Titre : | Mister Orange | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Truus Matti (1961-....), Auteur ; Emmanuèle Sandron, Traducteur | Editeur : | Genève : La Joie de Lire | Collection : | Hibouk | Importance : | 1 vol. (218 p.) | Format : | 19 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-88908-327-5 | Prix : | 11,90 EUR | Note générale : | Diffusé en France | Langues : | Français (fre) Langues originales : Néerlandais (dut) | Index. décimale : | 82-053.2"465.10/.12" | Résumé : | 1943, New York. Linus vit dans une famille nombreuse et très pauvre. Tout le monde se serre dans un petit appartement et chaque enfant doit mettre la main à la pâte en faisant un petit boulot après l'école. Linus vient de commencer un travail de livreur de fruits et légumes. Son frère Bertie, lui, a préféré devancer la conscription et s'engager dans l'armée pour partir à la guerre en Europe. La famille se fait énormément de souci pour lui, car comme le dit le père : « La guerre n'est jamais une bonne nouvelle. » Le premier jour de son nouveau travail, Linus va livrer des oranges chez un vieux monsieur bien singulier qui vit dans un appartement aux murs totalement blancs et sans aucun meuble. Linus ne comprend pas bien le nom de l'homme (le célèbre peintre Piet Mondrian) et le baptise "Mister Orange", parce qu'il lui livre des oranges et aussi parce qu'il est peintre et utilise des couleurs vives qui le déroutent totalement. Un jour, Linus tombe dans l'escalier et Mister Orange le soigne avec attention. Le garçon qui n'avait jusque là comme compagnon que la voix de Superman qu'il entend intérieurement, a enfin un ami qui va le prendre au sérieux, répondre à ses questions et l'aider à prendre son envol. Avec Mister Orange, il parle des couleurs, des odeurs, de la guerre, de l'avenir. Celui-ci lui explique notamment que « ce n'est pas parce qu'on ne connaît pas encore la réponse à une question que c'est une mauvaise question. Cela veut juste dire qu'il faut continuer à la chercher. Et si la question est toute nouvelle... cela peut prendre du temps. Dans ce cas, c'est que, justement, c'est une bonne question. » Un livre original qui revient sur la vie de ce grand peintre qu'était Piet Mondrian, pionnier de l'abstraction, et qui oppose la guerre, et donc la mort, à l'art comme vecteur d'initiation d'un jeune garçon au sens de la vie. (Plusieurs pages de notes en fin de volume fournissent des informations plus documentées pour le lecteur désireux d'aller plus loin, au su |
Mister Orange [Livres, articles, périodiques] / Truus Matti (1961-....), Auteur ; Emmanuèle Sandron, Traducteur . - Genève (Genève) : La Joie de Lire, [s.d.] . - 1 vol. (218 p.) ; 19 cm. - ( Hibouk) . ISBN : 978-2-88908-327-5 : 11,90 EUR Diffusé en France Langues : Français ( fre) Langues originales : Néerlandais ( dut) Index. décimale : | 82-053.2"465.10/.12" | Résumé : | 1943, New York. Linus vit dans une famille nombreuse et très pauvre. Tout le monde se serre dans un petit appartement et chaque enfant doit mettre la main à la pâte en faisant un petit boulot après l'école. Linus vient de commencer un travail de livreur de fruits et légumes. Son frère Bertie, lui, a préféré devancer la conscription et s'engager dans l'armée pour partir à la guerre en Europe. La famille se fait énormément de souci pour lui, car comme le dit le père : « La guerre n'est jamais une bonne nouvelle. » Le premier jour de son nouveau travail, Linus va livrer des oranges chez un vieux monsieur bien singulier qui vit dans un appartement aux murs totalement blancs et sans aucun meuble. Linus ne comprend pas bien le nom de l'homme (le célèbre peintre Piet Mondrian) et le baptise "Mister Orange", parce qu'il lui livre des oranges et aussi parce qu'il est peintre et utilise des couleurs vives qui le déroutent totalement. Un jour, Linus tombe dans l'escalier et Mister Orange le soigne avec attention. Le garçon qui n'avait jusque là comme compagnon que la voix de Superman qu'il entend intérieurement, a enfin un ami qui va le prendre au sérieux, répondre à ses questions et l'aider à prendre son envol. Avec Mister Orange, il parle des couleurs, des odeurs, de la guerre, de l'avenir. Celui-ci lui explique notamment que « ce n'est pas parce qu'on ne connaît pas encore la réponse à une question que c'est une mauvaise question. Cela veut juste dire qu'il faut continuer à la chercher. Et si la question est toute nouvelle... cela peut prendre du temps. Dans ce cas, c'est que, justement, c'est une bonne question. » Un livre original qui revient sur la vie de ce grand peintre qu'était Piet Mondrian, pionnier de l'abstraction, et qui oppose la guerre, et donc la mort, à l'art comme vecteur d'initiation d'un jeune garçon au sens de la vie. (Plusieurs pages de notes en fin de volume fournissent des informations plus documentées pour le lecteur désireux d'aller plus loin, au su |
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