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Ecrire (ou ne pas écrire) pour garder trace / Christian Meulders in L'Observatoire, 100 (Octobre 2019)

Public ISBD [article]  in L'Observatoire > 100 (Octobre 2019) . - pp.78-81 Titre : Ecrire (ou ne pas écrire) pour garder trace Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Christian Meulders, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : pp.78-81 Langues : Français (fre) Mots-clés : compte-rendu  entretien  notes de suivi  nouvelles technologies  partage de l’information  confidentialité  éthique Résumé : Surÿa fait partie des trois centres spécialisés en Belgique pour l’accueil, l’accompagnement et l’hébergement des personnes victimes de la traite et du trafic international des êtres humains. Dans ce cadre particulier, l’écrit se déploie au fil des entretiens. De notes manuscrites prises sur le vif en compte-rendus partagés sur une plate-forme sécurisée, il tente de retracer la ligne du temps de vies brisées, d’histoires qui peinent parfois à se raconter. Christian Meulders nous livre quelques réflexions sur la place de l’écrit chez Surÿa, ses contraintes, ses spécificités, ses rapports avec les nouvelles technologies, ses différences avec l’oral, ses risques aussi. [article] Ecrire (ou ne pas écrire) pour garder trace [Livres, articles, périodiques] / Christian Meulders, Auteur . - 2019 . - pp.78-81. Langues : Français (fre) in L'Observatoire > 100 (Octobre 2019) . - pp.78-81 Mots-clés : compte-rendu  entretien  notes de suivi  nouvelles technologies  partage de l’information  confidentialité  éthique Résumé : Surÿa fait partie des trois centres spécialisés en Belgique pour l’accueil, l’accompagnement et l’hébergement des personnes victimes de la traite et du trafic international des êtres humains. Dans ce cadre particulier, l’écrit se déploie au fil des entretiens. De notes manuscrites prises sur le vif en compte-rendus partagés sur une plate-forme sécurisée, il tente de retracer la ligne du temps de vies brisées, d’histoires qui peinent parfois à se raconter. Christian Meulders nous livre quelques réflexions sur la place de l’écrit chez Surÿa, ses contraintes, ses spécificités, ses rapports avec les nouvelles technologies, ses différences avec l’oral, ses risques aussi.