| Titre : | L' inflation scolaire : Les désillusions de la méritocratie | | Type de document : | Livres, articles, périodiques | | Auteurs : | Marie Duru-Bellat | | Editeur : | s.l. : La-République-des-Idées ; Seuil | | Année de publication : | 2006 | | Importance : | 105 p. | | ISBN/ISSN/EAN : | 2-02-85168-8 | | Mots-clés : | SOCIOLOGIE-DE-L'EDUCATION REUSSITE-SCOLAIRE REUSSITE-SOCIALE ASCENSEUR-SOCIAL MASSIFICATION (de l'enseignement) | | Résumé : | L'égalité politique est censée se doubler d'une autre égalité: celle des chances qu'ont les individus d'accéder, sur la base de leurs aspirations et de leurs qualités personnelles, à une position sociale et aux avantages qui y sont attachés. La place que l'on occupera dans la société doit dépendre, non plus de facteurs hérités, mais de ressources propres, acquises et mobilisées par l'individu lui-même. Le mérite devient le grand ordonnateur. La quête du diplôme le plus performant et son corrolaire, l'allongement de la scolarité, est un dogme attaché à la méritocra-tie. Tout cela est-il si sûr ? S'attaquant à cette idée taboue, l'auteur va ainsi tenter de répondre à la question de savoir si l'Ecole est réellement cet ascenseur social si vanté. Ce qui entraîne une seconde question: la méritocratie est-elle un gage de justice sociale ? Quels bénéfices la société tire-t-elle d'une population deplus en plus instruite ? M.Duru-Bellat ne prétend pas ici contester les effets positifs de l'éducation, mais plutôt s'interroger sur les dérives et effets pervers possibles d'une expansion de l'éducation qui s'est progressivement focalisée sur des objectifs quantitatifs (x% d'élèves à tel niveau) et des visées économiques. |
L' inflation scolaire : Les désillusions de la méritocratie [Livres, articles, périodiques] / Marie Duru-Bellat . - s.l. (s.l.) : La-République-des-Idées ; Seuil, 2006 . - 105 p. ISSN : 2-02-85168-8 | Mots-clés : | SOCIOLOGIE-DE-L'EDUCATION REUSSITE-SCOLAIRE REUSSITE-SOCIALE ASCENSEUR-SOCIAL MASSIFICATION (de l'enseignement) | | Résumé : | L'égalité politique est censée se doubler d'une autre égalité: celle des chances qu'ont les individus d'accéder, sur la base de leurs aspirations et de leurs qualités personnelles, à une position sociale et aux avantages qui y sont attachés. La place que l'on occupera dans la société doit dépendre, non plus de facteurs hérités, mais de ressources propres, acquises et mobilisées par l'individu lui-même. Le mérite devient le grand ordonnateur. La quête du diplôme le plus performant et son corrolaire, l'allongement de la scolarité, est un dogme attaché à la méritocra-tie. Tout cela est-il si sûr ? S'attaquant à cette idée taboue, l'auteur va ainsi tenter de répondre à la question de savoir si l'Ecole est réellement cet ascenseur social si vanté. Ce qui entraîne une seconde question: la méritocratie est-elle un gage de justice sociale ? Quels bénéfices la société tire-t-elle d'une population deplus en plus instruite ? M.Duru-Bellat ne prétend pas ici contester les effets positifs de l'éducation, mais plutôt s'interroger sur les dérives et effets pervers possibles d'une expansion de l'éducation qui s'est progressivement focalisée sur des objectifs quantitatifs (x% d'élèves à tel niveau) et des visées économiques. |
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