[article] in L'Observatoire > 88 (Septembre 2016) . - pp.16-19 Titre : | Les « incapables »... Une autonomie possible ? | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Valérie Gillet, Auteur ; Nathalie Bosmans, Auteur ; Anne-Catherine Gigot, Auteur ; José Garcia, Auteur ; Marie-Alice Congi, Auteur | Année de publication : | 2016 | Article en page(s) : | pp.16-19 | Langues : | Français (fre) | Résumé : | La mise sous protection judiciaire concerne des personnes qui, en raison de leur état de santé, sont reconnues « incapables » de réaliser toute une série d’actes relatifs en rapport avec leurs biens et, éventuellement, leur personne. La « capacité » étant définie par la loi comme « la compétence d’exercer ses droits et devoirs soi-même et de façon autonome », une personne reconnue « incapable » voit donc, légalement, son autonomie limitée. A l’intérieur de ce cadre, étendre les marges d’autonomie de la personne demeure néanmoins possible, et dans l’esprit de la nouvelle loi sur la protection judiciaire.
Pour ce faire, administrateurs de biens et intervenants sociaux se doivent de travailler de concert. Nous avons rencontré à ce sujet des membres du Collectif Administration de Biens en Santé Mentale, né en 2013 précisément en vue de favoriser une meilleure collaboration sur le terrain entre, d’un côté, les administrateurs, de l’autre, les intervenants actifs dans le champ de la santé mentale, au bénéficie du bien-être, du projet thérapeutique et de l’autonomie des nombreux usagers qu’ils ont en commun. |
[article] Les « incapables »... Une autonomie possible ? [Livres, articles, périodiques] / Valérie Gillet, Auteur ; Nathalie Bosmans, Auteur ; Anne-Catherine Gigot, Auteur ; José Garcia, Auteur ; Marie-Alice Congi, Auteur . - 2016 . - pp.16-19. Langues : Français ( fre) in L'Observatoire > 88 (Septembre 2016) . - pp.16-19 Résumé : | La mise sous protection judiciaire concerne des personnes qui, en raison de leur état de santé, sont reconnues « incapables » de réaliser toute une série d’actes relatifs en rapport avec leurs biens et, éventuellement, leur personne. La « capacité » étant définie par la loi comme « la compétence d’exercer ses droits et devoirs soi-même et de façon autonome », une personne reconnue « incapable » voit donc, légalement, son autonomie limitée. A l’intérieur de ce cadre, étendre les marges d’autonomie de la personne demeure néanmoins possible, et dans l’esprit de la nouvelle loi sur la protection judiciaire.
Pour ce faire, administrateurs de biens et intervenants sociaux se doivent de travailler de concert. Nous avons rencontré à ce sujet des membres du Collectif Administration de Biens en Santé Mentale, né en 2013 précisément en vue de favoriser une meilleure collaboration sur le terrain entre, d’un côté, les administrateurs, de l’autre, les intervenants actifs dans le champ de la santé mentale, au bénéficie du bien-être, du projet thérapeutique et de l’autonomie des nombreux usagers qu’ils ont en commun. |
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