5 mg *2/jour pendant 21 jours) avec la cabergoline (1 mg dose unique), dans le cas de l'inhibition de la montée laiteuse.
Matériel et méthodes: Il s'agit d'une étude comparative, prospective, menée à Necker et Port-Royal auprès de 99 patientes réparties en 2 groupes: 52 patientes sous Parlodel vs 47 patientes sous Dostinex. Les femmes ont dû remplir 2 questionnaires: l'un en suites de couches, puis l'autre 21 jours après.
Résultats: 36 % (19/52) des patientes sous bromocriptine se sont plaintes d'effets indésirables contre 17 % (8/47) dans le groupe cabergoline (en particulier, lors de l'installation du traitement, on a recensé des sensations de vertiges, nausées, céphalées...). 25 % (13 sur 52) des patientes traitées par Parlodel 2.5 mg ont interrompu leur traitement dans les 3 semaines du post-partum. Le taux de réussite de ces deux agonistes dopaminergiques, s'élève à 78 % pour la bromocriptine vs 85 % pour la cabergoline . lorsqu'on évalue l'efficacité du traitement, 3 semaines après l'accouchement, le taux d'effets rebonds est similaire dans les deux groupes (4%). A condition que la bromocriptine ait une durée de traitement totale de 21 jours et que la cabergoline soit administrée dans les premières 24 heures suivant l'accouchement.
Conclusions: Une dose unique de cabergoline 1 mg est au moins aussi efficace que 2.5 mg *2/jour de bromocriptine pendant 21 jours de traitement. De par sa simplicité de prise et son meilleur rapport bénéfice-risque, la cabergoline devrait être l'agoniste dopaminergique de première intention, dans la prise en charge de l'inhibition de la lactation dans le post-partum immédiat. Néanmoins, avant toute prescription, il faut bien s'assurer de l'absence de contre-indication, car les agonistes dopaminergiques ne sont pas dénués de tout risque.[article] Inhibition de la lactation dans le post-partum : bromocriptine vs cabergoline (Etude prospective, comparative réalisée auprès de 99 patientes à Necker et Port-Royal) [Livres, articles, périodiques] / Brune Galouzeau de Villepin . - 2011 . - p. 12-17.
Langues : Français (fre)
in Les Dossiers de l'Obstétrique > 408 (Octobre 2011) . - p. 12-17
Mots-clés : Lactation Période du postpartum Résumé : Objectifs: Comparer l'efficacité et la tolérance de la bromocriptine (2.5 mg *2/jour pendant 21 jours) avec la cabergoline (1 mg dose unique), dans le cas de l'inhibition de la montée laiteuse.
Matériel et méthodes: Il s'agit d'une étude comparative, prospective, menée à Necker et Port-Royal auprès de 99 patientes réparties en 2 groupes: 52 patientes sous Parlodel vs 47 patientes sous Dostinex. Les femmes ont dû remplir 2 questionnaires: l'un en suites de couches, puis l'autre 21 jours après.
Résultats: 36 % (19/52) des patientes sous bromocriptine se sont plaintes d'effets indésirables contre 17 % (8/47) dans le groupe cabergoline (en particulier, lors de l'installation du traitement, on a recensé des sensations de vertiges, nausées, céphalées...). 25 % (13 sur 52) des patientes traitées par Parlodel 2.5 mg ont interrompu leur traitement dans les 3 semaines du post-partum. Le taux de réussite de ces deux agonistes dopaminergiques, s'élève à 78 % pour la bromocriptine vs 85 % pour la cabergoline . lorsqu'on évalue l'efficacité du traitement, 3 semaines après l'accouchement, le taux d'effets rebonds est similaire dans les deux groupes (4%). A condition que la bromocriptine ait une durée de traitement totale de 21 jours et que la cabergoline soit administrée dans les premières 24 heures suivant l'accouchement.
Conclusions: Une dose unique de cabergoline 1 mg est au moins aussi efficace que 2.5 mg *2/jour de bromocriptine pendant 21 jours de traitement. De par sa simplicité de prise et son meilleur rapport bénéfice-risque, la cabergoline devrait être l'agoniste dopaminergique de première intention, dans la prise en charge de l'inhibition de la lactation dans le post-partum immédiat. Néanmoins, avant toute prescription, il faut bien s'assurer de l'absence de contre-indication, car les agonistes dopaminergiques ne sont pas dénués de tout risque.
