[article] in Thérapie psychomotrice et recherches > N°79 (3(1988)) . - p. 21-34 Titre : | L'unité psychosomatique de l'être humain : Application aux thérapies et rééducations | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Jean-Yves Hayez, Auteur | Année de publication : | 1988 | Article en page(s) : | p. 21-34 | Langues : | Français (fre) | Résumé : | "... Enfin, ..., il est important de bien comprendre les forces sociales qui pèsent sur l'enfant à propos du traitement lui-même. Je ne dis pas pour autant qu'il faut être l'esclave résigné de ces forces sociales, ni quand elles sont trop négatives - en interrompant le traitement - ni quand elles sont trop positives - en ne continuant que pour faire plaisir aux parents.
Ma proposition est plutôt de parler à l'enfant, et à ses parents, de ces forces sociales telles qu'elles sont ou qu'on les ressent. A partir de là, il faut interroger l'enfant sur sa position, ses sentiments à lui, ses options face à ces pressions. Dans les cas, plutôt nombreux, où l'on tiendra compte des options de l'enfant, tant mieux pour lui ! Dans les cas plus rares où ce ne sera pas possible, il faut au moins que les options et positions émotionnelles de chacun soit claires et que l'on n'oblige pas l'enfant au moins, à dire qu'il aime et demande des séances qu'il ne veut pas pour le moment !" |
[article] L'unité psychosomatique de l'être humain : Application aux thérapies et rééducations [Livres, articles, périodiques] / Jean-Yves Hayez, Auteur . - 1988 . - p. 21-34. Langues : Français ( fre) in Thérapie psychomotrice et recherches > N°79 (3(1988)) . - p. 21-34 Résumé : | "... Enfin, ..., il est important de bien comprendre les forces sociales qui pèsent sur l'enfant à propos du traitement lui-même. Je ne dis pas pour autant qu'il faut être l'esclave résigné de ces forces sociales, ni quand elles sont trop négatives - en interrompant le traitement - ni quand elles sont trop positives - en ne continuant que pour faire plaisir aux parents.
Ma proposition est plutôt de parler à l'enfant, et à ses parents, de ces forces sociales telles qu'elles sont ou qu'on les ressent. A partir de là, il faut interroger l'enfant sur sa position, ses sentiments à lui, ses options face à ces pressions. Dans les cas, plutôt nombreux, où l'on tiendra compte des options de l'enfant, tant mieux pour lui ! Dans les cas plus rares où ce ne sera pas possible, il faut au moins que les options et positions émotionnelles de chacun soit claires et que l'on n'oblige pas l'enfant au moins, à dire qu'il aime et demande des séances qu'il ne veut pas pour le moment !" |
|