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[article] 
in Interbloc > 3 (juillet-septembre 2021) . - p. 110-117

Titre :	Exposition des chirurgiens et des patients aux rayonnements ionisants pendant les procédures d'ostéosynthèse rachidienne postérieure percutanée : étude prospective de 100 patients
Type de document :	Livres, articles, périodiques
Auteurs :	Pascal Kouyoumdjian ; Guillaume Gras Combe ; Mickael Grelat ; Stéphane Fuentes ; Benjamin Blondel ; Patrick Tropiano ; Fahed Zairi ; Jacques Beaurain ; Yann-Philippe Charles ; Alexandre Dhenin ; Hassan Elfertit ; Julien Le Roy ; Joel Greffier ; Nicolas Lonjon
Année de publication :	2021
Article en page(s) :	p. 110-117
Note générale :	Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.003 Fait partie du dossier : "La radioprotection au bloc opératoire"
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Chirurgiens  Contrôle des radiations  Cristallin  Écrans renforçateurs de rayons X  Exposition aux radiations  Irradiation corporelle totale  Ostéosynthèse  Procédures de chirurgie minimalement effractives  Rachis  Radioprotection  Radioscopie  Radiotolérance
Résumé :	Hypothèse : Les fixations percutanées par vis pédiculaire (FPVP) sont de plus en plus pratiquées en chirurgie du rachis, minimisant la morbidité via un moindre délabrement musculaire mais au prix d?un guidage fluoroscopique peropératoire générant une forte exposition aux rayonnements. Peu d?études ont été conduites pour les mesurer précisément. L?objectif de notre étude est de quantifier, lors d?une FPVP réalisée dans différents centres expérimentés respectant les recommandations actuelles de radioprotection, cette irradiation reçue au niveau du chirurgien et du patient. Matériel et méthodes : Nous avons inclus prospectivement 100 procédures de FPVP pour lesquelles nous avons relevé les doses d?irradiation de l?opérateur principal. Pour chaque intervention, les doses du rayonnement absorbées sur le corps entier, les cristallins et les extrémités ont été mesurées. Résultats : Nos résultats montrent une dose d?exposition moyenne par procédure sur le corps entier, les extrémités et les cristallins qui atteint respectivement 1,7+2,8?Sv, 204,7+260,9 ?Sv et 30,5+25,9 ?Sv. Discussion : Selon ces valeurs, l?exposition des extrémités et des cristallins du chirurgien dépassera la limite annuelle admise par la Commission internationale de protection radiologique (CIPR) après respectivement 2 440 et 4 840 procédures. Conclusion : Les directives récentes européennes vont réduire la dose d?exposition oculaire annuelle maximale de 150 à 20 mSv. Le nombre d?interventions chirurgicales pour ne pas atteindre le seuil oculaire, selon nos résultats, ne devra pas dépasser 645 procédures par an. Dans l?attente de la démocratisation des systèmes de neuronavigations, l?utilisation de la fluoroscopie conventionnelle expose les yeux en premier lieu qui doivent donc être protégés par des verres plombés. Niveau de preuve : IV, série de cas.

[article] Exposition des chirurgiens et des patients aux rayonnements ionisants pendant les procédures d'ostéosynthèse rachidienne postérieure percutanée : étude prospective de 100 patients [Livres, articles, périodiques] / Pascal Kouyoumdjian ; Guillaume Gras Combe ; Mickael Grelat ; Stéphane Fuentes ; Benjamin Blondel ; Patrick Tropiano ; Fahed Zairi ; Jacques Beaurain ; Yann-Philippe Charles ; Alexandre Dhenin ; Hassan Elfertit ; Julien Le Roy ; Joel Greffier ; Nicolas Lonjon . - 2021 . - p. 110-117.
Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.003
Fait partie du dossier : "La radioprotection au bloc opératoire"
Langues : Français (fre)
in Interbloc > 3 (juillet-septembre 2021) . - p. 110-117

Mots-clés :

Chirurgiens  Contrôle des radiations  Cristallin  Écrans renforçateurs de rayons X  Exposition aux radiations  Irradiation corporelle totale  Ostéosynthèse  Procédures de chirurgie minimalement effractives  Rachis  Radioprotection  Radioscopie  Radiotolérance

