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Que reste-t-il quand tant et tant s’en sont allés ? Ou la raréfaction des relations lors de l’avancée en âge / Régina Goldfarb in L'Observatoire, 81 (Novembre 2014)

Public ISBD [article]  in L'Observatoire > 81 (Novembre 2014) . - pp.47-49 Titre : Que reste-t-il quand tant et tant s’en sont allés ? Ou la raréfaction des relations lors de l’avancée en âge Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Régina Goldfarb, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : pp.47-49 Langues : Français (fre) Mots-clés : Personne âgée  vieillisement  solitude  délires  comportements psychotiques Résumé : La personne âgée vit des pertes successives : son corps, sa vivacité intellectuelle, son autonomie, ses relations proches et moins proches, sa sécurité matérielle se fragilisent avec l’avancée en âge. Si elle n’a pas la possibilité de trouver face à elle un autre qui la reconnait comme une personne digne d’intérêt, ou si elle ne peut trouver en elle des mécanismes de défense psychiques suffisamment forts, elle risque de se délier d’elle-même et de se replier dans un monde fantasmagorique, c’est "le refus de penser - et de se penser - pour oublier qu’on ne veut plus penser à eux". [article] Que reste-t-il quand tant et tant s’en sont allés ? Ou la raréfaction des relations lors de l’avancée en âge [Livres, articles, périodiques] / Régina Goldfarb, Auteur . - 2014 . - pp.47-49. Langues : Français (fre) in L'Observatoire > 81 (Novembre 2014) . - pp.47-49 Mots-clés : Personne âgée  vieillisement  solitude  délires  comportements psychotiques Résumé : La personne âgée vit des pertes successives : son corps, sa vivacité intellectuelle, son autonomie, ses relations proches et moins proches, sa sécurité matérielle se fragilisent avec l’avancée en âge. Si elle n’a pas la possibilité de trouver face à elle un autre qui la reconnait comme une personne digne d’intérêt, ou si elle ne peut trouver en elle des mécanismes de défense psychiques suffisamment forts, elle risque de se délier d’elle-même et de se replier dans un monde fantasmagorique, c’est "le refus de penser - et de se penser - pour oublier qu’on ne veut plus penser à eux".