in Les Dossiers de l'Obstétrique > 408 (Octobre 2011) . - p. 18-26
Titre : Pathologies graves et grossesse : le médicament, un espoir pour les femmes Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Catherine Thenes Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 18-26 Langues : Français (fre) Mots-clés : Grossesse Préparations pharmaceutiques Traitement antiretroviral VIH (Virus de l'Immunodéficience Humaine) Résumé : Le médicament a une place paradoxale chez la femme enceinte. Le premier paradoxe concerne l'utilisation du médicament pendant la grossesse. Le risque lié à l'exposition à un médicament pendant cette période suscite des craintes au sein du corps médical et du public. Tous s'accordent à penser que la femme enceinte doit éviter l'absorption de médicaments et cependant les études publiées sur le sujet montrent que 80 à 95 % des femmes ont eu moins une prescription de médicaments pendant ces neuf mois. Une récente étude française rapporte que le nombre de principes actifs prescrits pendant la grossesse varie de 0 à 76 avec une moyenne de 11 médicaments différents (données CCAM). La plupart de ces médicaments n'ont d'ailleurs pas d'efficacité démontrée dans l'indication concernée. A l'opposé, pour bon nombre de femmes présentant une pathologie, le médicament apparaît comme une réelle opportunité pour mener à bien une grossesse. Prenons l'exemple des femmes diabétiques, des femmes infectées par le VIH, des femmes ayant bénéficié d'une greffe d'organe et prenant un traitement immunosuppresseur lourd. Dans tous ces cas le traitement permet le bon contrôle de la pathologie et permet d'envisager et de réaliser un projet de grossesse dans les meilleures conditions. Le deuxième paradoxe concerne le développement et l'évaluation des médicaments chez la femme enceinte et le nouveau-né est indispensable notamment pour obtenir des données sur les risques foetotoxiques et sur le passage transplacentaire. Or, pour des raisons éthiques, ces travaux sont exceptionnellement effectués en cours de grossesse et des données animales, souvent peu extrapolables à la femme, sont utilisées. L'objectif de ces Assises de la fondation PremUp est d'illustrer ce double paradoxe et de montrer combien il est important de développer des thérapeutiques dédiées à la femme enceinte et au nouveau-né et d'évaluer le médicament dans ces deux populations très spécifiques. [article] Pathologies graves et grossesse : le médicament, un espoir pour les femmes [Livres, articles, périodiques] / Catherine Thenes . - 2011 . - p. 18-26.
Langues : Français (fre)
in Les Dossiers de l'Obstétrique > 408 (Octobre 2011) . - p. 18-26
Mots-clés : Grossesse Préparations pharmaceutiques Traitement antiretroviral VIH (Virus de l'Immunodéficience Humaine) Résumé : Le médicament a une place paradoxale chez la femme enceinte. Le premier paradoxe concerne l'utilisation du médicament pendant la grossesse. Le risque lié à l'exposition à un médicament pendant cette période suscite des craintes au sein du corps médical et du public. Tous s'accordent à penser que la femme enceinte doit éviter l'absorption de médicaments et cependant les études publiées sur le sujet montrent que 80 à 95 % des femmes ont eu moins une prescription de médicaments pendant ces neuf mois. Une récente étude française rapporte que le nombre de principes actifs prescrits pendant la grossesse varie de 0 à 76 avec une moyenne de 11 médicaments différents (données CCAM). La plupart de ces médicaments n'ont d'ailleurs pas d'efficacité démontrée dans l'indication concernée. A l'opposé, pour bon nombre de femmes présentant une pathologie, le médicament apparaît comme une réelle opportunité pour mener à bien une grossesse. Prenons l'exemple des femmes diabétiques, des femmes infectées par le VIH, des femmes ayant bénéficié d'une greffe d'organe et prenant un traitement immunosuppresseur lourd. Dans tous ces cas le traitement permet le bon contrôle de la pathologie et permet d'envisager et de réaliser un projet de grossesse dans les meilleures conditions. Le deuxième paradoxe concerne le développement et l'évaluation des médicaments chez la femme enceinte et le nouveau-né est indispensable notamment pour obtenir des données sur les risques foetotoxiques et sur le passage transplacentaire. Or, pour des raisons éthiques, ces travaux sont exceptionnellement effectués en cours de grossesse et des données animales, souvent peu extrapolables à la femme, sont utilisées. L'objectif de ces Assises de la fondation PremUp est d'illustrer ce double paradoxe et de montrer combien il est important de développer des thérapeutiques dédiées à la femme enceinte et au nouveau-né et d'évaluer le médicament dans ces deux populations très spécifiques.
