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Auteur Sylvain Venayre
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Faire une suggestion Affiner la rechercheActualité : Pessac 2021, palmarès / Sylvain Venayre in L'Histoire, N° 491 (Janvier 2022)
[article]
in L'Histoire > N° 491 (Janvier 2022) . - p. 26-27
Titre : Actualité : Pessac 2021, palmarès Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Sylvain Venayre, Auteur ; Ania Szczepanska, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 26-27 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pessac festival 2021 Note de contenu :
Si pour sa 31e édition, le Festival international du film d'histoire de Pessac voulait mettre à l'honneur le XIXe siècle, c'est le XXe siècle qui a été plébiscité par les jurys.
Pendant une semaine, du 15 au 21 novembre 2021, les amateurs d'histoire et de cinéma ont eu droit à une magnifique programmation de films mettant en scène le « siècle de la vapeur », ainsi qu'à de passionnants débats réunissant quelques-uns des meilleurs spécialistes français de l'histoire du XIXe siècle. Les films, notons-le, étaient le plus souvent anciens, appartenant davantage à l'histoire du cinéma qu'à son actualité. Fait remarquable, en effet : en dépit de l'intention des organisateurs, invitant à poser un nouveau regard sur le XIXe siècle, les douze films présentés en avant-première, dans le cadre de la compétition fiction, concernaient presque tous le XXe siècle. Seul Miss Marx, biopic approximatif de Susanna Nicchiarelli sur Eleanor, la plus jeune fille de Karl Marx, concernait le XIXe siècle.
Il faut l'admettre, en dépit de la récente adaptation d'Illusions perdues : au cinéma, l'histoire, c'est d'abord l'histoire du XXe siècle. ...
[article] Actualité : Pessac 2021, palmarès [Livres, articles, périodiques] / Sylvain Venayre, Auteur ; Ania Szczepanska, Auteur . - 2022 . - p. 26-27.
Langues : Français (fre)
in L'Histoire > N° 491 (Janvier 2022) . - p. 26-27
Mots-clés : Pessac festival 2021 Note de contenu :
Si pour sa 31e édition, le Festival international du film d'histoire de Pessac voulait mettre à l'honneur le XIXe siècle, c'est le XXe siècle qui a été plébiscité par les jurys.
Pendant une semaine, du 15 au 21 novembre 2021, les amateurs d'histoire et de cinéma ont eu droit à une magnifique programmation de films mettant en scène le « siècle de la vapeur », ainsi qu'à de passionnants débats réunissant quelques-uns des meilleurs spécialistes français de l'histoire du XIXe siècle. Les films, notons-le, étaient le plus souvent anciens, appartenant davantage à l'histoire du cinéma qu'à son actualité. Fait remarquable, en effet : en dépit de l'intention des organisateurs, invitant à poser un nouveau regard sur le XIXe siècle, les douze films présentés en avant-première, dans le cadre de la compétition fiction, concernaient presque tous le XXe siècle. Seul Miss Marx, biopic approximatif de Susanna Nicchiarelli sur Eleanor, la plus jeune fille de Karl Marx, concernait le XIXe siècle.
Il faut l'admettre, en dépit de la récente adaptation d'Illusions perdues : au cinéma, l'histoire, c'est d'abord l'histoire du XXe siècle. ...
Décryptage d'image : 1886 : la trame de l'interview / Sylvain Venayre in L'Histoire, N° 496 (Juin 2022)
[article]
in L'Histoire > N° 496 (Juin 2022) . - p. 76-77
Titre : Décryptage d'image : 1886 : la trame de l'interview Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Sylvain Venayre, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 76-77 Langues : Français (fre) Mots-clés : Journal illustré chismistes entretien Nadar photogravure Note de contenu :
Le dimanche 5 septembre 1886, la une du Journal illustré annonçait trois entretiens avec le chimiste Michel-Eugène Chevreul, au lendemain du 100e anniversaire de celui-ci.
Chevreul était alors un savant réputé. Il avait travaillé tout autant sur la perception des couleurs que sur la confection des corps gras, ses recherches conduisant notamment à l'invention des bougies stéariques, lesquelles furent à l'origine d'une industrialisation massive de la bougie et du savon au XIXe siècle.