Résumé :

Hypothèse : Les fixations percutanées par vis pédiculaire (FPVP) sont de plus en plus pratiquées en chirurgie du rachis, minimisant la morbidité via un moindre délabrement musculaire mais au prix d?un guidage fluoroscopique peropératoire générant une forte exposition aux rayonnements. Peu d?études ont été conduites pour les mesurer précisément. L?objectif de notre étude est de quantifier, lors d?une FPVP réalisée dans différents centres expérimentés respectant les recommandations actuelles de radioprotection, cette irradiation reçue au niveau du chirurgien et du patient. Matériel et méthodes : Nous avons inclus prospectivement 100 procédures de FPVP pour lesquelles nous avons relevé les doses d?irradiation de l?opérateur principal. Pour chaque intervention, les doses du rayonnement absorbées sur le corps entier, les cristallins et les extrémités ont été mesurées. Résultats : Nos résultats montrent une dose d?exposition moyenne par procédure sur le corps entier, les extrémités et les cristallins qui atteint respectivement 1,7+2,8?Sv, 204,7+260,9 ?Sv et 30,5+25,9 ?Sv. Discussion : Selon ces valeurs, l?exposition des extrémités et des cristallins du chirurgien dépassera la limite annuelle admise par la Commission internationale de protection radiologique (CIPR) après respectivement 2 440 et 4 840 procédures. Conclusion : Les directives récentes européennes vont réduire la dose d?exposition oculaire annuelle maximale de 150 à 20 mSv. Le nombre d?interventions chirurgicales pour ne pas atteindre le seuil oculaire, selon nos résultats, ne devra pas dépasser 645 procédures par an. Dans l?attente de la démocratisation des systèmes de neuronavigations, l?utilisation de la fluoroscopie conventionnelle expose les yeux en premier lieu qui doivent donc être protégés par des verres plombés. Niveau de preuve : IV, série de cas.

[article] 
in Interbloc > 3 (juillet-septembre 2021) . - p. 118-123

Titre :	Les chirurgiens orthopédistes sont-ils soumis à une irradiation oculaire excessive ? Étude prospective de l'irradiation du cristallin en orthopédie-traumatologie
Type de document :	Livres, articles, périodiques
Auteurs :	Céline Cuenca ; Pierre-Jean Mention ; Guillaume Vergnenègre ; Pierre-Alain Mathieu ; Jean-Louis Charissoux ; Pierre-Sylvain Marcheix
Année de publication :	2021
Article en page(s) :	p. 118-123
Note générale :	Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.004 Fait partie du dossier : "La radioprotection au bloc opératoire"
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Chirurgiens  Cristallin  Dispositifs de protection des yeux  Irradiation crânienne  Oeil  Procédures orthopédiques  Radioprotection  Radiotolérance  Rayonnement ionisant
Résumé :	Introduction : De nombreuses études réalisées ces dernières années ont mis en avant le risque augmenté de pathologies liées à l?irradiation chez les soignants en rapport avec l?utilisation des rayonnements ionisants. Un décret français a été adopté le 4 juin 2018 divisant par 7,5 la dose limite d?irradiation autorisée au niveau du cristallin pour les travailleurs exposés. Hypothèse : L?hypothèse de notre travail était de vérifier que l?irradiation oculaire d?un chirurgien orthopédiste restait en dessous de la nouvelle limite légale autorisée. Méthode : Nous avons relevé, chez 10 orthopédistes (5 seniors et 5 internes), de manière prospective la dose équivalente reçue par le cristallin en mSv grâce à 3 dosimètres passifs placés au niveau du front, et de chaque tempe. Chaque intervention par opérateur a été relevée ainsi que la dose par surface en salle opératoire à chaque utilisation de la scopie. Résultats : Toutes les doses équivalentes au cristallin relevées par opérateurs à la fin des 4 mois restent bien en deçà des limites autorisées. Les doses relevées au niveau du front ne sont pas significativement différentes des doses relevées au niveau des tempes (p=0,7, p=0,6). Il n?y a pas non plus de différence en fonction de la latéralité de la tête (p=0,3). La dose reçue au cristallin est corrélée à la dose émise en salle (p=0,004). Il n?y a pas de différence significative d?irradiation en fonction de l?expérience du chirurgien (p=0,2) ni en fonction de son taux d?activité de traumatologie (p=0,4). Discussion : Aucune étude n?a retrouvé de dose équivalente au cristallin supérieure à la limite autorisée. Mais aucune étude n?avait auparavant mesuré les doses équivalentes reçues au cristallin en fonction de l?axe d?arrivée des rayonnements au niveau des yeux. Notre étude montre qu?un orthopédiste reçoit autant de rayonnements oculaires de face que sur les côtés. La radioprotection oculaire doit donc être aussi efficace de face que latéralement. L?expérience du chirurgien dans notre étude n?est pas un facteur protecteur de l?irradiation oculaire.

