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Auteur Ludovic Serna
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Faire une suggestion Affiner la rechercheFreins, difficultés et facilitateurs dans la mise en place d'une recherche financée par le Programme hospitalier de recherche infirmière et paramédicale (PHRIP) : retour d'expérience d'un projet de recherche en santé mentale / Mickaël Mastracci in Recherche en soins infirmiers, 140 (Mars 2020)
[article]
in Recherche en soins infirmiers > 140 (Mars 2020) . - p. 69-76
Titre : Freins, difficultés et facilitateurs dans la mise en place d'une recherche financée par le Programme hospitalier de recherche infirmière et paramédicale (PHRIP) : retour d'expérience d'un projet de recherche en santé mentale Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Mickaël Mastracci ; Simon Bilitys ; Ludovic Serna ; Pierrette Estingoy Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 69-76 Note générale : https://doi.org/10.3917/rsi.140.0069 Langues : Français (fre) Mots-clés : schizophrénie éducation thérapeutique du patient remédiation cognitive qualité de vie soins infirmiers Résumé : La recherche infirmière ne cesse de se développer et de s'autonomiser. C'est dans cette dynamique que notre protocole a été financé dans le cadre des programmes hospitaliers de recherche infirmière et paramédicale. La schizophrénie est une pathologie mentale qui touche 1 % de la population générale. Il s'agit d'une maladie invalidante tant sur le plan cognitif que social. Différents outils thérapeutiques ont été validés afin de faciliter le processus de réhabilitation des personnes souffrants de handicap psychique. Dans notre étude, nous faisons l'hypothèse qu'un programme d'éducation thérapeutique placé en amont de la remédiation cognitive va en potentialiser les effets bénéfiques. Nous prévoyions d'inclure 80 patients âgés de 18 à 60 ans, randomisé en deux groupes, l'un associant remédiation cognitive et éducation thérapeutique, le second avec une prise en charge de remédiation cognitive. Chaque patient a été évalué par des batteries neuropsychologiques et infirmières avant, après et à 6 mois de la prise en charge. Les résultats statistiques n'étant pas recevables, nous nous sommes intéressés aux facteurs facilitants et limitant la mise en place d'une recherche infirmière. Nous pouvons classer ces facteurs en 3 catégories : liés à l'infirmier ; liés à la structure et l'organisation et liés à la recherche. [article] Freins, difficultés et facilitateurs dans la mise en place d'une recherche financée par le Programme hospitalier de recherche infirmière et paramédicale (PHRIP) : retour d'expérience d'un projet de recherche en santé mentale [Livres, articles, périodiques] / Mickaël Mastracci ; Simon Bilitys ; Ludovic Serna ; Pierrette Estingoy . - 2020 . - p. 69-76.
https://doi.org/10.3917/rsi.140.0069
Langues : Français (fre)
in Recherche en soins infirmiers > 140 (Mars 2020) . - p. 69-76
Mots-clés : schizophrénie éducation thérapeutique du patient remédiation cognitive qualité de vie soins infirmiers Résumé : La recherche infirmière ne cesse de se développer et de s'autonomiser. C'est dans cette dynamique que notre protocole a été financé dans le cadre des programmes hospitaliers de recherche infirmière et paramédicale. La schizophrénie est une pathologie mentale qui touche 1 % de la population générale. Il s'agit d'une maladie invalidante tant sur le plan cognitif que social. Différents outils thérapeutiques ont été validés afin de faciliter le processus de réhabilitation des personnes souffrants de handicap psychique. Dans notre étude, nous faisons l'hypothèse qu'un programme d'éducation thérapeutique placé en amont de la remédiation cognitive va en potentialiser les effets bénéfiques. Nous prévoyions d'inclure 80 patients âgés de 18 à 60 ans, randomisé en deux groupes, l'un associant remédiation cognitive et éducation thérapeutique, le second avec une prise en charge de remédiation cognitive. Chaque patient a été évalué par des batteries neuropsychologiques et infirmières avant, après et à 6 mois de la prise en charge. Les résultats statistiques n'étant pas recevables, nous nous sommes intéressés aux facteurs facilitants et limitant la mise en place d'une recherche infirmière. Nous pouvons classer ces facteurs en 3 catégories : liés à l'infirmier ; liés à la structure et l'organisation et liés à la recherche. « Sans chambre d'isolement, on a gagné en assurance » / Ludovic Serna in Santé mentale, 260 (Septembre 2021)
[article]
in Santé mentale > 260 (Septembre 2021) . - p. 50-55
Titre : « Sans chambre d'isolement, on a gagné en assurance » Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Ludovic Serna ; Christophe Lanoix ; Flora Lootgieter Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 50-55 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Isolement et contention : faire autrement?". Langues : Français (fre) Mots-clés : Chambre d'apaisement Chambre d'isolement Equipe soignante Expérience Projet Travail d'équipe Vécu du soignant Résumé : Au CH Saint-Jean de Dieu, trois ans après la fermeture d’une chambre d’isolement, l’ambiance générale de l’unité s’est considérablement apaisée et l’alliance thérapeutique renforcée. Retour sur les étapes qui ont permis aux soignants, soutenus par l’encadrement et l’institution, d’innover.
Créée en 2004, l’Unité de réhabilitation psychosociale (URPS) Paul Sivadon avait pour mission initiale l’accueil « des personnes présentant des pathologies à longue évolution hospitalisées au long cours » afin de préparer leur intégration dans un lieu de vie quel qu’il soit. D’une capacité de 40 lits, elle occupait deux étages, créant ainsi deux sous-unités de 20 lits. Cette organisation répartissait aussi les moyens humains entre deux services.[article] « Sans chambre d'isolement, on a gagné en assurance » [Livres, articles, périodiques] / Ludovic Serna ; Christophe Lanoix ; Flora Lootgieter . - 2021 . - p. 50-55.
Cet article fait partie du dossier "Isolement et contention : faire autrement?".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 260 (Septembre 2021) . - p. 50-55
Mots-clés : Chambre d'apaisement Chambre d'isolement Equipe soignante Expérience Projet Travail d'équipe Vécu du soignant Résumé : Au CH Saint-Jean de Dieu, trois ans après la fermeture d’une chambre d’isolement, l’ambiance générale de l’unité s’est considérablement apaisée et l’alliance thérapeutique renforcée. Retour sur les étapes qui ont permis aux soignants, soutenus par l’encadrement et l’institution, d’innover.
Créée en 2004, l’Unité de réhabilitation psychosociale (URPS) Paul Sivadon avait pour mission initiale l’accueil « des personnes présentant des pathologies à longue évolution hospitalisées au long cours » afin de préparer leur intégration dans un lieu de vie quel qu’il soit. D’une capacité de 40 lits, elle occupait deux étages, créant ainsi deux sous-unités de 20 lits. Cette organisation répartissait aussi les moyens humains entre deux services.