Titre : | La société inclusive, parlons-en ! : il n'y a pas de vie minuscule | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Charles Gardou, Auteur | Editeur : | Toulouse : Érès éd. | Année de publication : | 2012 | Collection : | Connaissances de l'éducation, ISSN 1275-1022 | Importance : | 1 vol. (170 p.) | Format : | 20 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7492-3425-0 | Prix : | 13 EUR | Note générale : | Bibliogr. p. 155-167 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Handicapés Intégration Discrimination à l'égard des handicapés | Index. décimale : | 362.4 Handicapés physiques : y compris aveugles et sourds | Résumé : |
« Une société n'est pas un club dont des membres pourraient accaparer l'héritage social à leur profit pour en jouir de façon exclusive. Elle n'est non plus un cercle réservé à certains affiliés, occupés à percevoir des subsides attachés à une « normalité » conçue et vécue comme souveraine. Il n'y a pas de carte de membre à acquérir, ni droit d'entrée à acquitter. Ni débiteurs, ni créanciers autorisés à mettre les plus vulnérables en coupe réglée. Ni maîtres ni esclaves. Ni centre ni périphérie. Chacun est héritier de ce que la société a de meilleur et de plus noble. Personne n'a l'apanage de prêter, de donner ou de refuser ce qui appartient à tous. Une société inclusive, c'est une société sans privilèges, exclusivités et exclusions. » |
La société inclusive, parlons-en ! : il n'y a pas de vie minuscule [Livres, articles, périodiques] / Charles Gardou, Auteur . - Toulouse : Érès éd., 2012 . - 1 vol. (170 p.) ; 20 cm. - ( Connaissances de l'éducation, ISSN 1275-1022) . ISBN : 978-2-7492-3425-0 : 13 EUR Bibliogr. p. 155-167 Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Handicapés Intégration Discrimination à l'égard des handicapés | Index. décimale : | 362.4 Handicapés physiques : y compris aveugles et sourds | Résumé : |
« Une société n'est pas un club dont des membres pourraient accaparer l'héritage social à leur profit pour en jouir de façon exclusive. Elle n'est non plus un cercle réservé à certains affiliés, occupés à percevoir des subsides attachés à une « normalité » conçue et vécue comme souveraine. Il n'y a pas de carte de membre à acquérir, ni droit d'entrée à acquitter. Ni débiteurs, ni créanciers autorisés à mettre les plus vulnérables en coupe réglée. Ni maîtres ni esclaves. Ni centre ni périphérie. Chacun est héritier de ce que la société a de meilleur et de plus noble. Personne n'a l'apanage de prêter, de donner ou de refuser ce qui appartient à tous. Une société inclusive, c'est une société sans privilèges, exclusivités et exclusions. » |
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