[article] in Revue francophone de cicatrisation > vol. 3, n° 4 (Octobre/Décembre 2019) . - p. 25-29 Titre : | Les pertes de substance des membres en chirurgie infantile, quelle prise en charge ? [Dossier : Plaies de l'enfant 2/2] | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Franck Duteille, Auteur ; Julien Oillic, Auteur ; Pierre Perrot, Auteur ; Antoine Hamel, Auteur | Année de publication : | 2019 | Article en page(s) : | p. 25-29 | Note générale : | doi : 10.1016/j.refrac.2019.11.004 | Langues : | Français (fre) | Résumé : | Les pertes de substance des membres de l’enfant font suite aux mêmes étiologies que celles retrouvées chez l’adulte, les moyens utilisés pour les couvrir également. En revanche, l’arbre thérapeutique peut différer. En effet, il faut prendre en compte deux éléments. En premier lieu, la qualité du réseau vasculaire chez l’enfant, qui peut amener à des résultats très nettement supérieurs à ceux obtenus chez l’adulte dans le cadre d’une cicatrisation dirigée. La cicatrisation dirigée et encore plus le traitement par pression négative trouvent donc une place importante. Ce concept a cependant ses limites, en particulier temporelles. C’est pourquoi d’autres techniques, comme les lambeaux, doivent faire partie des choix possibles. Puis il faut considérer l’avenir fonctionnel et social de l’enfant. La cicatrisation n’est pas un but ultime chez l’enfant. La cicatrice obtenue devra être de qualité, en particulier sans hypertrophie et rétraction, afin de limiter les séquelles, source de gêne fonctionnelle pouvant nécessiter une reprise chirurgicale. Après avoir dégagé l’intérêt et la spécificité des techniques utilisables face à des pertes de substance chez l’enfant, un arbre thérapeutique est proposé. |
[article] Les pertes de substance des membres en chirurgie infantile, quelle prise en charge ? [Dossier : Plaies de l'enfant 2/2] [Livres, articles, périodiques] / Franck Duteille, Auteur ; Julien Oillic, Auteur ; Pierre Perrot, Auteur ; Antoine Hamel, Auteur . - 2019 . - p. 25-29. doi : 10.1016/j.refrac.2019.11.004 Langues : Français ( fre) in Revue francophone de cicatrisation > vol. 3, n° 4 (Octobre/Décembre 2019) . - p. 25-29 Résumé : | Les pertes de substance des membres de l’enfant font suite aux mêmes étiologies que celles retrouvées chez l’adulte, les moyens utilisés pour les couvrir également. En revanche, l’arbre thérapeutique peut différer. En effet, il faut prendre en compte deux éléments. En premier lieu, la qualité du réseau vasculaire chez l’enfant, qui peut amener à des résultats très nettement supérieurs à ceux obtenus chez l’adulte dans le cadre d’une cicatrisation dirigée. La cicatrisation dirigée et encore plus le traitement par pression négative trouvent donc une place importante. Ce concept a cependant ses limites, en particulier temporelles. C’est pourquoi d’autres techniques, comme les lambeaux, doivent faire partie des choix possibles. Puis il faut considérer l’avenir fonctionnel et social de l’enfant. La cicatrisation n’est pas un but ultime chez l’enfant. La cicatrice obtenue devra être de qualité, en particulier sans hypertrophie et rétraction, afin de limiter les séquelles, source de gêne fonctionnelle pouvant nécessiter une reprise chirurgicale. Après avoir dégagé l’intérêt et la spécificité des techniques utilisables face à des pertes de substance chez l’enfant, un arbre thérapeutique est proposé. |
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