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Mise en acte, mise en sens ; Le travail du psychomotricien auprès d'enfants porteurs de handicaps sévères / Maryse Klein-Melonio in Thérapie psychomotrice et recherches, N°92 (4(1991))

Public ISBD [article]  in Thérapie psychomotrice et recherches > N°92 (4(1991)) . - p. 4-18 Titre : Mise en acte, mise en sens ; Le travail du psychomotricien auprès d'enfants porteurs de handicaps sévères : Texte prononcé aux XXèmes Journées annuelles de thérapie Psychomotrice de Strasbourg, Janvier 1991 Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Maryse Klein-Melonio, Auteur ; Bénédicte Véron, Auteur ; Claude Bursztejn, Auteur Année de publication : 1991 Article en page(s) : p. 4-18 Langues : Français (fre) Résumé : "La plupart des enfants qui ont été pris en charge dans ce groupe avaient un fonctionnement mental d'un niveau très archaïque : sans langage, souvent sans échanges différenciés avec autrui, voire sans échange du tout. Aussi s'est-il imposé, comme une évidence, que le corps était la seule voie par laquelle pouvait passer nos tentatives d'entrer en contact, d'essayer de créer un échange, et ce tant à la fois dans le cadre des gestes quotidiens dont les infirmières avaient la charge, que dans les moments qui se voulaient plus différenciés, où intervenait le psychomotricien." [article] Mise en acte, mise en sens ; Le travail du psychomotricien auprès d'enfants porteurs de handicaps sévères : Texte prononcé aux XXèmes Journées annuelles de thérapie Psychomotrice de Strasbourg, Janvier 1991 [Livres, articles, périodiques] / Maryse Klein-Melonio, Auteur ; Bénédicte Véron, Auteur ; Claude Bursztejn, Auteur . - 1991 . - p. 4-18. Langues : Français (fre) in Thérapie psychomotrice et recherches > N°92 (4(1991)) . - p. 4-18 Résumé : "La plupart des enfants qui ont été pris en charge dans ce groupe avaient un fonctionnement mental d'un niveau très archaïque : sans langage, souvent sans échanges différenciés avec autrui, voire sans échange du tout. Aussi s'est-il imposé, comme une évidence, que le corps était la seule voie par laquelle pouvait passer nos tentatives d'entrer en contact, d'essayer de créer un échange, et ce tant à la fois dans le cadre des gestes quotidiens dont les infirmières avaient la charge, que dans les moments qui se voulaient plus différenciés, où intervenait le psychomotricien."