[article] Les chirurgiens orthopédistes sont-ils soumis à une irradiation oculaire excessive ? Étude prospective de l'irradiation du cristallin en orthopédie-traumatologie [Livres, articles, périodiques] / Céline Cuenca ; Pierre-Jean Mention ; Guillaume Vergnenègre ; Pierre-Alain Mathieu ; Jean-Louis Charissoux ; Pierre-Sylvain Marcheix . - 2021 . - p. 118-123.
Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.004
Fait partie du dossier : "La radioprotection au bloc opératoire"
Langues : Français (fre)
in Interbloc > 3 (juillet-septembre 2021) . - p. 118-123

Mots-clés :

Chirurgiens  Cristallin  Dispositifs de protection des yeux  Irradiation crânienne  Oeil  Procédures orthopédiques  Radioprotection  Radiotolérance  Rayonnement ionisant

Résumé :

Introduction : De nombreuses études réalisées ces dernières années ont mis en avant le risque augmenté de pathologies liées à l?irradiation chez les soignants en rapport avec l?utilisation des rayonnements ionisants. Un décret français a été adopté le 4 juin 2018 divisant par 7,5 la dose limite d?irradiation autorisée au niveau du cristallin pour les travailleurs exposés. Hypothèse : L?hypothèse de notre travail était de vérifier que l?irradiation oculaire d?un chirurgien orthopédiste restait en dessous de la nouvelle limite légale autorisée. Méthode : Nous avons relevé, chez 10 orthopédistes (5 seniors et 5 internes), de manière prospective la dose équivalente reçue par le cristallin en mSv grâce à 3 dosimètres passifs placés au niveau du front, et de chaque tempe. Chaque intervention par opérateur a été relevée ainsi que la dose par surface en salle opératoire à chaque utilisation de la scopie. Résultats : Toutes les doses équivalentes au cristallin relevées par opérateurs à la fin des 4 mois restent bien en deçà des limites autorisées. Les doses relevées au niveau du front ne sont pas significativement différentes des doses relevées au niveau des tempes (p=0,7, p=0,6). Il n?y a pas non plus de différence en fonction de la latéralité de la tête (p=0,3). La dose reçue au cristallin est corrélée à la dose émise en salle (p=0,004). Il n?y a pas de différence significative d?irradiation en fonction de l?expérience du chirurgien (p=0,2) ni en fonction de son taux d?activité de traumatologie (p=0,4). Discussion : Aucune étude n?a retrouvé de dose équivalente au cristallin supérieure à la limite autorisée. Mais aucune étude n?avait auparavant mesuré les doses équivalentes reçues au cristallin en fonction de l?axe d?arrivée des rayonnements au niveau des yeux. Notre étude montre qu?un orthopédiste reçoit autant de rayonnements oculaires de face que sur les côtés. La radioprotection oculaire doit donc être aussi efficace de face que latéralement. L?expérience du chirurgien dans notre étude n?est pas un facteur protecteur de l?irradiation oculaire.

[article] 
in Interbloc > 3 (juillet-septembre 2021) . - p. 124-125

Titre :	Organiser les formations à la radioprotection "travailleur" du personnel de bloc
Type de document :	Livres, articles, périodiques
Auteurs :	Sophie Cao ; Morgane Vittet
Année de publication :	2021
Article en page(s) :	p. 124-125
Note générale :	Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.005 Fait partie du dossier : "La radioprotection au bloc opératoire"
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Blocs opératoires  Formation continue  Infirmières et infirmiers  Personnel infirmier hospitalier  Radioprotection  Rayonnement ionisant
Résumé :	Une formation obligatoire à la radioprotection “travailleur” doit être organisée pour tous les personnels susceptibles d’intervenir en zone réglementée (surveillée et contrôlée) et ainsi exposés à des rayonnements ionisants, par le chef de l’établissement de santé. Sa durée de validité est de trois ans. L’objectif organisationnel est de respecter cette obligation tout en veillant à la bonne continuité des soins au bloc opératoire.

