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Auteur André Rauch
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Faire une suggestion Affiner la rechercheJean Le Boulch ou l'homme en mouvement / André Rauch in EP&S, 293 (Janvier-février 2002)
in EP&S > 293 (Janvier-février 2002) . - p. 9-10
Titre : Jean Le Boulch ou l'homme en mouvement : hommage à Jean Le Boulch : dossier Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : André Rauch, Auteur Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 9-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Le Boulch, Jean (1924-2001) [article] Jean Le Boulch ou l'homme en mouvement : hommage à Jean Le Boulch : dossier [Livres, articles, périodiques] / André Rauch, Auteur . - 2002 . - p. 9-10.
Langues : Français (fre)
in EP&S > 293 (Janvier-février 2002) . - p. 9-10
Mots-clés : Le Boulch, Jean (1924-2001)
in Pratiques corporelles > N°85 (Décembre 1989) . - p; 6-10
Titre : Les Journées d'étude de la SFERPM. Egletons - 26 et 27 août 1989. Des surveillances disciplinaires aux tyrannies de l'intime : 1830 - 1960 Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : André Rauch, Auteur Année de publication : 1989 Article en page(s) : p; 6-10 Langues : Français (fre) Résumé : Cette histoire des punitions est une évolution du pouvoir des enseignants dans l'institution où ils exercent. Elle comprend de fait deux histoires : celle des stratégies du maître pour imposer son autorité dans la classe où il enseigne et celle de l'apprentissage par l'élève de la docilité. [article] Les Journées d'étude de la SFERPM. Egletons - 26 et 27 août 1989. Des surveillances disciplinaires aux tyrannies de l'intime : 1830 - 1960 [Livres, articles, périodiques] / André Rauch, Auteur . - 1989 . - p; 6-10.
Langues : Français (fre)
in Pratiques corporelles > N°85 (Décembre 1989) . - p; 6-10
Résumé : Cette histoire des punitions est une évolution du pouvoir des enseignants dans l'institution où ils exercent. Elle comprend de fait deux histoires : celle des stratégies du maître pour imposer son autorité dans la classe où il enseigne et celle de l'apprentissage par l'élève de la docilité.
in Pratiques corporelles > N°97 (Décembre 1992) . - p. 4-11
Titre : Violence, brutalité et barbarie : Conférence d'ouverture Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : André Rauch, Auteur Année de publication : 1992 Article en page(s) : p. 4-11 Langues : Français (fre) Résumé : ... Inaugurer, ça veut dire ouvrir, et par conséquent, au cours de cette réflexion, je ne donnerai pas des conclusions, même provisoires, j'essaierai d'ouvrir le débat sur les questions que vous allez étudier à la fois théoriquement et pratiquement durant ces journées.
D'abord, souligner que le titre de ces journées est : conflit-violence-et communication-Médiations corporelles. Au départ, nous pourrions penser que la violence est anéantissement. Or ici, le titre nous indique que dans la violence demeure une communication : un message passe, il est plus ou moins bien reçu. Et d'autre part le titre : médiations corporelles, ne signifie pas simplement que le corps doit être entre deux violences. Dans notre société aujourd'hui, la première idée qui nous vient à l'esprit lorsque nous évoquons la violence, c'est celle de la violence physique. C'est trop restrictif.[article] Violence, brutalité et barbarie : Conférence d'ouverture [Livres, articles, périodiques] / André Rauch, Auteur . - 1992 . - p. 4-11.
Langues : Français (fre)
in Pratiques corporelles > N°97 (Décembre 1992) . - p. 4-11
Résumé : ... Inaugurer, ça veut dire ouvrir, et par conséquent, au cours de cette réflexion, je ne donnerai pas des conclusions, même provisoires, j'essaierai d'ouvrir le débat sur les questions que vous allez étudier à la fois théoriquement et pratiquement durant ces journées.
D'abord, souligner que le titre de ces journées est : conflit-violence-et communication-Médiations corporelles. Au départ, nous pourrions penser que la violence est anéantissement. Or ici, le titre nous indique que dans la violence demeure une communication : un message passe, il est plus ou moins bien reçu. Et d'autre part le titre : médiations corporelles, ne signifie pas simplement que le corps doit être entre deux violences. Dans notre société aujourd'hui, la première idée qui nous vient à l'esprit lorsque nous évoquons la violence, c'est celle de la violence physique. C'est trop restrictif.
