[n° ou bulletin] est un bulletin de / Antoine UllmannTitre : | 282 - Mai 2024 - James Cameron | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Année de publication : | 2024 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | James Cameron | Résumé : | Les robots mi-hommes mi-machines de Terminator, la nature merveilleuse d’Avatar, les
créatures terrifiantes d’Aliens, les héros romantiques de Titanic… ? Derrière ces films aussi
variés que populaires se cachent un seul et même créateur, James Cameron ! Plongez dans
l’univers d’un réalisateur hors norme, et découvrez l’histoire de ce jeune Canadien passionné
de dessin, qui fait ses débuts crayons et pinceaux à la main avant de passer derrière la caméra.
Un voyage dans une œuvre souvent visionnaire, qui raconte les préoccupations du monde
d’aujourd’hui, et qui n’a cessé de repousser film après film les limites du cinéma.
| Note de contenu : | Au sommaire
James l’explorateur
Réalisateur, dessinateur, aventurier, James Cameron relève tous les défis ! De sa jeunesse à
ses films époustouflants, coup de projecteur sur un artiste qui n’a pas froid aux yeux.
Passion créatures
Des reines alien aux robots Terminator en passant par de curieux poissons volants, le monde
de James Cameron regorge de bestioles. Bienvenue dans son bestiaire imaginaire !
Effets très spéciaux
Trucages, maquettes, caméras sous-marines, effets numériques : tout cela permet à Cameron
de donner vie aux films dont il rêve ! Entrez dans les coulisses…
Nature et machines
On oppose souvent la nature et machines. James Cameron, lui, est fasciné par les deux
univers. À tel point que les êtres humains semblent parfois bien secondaires…
Spectaculairement… humain !
Les films de James Cameron offrent leur lot d’images spectaculaires. Mais que cache-t-il
derrière ce grand show ?
Un cinéaste engagé ?
Inspirer l’humanité pour qu’elle s’améliore : c’est l’ambition du cinéma de James Cameron.
Le réalisateur aborde des thématiques qui, aujourd’hui encore, restent d’actualité.
Comme beaucoup d’adolescents à la fin des années 1960, le jeune James Cameron est féru de
science-fiction. Romans, bandes dessinées, films : tout est bon pour nourrir sa passion. À son
tour, il remplit des carnets de dessins : des vaisseaux spatiaux, des planètes extraterrestres, des
créatures en tous genres, des superhéros aux pouvoirs fabuleux, des scientifiques et tous leurs
outils de laboratoire… « Je dessinais dans mes cahiers pour ne pas me faire prendre par les
profs. J’étais censé étudier mais, pour moi, l’école, c’était juste six ou huit heures de dessin.
Pourquoi limiter ma pratique aux cours d’art plastique ? »
C’est ainsi que les mondes et les personnages de son imagination débordante prennent vie
pour la première fois, sur papier. Comme vous allez le découvrir, bon nombre de ces dessins
préfigurent des scènes cultes des films qu’il réalisera bien plus tard. Pour les faire passer de la
feuille à l’écran, il lui faudra non seulement apprendre les rouages du cinéma, mais aussi
puiser dans ses talents d’ingénieur – c’est la formation qu’il suivra finalement après le lycée –
et concevoir des technologies inédites. Des robots à l’apparence humaine de Terminator aux
merveilles de la planète Pandora dans Avatar, en passant par le naufrage d’un navire plus vrai
que nature dans Titanic, ses films nous donneront ainsi toujours l’impression de « rêver les
yeux grands ouverts », selon sa propre expression.
Il est étonnant de constater à quel point certains de ces rêves semblent avoir, par ailleurs,
quelque chose de prémonitoire. James Cameron a très tôt été habité par des questionnements
qui sont aujourd’hui plus que jamais d’actualité. La frontière de plus en plus trouble entre
humains et machines, le développement de l’intelligence artificielle, la responsabilité que
nous avons dans la destruction de notre planète sont autant de thèmes essentiels qui
parcourent ses films, dès le début. Si le cinéma de James Cameron, avec ses effets visuels
époustouflants, font partie de ceux qui nous donnent encore envie d’aller dans les salles
obscures pour rêver sur grand écran, ils nous invitent donc aussi à garder les yeux grands
ouverts… sur le monde dans lequel nous vivons.