L'entretien qu'il accorde ce jour-là au célèbre Nadar a souvent été considéré comme l'invention de l'interview photographique, voire comme la préfiguration des entretiens filmés. Comme l'écrivait alors Le Petit Journal pour assurer la publicité du numéro : « Avec le système Nadar, il n'y a pas d'interprétation : c'est la reproduction exacte de toutes les incidences, toutes les interruptions de phrases, toutes les suspensions que permet la conversation. L'on a un docu ...
[article] Décryptage d'image : 1886 : la trame de l'interview [Livres, articles, périodiques] / Sylvain Venayre, Auteur . - 2022 . - p. 76-77.
Langues : Français (fre)
in L'Histoire > N° 496 (Juin 2022) . - p. 76-77
Mots-clés : Journal illustré chismistes entretien Nadar photogravure Note de contenu :
Le dimanche 5 septembre 1886, la une du Journal illustré annonçait trois entretiens avec le chimiste Michel-Eugène Chevreul, au lendemain du 100e anniversaire de celui-ci.
Chevreul était alors un savant réputé. Il avait travaillé tout autant sur la perception des couleurs que sur la confection des corps gras, ses recherches conduisant notamment à l'invention des bougies stéariques, lesquelles furent à l'origine d'une industrialisation massive de la bougie et du savon au XIXe siècle.
L'entretien qu'il accorde ce jour-là au célèbre Nadar a souvent été considéré comme l'invention de l'interview photographique, voire comme la préfiguration des entretiens filmés. Comme l'écrivait alors Le Petit Journal pour assurer la publicité du numéro : « Avec le système Nadar, il n'y a pas d'interprétation : c'est la reproduction exacte de toutes les incidences, toutes les interruptions de phrases, toutes les suspensions que permet la conversation. L'on a un docu ...
Dossier - L'invention du temps : XIXe siècle - A quelle heure arrive le train ? / Sylvain Venayre in L'Histoire, N° 497-498 (Juillet - Août 2022)
[article]
in L'Histoire > N° 497-498 (Juillet - Août 2022) . - p. 80-87
Titre : Dossier - L'invention du temps : XIXe siècle - A quelle heure arrive le train ? Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Sylvain Venayre, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 80-87 Langues : Français (fre) Mots-clés : temps heure performance précision chemin de fer voyage Note de contenu : Horaire, performance, retard, ennui : autant de notions auxquelles le XIXe siècle, tout à ses rêves d'optimisation, de maîtrise et d'uniformisation du temps, a conféré, dans notre modernité, une importance cruciale. Dans cette affaire, la nécessité de synchroniser les transports fut un élément décisif.
Le 3 décembre 1872, lorsque Phileas Fogg, Aouda et Passepartout, suivis du détective Fix, accostent à San Francisco en provenance de Yokohama, il est 7 heures du matin. A 6 heures du soir, les quatre voyageurs montent dans un train à vapeur pour New York. Depuis l'inauguration du chemin de fer transcontinental, trois ans plus tôt, il est possible de traverser les États-Unis d'un océan à l'autre en sept jours. Auparavant, affirme Jules Verne, il fallait six mois. Si tout se passe bien, les héros du livre pourront donc prendre, le 11 décembre, le paquebot de New York à Liverpool - et Phileas Fogg gagner ainsi son fantastique pari de faire le tour du monde en 80 jours.
Traverser les États-Unis en sept jours
Le récit de leur traversée des États-Unis en chemin de fer illustre les nouveaux usages du temps au XIXe siècle. A 8 heures du soir, un steward entre dans le wagon et leur annonce l'heure du coucher. En quelques minutes, écrit Jules Verne, le « s ...
[article] Dossier - L'invention du temps : XIXe siècle - A quelle heure arrive le train ? [Livres, articles, périodiques] / Sylvain Venayre, Auteur . - 2022 . - p. 80-87.
Langues : Français (fre)
in L'Histoire > N° 497-498 (Juillet - Août 2022) . - p. 80-87
Mots-clés : temps heure performance précision chemin de fer voyage Note de contenu : Horaire, performance, retard, ennui : autant de notions auxquelles le XIXe siècle, tout à ses rêves d'optimisation, de maîtrise et d'uniformisation du temps, a conféré, dans notre modernité, une importance cruciale. Dans cette affaire, la nécessité de synchroniser les transports fut un élément décisif.
