Titre : | Babel | Type de document : | K7 vidéo, DVD | Auteurs : | Brad Pitt, Acteur ; Cate Blanchett, Acteur ; Gael García Bernal, Auteur | Présentation : | Durée : 2h15 minutes | Mots-clés : | DVD Film Fiction | Index. décimale : | 791.221 Cinéma. Films. Fictions | Résumé : | Le titre, référence au passage de la Bible, renvoie à la vision cosmopolite du monde. Dans la Genèse, les descendants de Noé défient le pouvoir absolu de Dieu en érigeant, à Babel (nom hébreu de Babylone), une tour à la hauteur des cieux. Pour punir les hommes de leur arrogance, Dieu crée alors différentes langues, afin qu’ils ne puissent plus communiquer. En écho à la parole biblique, Iñárritu fait résonner la voix humaine à l’unisson : "Chacun de nous parle sa propre langue, différente des autres, mais nous partageons tous la même structure universelle, spirituelle". Selon le réalisateur, l’incompréhension de l’humanité ne repose pas sur la barrière linguistique, car toute langue peut s’apprendre. Elle découle des difficultés rencontrées par les hommes à communiquer, alors que tous sont unis par la même humanité : "Nous considérons toujours l'autre comme une menace si on n'arrive pas à le comprendre". Tous ces personnages souffrent de leur incapacité à entrer en relation avec autrui : nationalités, époux, enfants. Or, on est tous extrêmement vulnérables à travers les êtres que nous aimons. Et le seul langage universel est celui qui nous intéresse (dans l’être), qui nous touche. Dépassant la tour de Babel, le film montre que ce qui tue n’est pas la différence mais l’indifférence entre les hommes. L’objectif du film tend à mettre en relief "les similitudes entre des peuples si différents". Primé à Cannes en 2006. La fin est étrange, on reste sur sa faim car le seul lien entre les personnes est une arme à feu. Accessible à partir de 18 ans. |
Babel [K7 vidéo, DVD] / Brad Pitt, Acteur ; Cate Blanchett, Acteur ; Gael García Bernal, Auteur . - [s.d.] . - : Durée : 2h15 minutes. Mots-clés : | DVD Film Fiction | Index. décimale : | 791.221 Cinéma. Films. Fictions | Résumé : | Le titre, référence au passage de la Bible, renvoie à la vision cosmopolite du monde. Dans la Genèse, les descendants de Noé défient le pouvoir absolu de Dieu en érigeant, à Babel (nom hébreu de Babylone), une tour à la hauteur des cieux. Pour punir les hommes de leur arrogance, Dieu crée alors différentes langues, afin qu’ils ne puissent plus communiquer. En écho à la parole biblique, Iñárritu fait résonner la voix humaine à l’unisson : "Chacun de nous parle sa propre langue, différente des autres, mais nous partageons tous la même structure universelle, spirituelle". Selon le réalisateur, l’incompréhension de l’humanité ne repose pas sur la barrière linguistique, car toute langue peut s’apprendre. Elle découle des difficultés rencontrées par les hommes à communiquer, alors que tous sont unis par la même humanité : "Nous considérons toujours l'autre comme une menace si on n'arrive pas à le comprendre". Tous ces personnages souffrent de leur incapacité à entrer en relation avec autrui : nationalités, époux, enfants. Or, on est tous extrêmement vulnérables à travers les êtres que nous aimons. Et le seul langage universel est celui qui nous intéresse (dans l’être), qui nous touche. Dépassant la tour de Babel, le film montre que ce qui tue n’est pas la différence mais l’indifférence entre les hommes. L’objectif du film tend à mettre en relief "les similitudes entre des peuples si différents". Primé à Cannes en 2006. La fin est étrange, on reste sur sa faim car le seul lien entre les personnes est une arme à feu. Accessible à partir de 18 ans. |
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