Titre : | J'avais un an en 1900 | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Édouard Bled (1899-1996), Auteur | Editeur : | Paris : Fayard | Année de publication : | 1987 | Importance : | 412 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-253-04707-0 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Histoire sociale Vie sociale Témoignages Récits de vie Ecole | Index. décimale : | 900 Histoire | Résumé : | Quarante millions de Français ont appris l'orthographe dans le célèbre cours rédigé par Édouard Bled et sa femme Odette.
On sait moins que ce jeune vieux monsieur est né à Saint-Maur en 1899. Dans ce savoureux récit autobiographique, il nous convie à un porte-à-porte sentimental dans les rues et les jours de son enfance, sachant faire revivre avec exactitude et émotion ceux qui l'ont entouré et qu'il a aimés, les métiers disparus (l'allumeur de réverbères, le décrotteur de rails de tramway, etc.), les vieilles chansons. La fraîcheur se teinte de gravité lorsqu'il évoque les grandes dates de sa maturité, le cataclysme des deux guerres, l'amour toujours renouvelé pour sa femme et son métier, leur commun métier de maître d'école.
"L'homme reste toute sa vie l'enfant de son enfance." |
J'avais un an en 1900 [Livres, articles, périodiques] / Édouard Bled (1899-1996), Auteur . - Paris : Fayard, 1987 . - 412 p. ISBN : 978-2-253-04707-0 Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Histoire sociale Vie sociale Témoignages Récits de vie Ecole | Index. décimale : | 900 Histoire | Résumé : | Quarante millions de Français ont appris l'orthographe dans le célèbre cours rédigé par Édouard Bled et sa femme Odette.
On sait moins que ce jeune vieux monsieur est né à Saint-Maur en 1899. Dans ce savoureux récit autobiographique, il nous convie à un porte-à-porte sentimental dans les rues et les jours de son enfance, sachant faire revivre avec exactitude et émotion ceux qui l'ont entouré et qu'il a aimés, les métiers disparus (l'allumeur de réverbères, le décrotteur de rails de tramway, etc.), les vieilles chansons. La fraîcheur se teinte de gravité lorsqu'il évoque les grandes dates de sa maturité, le cataclysme des deux guerres, l'amour toujours renouvelé pour sa femme et son métier, leur commun métier de maître d'école.
"L'homme reste toute sa vie l'enfant de son enfance." |
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