in Les Dossiers de l'Obstétrique > 408 (Octobre 2011) . - p. 28-30
Titre : La thrombophlébite de la veine ovarienne : une urgence du post-partum à ne pas méconnaître Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Myriam Rachad ; Hikmat Chaara ; Hakimat Bouguem ; Abdelillah Melhouf Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 28-30 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fièvre Période du postpartum Thrombophlébite Résumé : La thrombophlébite des veines ovariennes est une affection rare du post-partum, dont le diagnostic est parfois difficile vu la non-spécificité des signes cliniques. Nous rapportons le cas d'une patiente de 29 ans qui a présenté à J3 de son accouchement par voie basse une douleur de la fosse iliaque droite, associée à une fièvre. Une échographie doppler puis une tomodensitométrie abdominopelvienne ont mis en évidence une thrombophlébite de la veine ovarienne droite. Un traitement en urgence comportant une antibiothérapie et une anticoagulation efficace a été instauré, vu le risque majeur d'embolie pulmonaire, avec bonne évolution clinique. Cette observation rappelle la gravité d'une pathologie rare du post-partum, pouvant engager le pronostic vital de patientes jeunes. Elle souligne l'intérêt d'un diagnostic et d'un traitement urgent. [article] La thrombophlébite de la veine ovarienne : une urgence du post-partum à ne pas méconnaître [Livres, articles, périodiques] / Myriam Rachad ; Hikmat Chaara ; Hakimat Bouguem ; Abdelillah Melhouf . - 2011 . - p. 28-30.
Langues : Français (fre)
in Les Dossiers de l'Obstétrique > 408 (Octobre 2011) . - p. 28-30
Mots-clés : Fièvre Période du postpartum Thrombophlébite Résumé : La thrombophlébite des veines ovariennes est une affection rare du post-partum, dont le diagnostic est parfois difficile vu la non-spécificité des signes cliniques. Nous rapportons le cas d'une patiente de 29 ans qui a présenté à J3 de son accouchement par voie basse une douleur de la fosse iliaque droite, associée à une fièvre. Une échographie doppler puis une tomodensitométrie abdominopelvienne ont mis en évidence une thrombophlébite de la veine ovarienne droite. Un traitement en urgence comportant une antibiothérapie et une anticoagulation efficace a été instauré, vu le risque majeur d'embolie pulmonaire, avec bonne évolution clinique. Cette observation rappelle la gravité d'une pathologie rare du post-partum, pouvant engager le pronostic vital de patientes jeunes. Elle souligne l'intérêt d'un diagnostic et d'un traitement urgent.
in Les Dossiers de l'Obstétrique > 408 (Octobre 2011) . - p. 32-36
Titre : La pommade de belladone : les travaux de Pierre Jean Corneille Debreyne et d'Armand Trousseau ou l'image de la belladone en obstétrique revisitée à la lumière des travaux des hommes de science. Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Jérôme Janicki Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 32-36 Langues : Français (fre) Mots-clés : Accouchement Analgésie Atropa belladonna Douleur Histoire Obstétrique Résumé : Dans le récit de la saga des produits découverts par les médecins et les accoucheurs au XIXe siècle pour faciliter la grossesse ou l'accouchement, la belladone occupe une place particulière. Jadis, sa simple évocation déclenchait une grande peur qui agglomérait tant les particuliers que le monde médical. Là où l'imaginaire n'y voyait que du danger, certains médecins lui trouvaient d'excellentes vertus pour traiter différentes affections. Leurs recherches ont permis de faire éclore par un mélange habilement dosé un nouveau médicament efficace pour apaiser les femmes enceintes. [article] La pommade de belladone : les travaux de Pierre Jean Corneille Debreyne et d'Armand Trousseau ou l'image de la belladone en obstétrique revisitée à la lumière des travaux des hommes de science. [Livres, articles, périodiques] / Jérôme Janicki . - 2011 . - p. 32-36.
Langues : Français (fre)
in Les Dossiers de l'Obstétrique > 408 (Octobre 2011) . - p. 32-36
Mots-clés : Accouchement Analgésie Atropa belladonna Douleur Histoire Obstétrique Résumé : Dans le récit de la saga des produits découverts par les médecins et les accoucheurs au XIXe siècle pour faciliter la grossesse ou l'accouchement, la belladone occupe une place particulière. Jadis, sa simple évocation déclenchait une grande peur qui agglomérait tant les particuliers que le monde médical. Là où l'imaginaire n'y voyait que du danger, certains médecins lui trouvaient d'excellentes vertus pour traiter différentes affections. Leurs recherches ont permis de faire éclore par un mélange habilement dosé un nouveau médicament efficace pour apaiser les femmes enceintes.
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| Rangé en | Support | Localisation | Section | Code-barres | Disponibilité |
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| 618 DO11/408 | Revues | Bibliothèque HELMo Campus de l'Ourthe | Libre-Accès | CO8561 | Disponible |