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[n° ou bulletin] est un bulletin de / Antoine Ullmann282 - Mai 2024 - James Cameron [Livres, articles, périodiques] . - 2024. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | James Cameron | Résumé : | Les robots mi-hommes mi-machines de Terminator, la nature merveilleuse d’Avatar, les
créatures terrifiantes d’Aliens, les héros romantiques de Titanic… ? Derrière ces films aussi
variés que populaires se cachent un seul et même créateur, James Cameron ! Plongez dans
l’univers d’un réalisateur hors norme, et découvrez l’histoire de ce jeune Canadien passionné
de dessin, qui fait ses débuts crayons et pinceaux à la main avant de passer derrière la caméra.
Un voyage dans une œuvre souvent visionnaire, qui raconte les préoccupations du monde
d’aujourd’hui, et qui n’a cessé de repousser film après film les limites du cinéma.
| Note de contenu : | Au sommaire
James l’explorateur
Réalisateur, dessinateur, aventurier, James Cameron relève tous les défis ! De sa jeunesse à
ses films époustouflants, coup de projecteur sur un artiste qui n’a pas froid aux yeux.
Passion créatures
Des reines alien aux robots Terminator en passant par de curieux poissons volants, le monde
de James Cameron regorge de bestioles. Bienvenue dans son bestiaire imaginaire !
Effets très spéciaux
Trucages, maquettes, caméras sous-marines, effets numériques : tout cela permet à Cameron
de donner vie aux films dont il rêve ! Entrez dans les coulisses…
Nature et machines
On oppose souvent la nature et machines. James Cameron, lui, est fasciné par les deux
univers. À tel point que les êtres humains semblent parfois bien secondaires…
Spectaculairement… humain !
Les films de James Cameron offrent leur lot d’images spectaculaires. Mais que cache-t-il
derrière ce grand show ?
Un cinéaste engagé ?
Inspirer l’humanité pour qu’elle s’améliore : c’est l’ambition du cinéma de James Cameron.
Le réalisateur aborde des thématiques qui, aujourd’hui encore, restent d’actualité.
Comme beaucoup d’adolescents à la fin des années 1960, le jeune James Cameron est féru de
science-fiction. Romans, bandes dessinées, films : tout est bon pour nourrir sa passion. À son
tour, il remplit des carnets de dessins : des vaisseaux spatiaux, des planètes extraterrestres, des
créatures en tous genres, des superhéros aux pouvoirs fabuleux, des scientifiques et tous leurs
outils de laboratoire… « Je dessinais dans mes cahiers pour ne pas me faire prendre par les
profs. J’étais censé étudier mais, pour moi, l’école, c’était juste six ou huit heures de dessin.
Pourquoi limiter ma pratique aux cours d’art plastique ? »
C’est ainsi que les mondes et les personnages de son imagination débordante prennent vie
pour la première fois, sur papier. Comme vous allez le découvrir, bon nombre de ces dessins
préfigurent des scènes cultes des films qu’il réalisera bien plus tard. Pour les faire passer de la
feuille à l’écran, il lui faudra non seulement apprendre les rouages du cinéma, mais aussi
puiser dans ses talents d’ingénieur – c’est la formation qu’il suivra finalement après le lycée –
et concevoir des technologies inédites. Des robots à l’apparence humaine de Terminator aux
merveilles de la planète Pandora dans Avatar, en passant par le naufrage d’un navire plus vrai
que nature dans Titanic, ses films nous donneront ainsi toujours l’impression de « rêver les
yeux grands ouverts », selon sa propre expression.
Il est étonnant de constater à quel point certains de ces rêves semblent avoir, par ailleurs,
quelque chose de prémonitoire. James Cameron a très tôt été habité par des questionnements
qui sont aujourd’hui plus que jamais d’actualité. La frontière de plus en plus trouble entre
humains et machines, le développement de l’intelligence artificielle, la responsabilité que
nous avons dans la destruction de notre planète sont autant de thèmes essentiels qui
parcourent ses films, dès le début. Si le cinéma de James Cameron, avec ses effets visuels
époustouflants, font partie de ceux qui nous donnent encore envie d’aller dans les salles
obscures pour rêver sur grand écran, ils nous invitent donc aussi à garder les yeux grands
ouverts… sur le monde dans lequel nous vivons.
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