[article] Organiser les formations à la radioprotection "travailleur" du personnel de bloc [Livres, articles, périodiques] / Sophie Cao ; Morgane Vittet . - 2021 . - p. 124-125.
Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.005
Fait partie du dossier : "La radioprotection au bloc opératoire"
Langues : Français (fre)
in Interbloc > 3 (juillet-septembre 2021) . - p. 124-125

Mots-clés :

Blocs opératoires  Formation continue  Infirmières et infirmiers  Personnel infirmier hospitalier  Radioprotection  Rayonnement ionisant

Résumé :

Une formation obligatoire à la radioprotection “travailleur” doit être organisée pour tous les personnels susceptibles d’intervenir en zone réglementée (surveillée et contrôlée) et ainsi exposés à des rayonnements ionisants, par le chef de l’établissement de santé. Sa durée de validité est de trois ans. L’objectif organisationnel est de respecter cette obligation tout en veillant à la bonne continuité des soins au bloc opératoire.

[article] 
in Interbloc > 3 (juillet-septembre 2021) . - p. 126-129

Titre :	Former les étudiants infirmiers de bloc opératoire à la radioprotection du patient
Type de document :	Livres, articles, périodiques
Auteurs :	Séverine Echinard ; Sébastien Balduyck ; Evelyne Cames ; Corinne Laffon
Année de publication :	2021
Article en page(s) :	p. 126-129
Note générale :	Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.006 Fait partie du dossier : "La radioprotection au bloc opératoire"
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Blocs opératoires  E-learning  Enseignement infirmier  Etudiant infirmier  Formation continue  Pratique réflexive  Radioprotection  Sécurité des patients
Résumé :	Face au développement des interventions radioguidées, des pratiques mini-invasives, et au manque de manipulateurs d’électroradiologie en bloc opératoire, l’Ibode a vu s’étendre son rôle de prévention des risques dans le domaine de la radioprotection des patients. L’école d’infirmiers de bloc opératoire de Toulouse propose, dans ce cadre, un dispositif de formation hybride, en partenariat avec le Groupement d’intérêt public santé éducation, intégrant l’e-learning et la simulation.

[article] Former les étudiants infirmiers de bloc opératoire à la radioprotection du patient [Livres, articles, périodiques] / Séverine Echinard ; Sébastien Balduyck ; Evelyne Cames ; Corinne Laffon . - 2021 . - p. 126-129.
Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.006
Fait partie du dossier : "La radioprotection au bloc opératoire"
Langues : Français (fre)
in Interbloc > 3 (juillet-septembre 2021) . - p. 126-129

Mots-clés :

Blocs opératoires  E-learning  Enseignement infirmier  Etudiant infirmier  Formation continue  Pratique réflexive  Radioprotection  Sécurité des patients

Résumé :

Face au développement des interventions radioguidées, des pratiques mini-invasives, et au manque de manipulateurs d’électroradiologie en bloc opératoire, l’Ibode a vu s’étendre son rôle de prévention des risques dans le domaine de la radioprotection des patients. L’école d’infirmiers de bloc opératoire de Toulouse propose, dans ce cadre, un dispositif de formation hybride, en partenariat avec le Groupement d’intérêt public santé éducation, intégrant l’e-learning et la simulation.

