Titre : | Allende | Type de document : | K7 vidéo, DVD | Auteurs : | Patricio Guzman, Auteur | Année de publication : | 2004 | Présentation : | Durée : 1h40 minutes | Note générale : |
Musique : Alan Silvestri
Genre : comédie dramatique | Mots-clés : | DVD Film Fiction Histoire Politique | Index. décimale : | 791.221 Cinéma. Films. Fictions | Résumé : | "Je me souviens du 11 septembre 1973, jour sombre où l'Amérique fomenta un coup d'état pour abattre la révolution pacifique et démocratique qui se construisait au Chili...". Patricio Guzmán consacre son oeuvre cinématographique au documentaire sur son pays. Il nous dresse une fresque historique, juste et émouvante sur le Chili de Salvador Allende.
On dirait que Guzman a voulu à la fois édifier un mausolée à Salvador Allende et le faire revivre. Ce mélange de révérence et de proximité est émouvant : on sent qu'une bonne part de la vie de Guzman s'est arrêtée le 11 septembre 1973 et que ce film est un artifice pour la ressusciter. Le Monde Guzman exhume l'ère Allende, celle des espoirs. Le passé ne passe pas : il noue toujours les tripes. Guzman raconte avec ces tripes-là. Quand il filme et commente, il dit "je". Lui aussi a souffert de l'exil comme un "bateau à la dérive" , après avoir été enfermé dans le Stade national de Santiago. Guzman, et c'est tant mieux, ne fait pas un travail d'historien, ne prétend à aucune forme d'improbable "objectivité". Libération --editeur |
Allende [K7 vidéo, DVD] / Patricio Guzman, Auteur . - 2004 . - : Durée : 1h40 minutes.
Musique : Alan Silvestri
Genre : comédie dramatique Mots-clés : | DVD Film Fiction Histoire Politique | Index. décimale : | 791.221 Cinéma. Films. Fictions | Résumé : | "Je me souviens du 11 septembre 1973, jour sombre où l'Amérique fomenta un coup d'état pour abattre la révolution pacifique et démocratique qui se construisait au Chili...". Patricio Guzmán consacre son oeuvre cinématographique au documentaire sur son pays. Il nous dresse une fresque historique, juste et émouvante sur le Chili de Salvador Allende.
On dirait que Guzman a voulu à la fois édifier un mausolée à Salvador Allende et le faire revivre. Ce mélange de révérence et de proximité est émouvant : on sent qu'une bonne part de la vie de Guzman s'est arrêtée le 11 septembre 1973 et que ce film est un artifice pour la ressusciter. Le Monde Guzman exhume l'ère Allende, celle des espoirs. Le passé ne passe pas : il noue toujours les tripes. Guzman raconte avec ces tripes-là. Quand il filme et commente, il dit "je". Lui aussi a souffert de l'exil comme un "bateau à la dérive" , après avoir été enfermé dans le Stade national de Santiago. Guzman, et c'est tant mieux, ne fait pas un travail d'historien, ne prétend à aucune forme d'improbable "objectivité". Libération --editeur |
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