Titre : | Les associations d'action sociale : fonctionnement et regroupements : Une perspective sociologique | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Albert-Luc Haering, Auteur | Editeur : | Genève : IES éditions | Année de publication : | 1998 | Collection : | Nouveaux cahiers de l'I.E.S. num. 5 | Importance : | 220 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-88224-121-4 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Supervision Suisse | Résumé : | Cet ouvrage se centre sur un défi particulièrement significatif pour l'Etat: faire autant ou plus avec moins de ressources financières, grâce à une synergie renforcée entre acteurs publics et privés. En effet, le Département de l'action sociale et de la santé à Genève a exigé que les associations d'action sociale bénéficiant de subsides se regroupent en fédérations, afin qu'elles deviennent les interlocutrices privilégiées du département. Si l'idée paraît faire preuve de bon sens, qu'en est-il des modalités d'applications ? A trop organiser le champ de l'action sociale, l'Etat ne risque-t-il pas de trahir les bonnes raisons qui l'incitent à développer et à stabiliser une collaboration avec la société civile ? |
Les associations d'action sociale : fonctionnement et regroupements : Une perspective sociologique [Livres, articles, périodiques] / Albert-Luc Haering, Auteur . - Genève : IES éditions, 1998 . - 220 p.. - ( Nouveaux cahiers de l'I.E.S.; 5) . ISBN : 978-2-88224-121-4 Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Supervision Suisse | Résumé : | Cet ouvrage se centre sur un défi particulièrement significatif pour l'Etat: faire autant ou plus avec moins de ressources financières, grâce à une synergie renforcée entre acteurs publics et privés. En effet, le Département de l'action sociale et de la santé à Genève a exigé que les associations d'action sociale bénéficiant de subsides se regroupent en fédérations, afin qu'elles deviennent les interlocutrices privilégiées du département. Si l'idée paraît faire preuve de bon sens, qu'en est-il des modalités d'applications ? A trop organiser le champ de l'action sociale, l'Etat ne risque-t-il pas de trahir les bonnes raisons qui l'incitent à développer et à stabiliser une collaboration avec la société civile ? |
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