Titre de série : | Le Sociographe (Montpellier), 30 | Titre : | Le travail social est-il de gauche ? | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Editeur : | [Montpellier] : Le sociographe | Importance : | 1 vol. (128 p.) | Présentation : | couv. ill. | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-952890-09-0 | Mots-clés : | Identité professionnelle Travail social Bénéficiaires Usagers Engagement Militantisme Ethique Valeurs Sens Idéologie Insertion socio-professionnelle | Index. décimale : | 360 Service social | Résumé : | La question reste ouverte, plus que jamais d'actualité pour tous : professionnels, politiques, étudiants, formateurs, et pour les usagers (même les pauvres ne sont pas forcément de gauche...).
Ici, quelques approches théoriques et pragmatiques se frottent à cette difficile question, pour tenter d'aller au-delà des fausses consciences, des dichotomies un peu rapides. Pris dans un projet d'émancipation, le travail social est condamné à s'installer dans une "bonne conscience de gauche" et une subordination de ses missions aux pouvoirs dominants d'où ils tirent ses subsides et sa légitimité.
La fonction politique du travail social n'est-elle pas justement de nourrir ce débat démocratique ? |
Le Sociographe (Montpellier), 30. Le travail social est-il de gauche ? [Livres, articles, périodiques] . - [Montpellier] : Le sociographe, [s.d.] . - 1 vol. (128 p.) : couv. ill. ; 21 cm. ISBN : 978-2-952890-09-0 Mots-clés : | Identité professionnelle Travail social Bénéficiaires Usagers Engagement Militantisme Ethique Valeurs Sens Idéologie Insertion socio-professionnelle | Index. décimale : | 360 Service social | Résumé : | La question reste ouverte, plus que jamais d'actualité pour tous : professionnels, politiques, étudiants, formateurs, et pour les usagers (même les pauvres ne sont pas forcément de gauche...).
Ici, quelques approches théoriques et pragmatiques se frottent à cette difficile question, pour tenter d'aller au-delà des fausses consciences, des dichotomies un peu rapides. Pris dans un projet d'émancipation, le travail social est condamné à s'installer dans une "bonne conscience de gauche" et une subordination de ses missions aux pouvoirs dominants d'où ils tirent ses subsides et sa légitimité.
La fonction politique du travail social n'est-elle pas justement de nourrir ce débat démocratique ? |
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