[article] in L'Observatoire > 95 (Juin 2018) . - pp.18-21 Titre : | Traumatisme, déracinement et exclusion des femmes migrantes | Titre original : | De la prise en charge individuelle au travail en groupe | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Maria Gladys Busse, Auteur | Année de publication : | 2018 | Article en page(s) : | pp.18-21 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Traumatisme violence organisée identité thérapie globale résilience | Résumé : | L’équipe du centre Exil, multidisciplinaire et multiculturelle, offre un soutien médico-psycho-social à toutes personnes victimes de violence organisée, aux exilés ainsi qu’à leur famille. Se centrant ici davantage sur les femmes, elle démontre que l’accumulation de la torture et du traumatisme sévère peut entraîner des séquelles psychiques et sociales qui vont influencer fortement leurs rapports aux autres et à la vie. La crise de la migration et le choc violent de l’exil vont les fragiliser d’avantage et les confronter à donner du sens à leur expérience.
Le centre Exil a mis en place un modèle thérapeutique permettant d’agir sur les deux sources principales de souffrance de ses patientes : celle liée aux expériences traumatiques d’une part, et d’autre part, les difficultés liées aux troubles de l’identité sociale suite à l’exil. Cependant, cette crise peut être porteuse de potentialités créatrices et d’une nouvelle dynamique pour l’individu. |
[article] Traumatisme, déracinement et exclusion des femmes migrantes = De la prise en charge individuelle au travail en groupe [Livres, articles, périodiques] / Maria Gladys Busse, Auteur . - 2018 . - pp.18-21. Langues : Français ( fre) in L'Observatoire > 95 (Juin 2018) . - pp.18-21 Mots-clés : | Traumatisme violence organisée identité thérapie globale résilience | Résumé : | L’équipe du centre Exil, multidisciplinaire et multiculturelle, offre un soutien médico-psycho-social à toutes personnes victimes de violence organisée, aux exilés ainsi qu’à leur famille. Se centrant ici davantage sur les femmes, elle démontre que l’accumulation de la torture et du traumatisme sévère peut entraîner des séquelles psychiques et sociales qui vont influencer fortement leurs rapports aux autres et à la vie. La crise de la migration et le choc violent de l’exil vont les fragiliser d’avantage et les confronter à donner du sens à leur expérience.
Le centre Exil a mis en place un modèle thérapeutique permettant d’agir sur les deux sources principales de souffrance de ses patientes : celle liée aux expériences traumatiques d’une part, et d’autre part, les difficultés liées aux troubles de l’identité sociale suite à l’exil. Cependant, cette crise peut être porteuse de potentialités créatrices et d’une nouvelle dynamique pour l’individu. |
|