[article] in Santé mentale > N°218 (Mai 2017) . - p. 48-53 Titre : | Supervision et entretiens infirmiers | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | B Miani, Auteur | Année de publication : | 2017 | Article en page(s) : | p. 48-53 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Accueil Ecoute thérapeutique Entretien Infirmier Rôle propre infirmier | Résumé : | Dans le cadre d’entretiens d’accueil et d’orientation, des séances de supervision permettent aux infirmiers de s’extraire de leur propre désir de soigner et de calmer le symptôme, pour s’intéresser finement au contenu et au sens de ces entretiens.
Les entretiens « premier accueil », animés par un binôme d’infirmiers, proposent au patient un accueil dans un délai raisonnable, qui vise à effectuer une première évaluation de la situation et éventuellement une orientation vers un psychiatre ou un psychologue. Dans ce contexte l’infirmier est pris dans une posture paradoxale : d’un côté, il s’implique dans cette écoute de la parole, de l’autre il n’en est en principe que le messager, puisqu’il ne va pas « suivre » le patient. Dans ce contexte, l’auteur, psychologue, décrit la nécessité de la supervision (ou contrôle, analyse de la pratique…) pour aider les soignants à analyser les contenus des entretiens et à en dégager le sens. |
[article] Supervision et entretiens infirmiers [Livres, articles, périodiques] / B Miani, Auteur . - 2017 . - p. 48-53. Langues : Français ( fre) in Santé mentale > N°218 (Mai 2017) . - p. 48-53 Mots-clés : | Accueil Ecoute thérapeutique Entretien Infirmier Rôle propre infirmier | Résumé : | Dans le cadre d’entretiens d’accueil et d’orientation, des séances de supervision permettent aux infirmiers de s’extraire de leur propre désir de soigner et de calmer le symptôme, pour s’intéresser finement au contenu et au sens de ces entretiens.
Les entretiens « premier accueil », animés par un binôme d’infirmiers, proposent au patient un accueil dans un délai raisonnable, qui vise à effectuer une première évaluation de la situation et éventuellement une orientation vers un psychiatre ou un psychologue. Dans ce contexte l’infirmier est pris dans une posture paradoxale : d’un côté, il s’implique dans cette écoute de la parole, de l’autre il n’en est en principe que le messager, puisqu’il ne va pas « suivre » le patient. Dans ce contexte, l’auteur, psychologue, décrit la nécessité de la supervision (ou contrôle, analyse de la pratique…) pour aider les soignants à analyser les contenus des entretiens et à en dégager le sens. |
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