[article] 
in Interbloc > 3 (juillet-septembre 2021) . - p. 132-137

Titre :	Traitement de l'hypertension pulmonaire thrombo-embolique chronique sous circulation extracorporelle
Type de document :	Livres, articles, périodiques
Auteurs :	Alejandro Agulla Gallego
Année de publication :	2021
Article en page(s) :	p. 132-137
Note générale :	Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.007
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Arrêt circulatoire en hypothermie profonde  Circulation extracorporelle  Endartériectomie  Hypertension pulmonaire  Procédures de chirurgie vasculaire
Résumé :	L’endartériectomie des artères pulmonaires est le traitement préférentiel en l’absence de lyse du caillot, au décours d’une ou de plusieurs embolies pulmonaires. L’hypertension pulmonaire thrombo-embolique chronique est une affection qui résulte de l’obstruction persistante du lit artériel pulmonaire, dont l’évolution est la défaillance cardiaque droite. Le traitement de cette affection sous circulation extracorporelle en hypothermie profonde avec arrêts circulatoires implique une prise en charge pluridisciplinaire et une exécution maîtrisée de cette intervention, dans un centre de référence. Il permet d’obtenir d’excellents résultats.

[article] Traitement de l'hypertension pulmonaire thrombo-embolique chronique sous circulation extracorporelle [Livres, articles, périodiques] / Alejandro Agulla Gallego . - 2021 . - p. 132-137.
Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.007
Langues : Français (fre)
in Interbloc > 3 (juillet-septembre 2021) . - p. 132-137

Mots-clés :

Arrêt circulatoire en hypothermie profonde  Circulation extracorporelle  Endartériectomie  Hypertension pulmonaire  Procédures de chirurgie vasculaire

Résumé :

L’endartériectomie des artères pulmonaires est le traitement préférentiel en l’absence de lyse du caillot, au décours d’une ou de plusieurs embolies pulmonaires. L’hypertension pulmonaire thrombo-embolique chronique est une affection qui résulte de l’obstruction persistante du lit artériel pulmonaire, dont l’évolution est la défaillance cardiaque droite. Le traitement de cette affection sous circulation extracorporelle en hypothermie profonde avec arrêts circulatoires implique une prise en charge pluridisciplinaire et une exécution maîtrisée de cette intervention, dans un centre de référence. Il permet d’obtenir d’excellents résultats.

[article] 
in Interbloc > 3 (juillet-septembre 2021) . - p. 138-143

Titre :	Accompagner l'étudiant en soins infirmiers en stage au bloc opératoire
Type de document :	Livres, articles, périodiques
Auteurs :	Line Soussan
Année de publication :	2021
Article en page(s) :	p. 138-143
Note générale :	Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.008
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Accompagnement pédagogique  Apprentissage  Blocs opératoires  Compétence professionnelle  Etudiant infirmier  Stage de formation clinique  Stage pratique guidé  Tutorat
Résumé :	Les étudiants infirmiers deviennent, depuis l’an dernier, des candidats potentiels au concours d’entrée à l’école d’infirmiers de bloc opératoire diplômés d’État (Ibode) depuis l’abolition des deux ans d’exercice infirmier obligatoire. Il devient donc nécessaire pour les tuteurs Ibode, chargés d’accueillir et d’intégrer les étudiants en soins infirmiers en stage au bloc opératoire, de revoir cette priorité afin d’adapter leur parcours. L’objectif est qu’ils passent du statut d’observateurs au rôle d’acteurs, totalement intégrés dans l’équipe de la salle d’opération.

[article] Accompagner l'étudiant en soins infirmiers en stage au bloc opératoire [Livres, articles, périodiques] / Line Soussan . - 2021 . - p. 138-143.
Doi : http://dx.doi.org/10.1016/j.bloc.2021.09.008
Langues : Français (fre)
in Interbloc > 3 (juillet-septembre 2021) . - p. 138-143

Mots-clés :

Accompagnement pédagogique  Apprentissage  Blocs opératoires  Compétence professionnelle  Etudiant infirmier  Stage de formation clinique  Stage pratique guidé  Tutorat

Résumé :

Les étudiants infirmiers deviennent, depuis l’an dernier, des candidats potentiels au concours d’entrée à l’école d’infirmiers de bloc opératoire diplômés d’État (Ibode) depuis l’abolition des deux ans d’exercice infirmier obligatoire. Il devient donc nécessaire pour les tuteurs Ibode, chargés d’accueillir et d’intégrer les étudiants en soins infirmiers en stage au bloc opératoire, de revoir cette priorité afin d’adapter leur parcours. L’objectif est qu’ils passent du statut d’observateurs au rôle d’acteurs, totalement intégrés dans l’équipe de la salle d’opération.