Le 3 décembre 1872, lorsque Phileas Fogg, Aouda et Passepartout, suivis du détective Fix, accostent à San Francisco en provenance de Yokohama, il est 7 heures du matin. A 6 heures du soir, les quatre voyageurs montent dans un train à vapeur pour New York. Depuis l'inauguration du chemin de fer transcontinental, trois ans plus tôt, il est possible de traverser les États-Unis d'un océan à l'autre en sept jours. Auparavant, affirme Jules Verne, il fallait six mois. Si tout se passe bien, les héros du livre pourront donc prendre, le 11 décembre, le paquebot de New York à Liverpool - et Phileas Fogg gagner ainsi son fantastique pari de faire le tour du monde en 80 jours.
Traverser les États-Unis en sept jours
Le récit de leur traversée des États-Unis en chemin de fer illustre les nouveaux usages du temps au XIXe siècle. A 8 heures du soir, un steward entre dans le wagon et leur annonce l'heure du coucher. En quelques minutes, écrit Jules Verne, le « s ...
Guide Bande dessinée : Algérie, suite et fin / Sylvain Venayre in L'Histoire, N° 508 (Juin 2023)
[article]
in L'Histoire > N° 508 (Juin 2023) . - p. 88
Titre : Guide Bande dessinée : Algérie, suite et fin Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Sylvain Venayre, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 88 Langues : Français (fre) Mots-clés : livre BD Algérie suite Note de contenu : Jacques Ferrandez clôt un récit choral commencé il y a trente-cinq ans.
Avec cette seconde partie des Suites algériennes s'achève une oeuvre de longue haleine. Bien plus qu'un livre en deux volumes : une oeuvre commencée en 1987 avec la parution des Carnets d'Orient. Depuis lors, avec opiniâtreté, humanisme et élégance, Jacques Ferrandez a raconté l'histoire de l'Algérie, de la conquête française à aujourd'hui.
C'est peu dire que cette histoire a quelque chose à voir avec l'auteur, né à Alger en 1955 et installé à Nice dès l'année suivante. Ses souvenirs familiaux, ses amitiés, ses nombreuses lectures, ses fréquents voyages de l'autre côté de la Méditerranée, ont servi ce long récit qui, tout au long de douze volumes centrés sur l'histoire d'une famille, s'est résolument placé à hauteur d'individus. Jacques Ferrandez n'écrit et ne dessine pas depuis son propre point de vue. Lorsque ses personnages s'expriment en arabe, il emploie un lettrage qui s'inspire de la calligraphie arabe, qui n'est pas la sienne. Lorsque ses personnages émettent une opinion, il s'efforce de la défendre, même si ce n'est pas la sienne.
Dans ce second volume des Suites algériennes, on retrouve ainsi Momo, l'âme de la Casbah ; Serge et Mathilde, les « pieds-rouges » (militants installés en Algérie après 1962 pour participer au développement du pays) ; Bouzid, l'ancien des maquis devenu colonel ; Hakim, son fils devenu islamiste ; Nour, l'étudiante éprise de liberté - et puis un écrivain en partie inspiré par le souvenir de Rachid Mimouni. Il y a aussi le mystérieux Salihafa, un des chefs de la Sécurité militaire, à propos duquel Jacques Ferrandez reprend la légende du général Toufik avertissant les États-Unis d'Amérique de l'imminence des attentats du 11 septembre 2001.
Des vignettes des livres précédents
On retrouve, enfin, les descendants de cette famille dont Jacques Ferrandez raconte l'histoire depuis 1987 : Octave, l'ancien soldat français qui avait dénoncé l'utilisation de la torture pendant la guerre d'indépendance algérienne ; sa femme Samia, qui avait dû fuir l'Algérie en 1962 ; leur fils au nom double et à la double culture, Paul-Yanis, dans les traits duquel on peut reconnaître ceux de Jacques Ferrandez lui-même, comme si l'oeuvre aux si nombreux personnages se concluait par son auteur. Ce ne serait pas un paradoxe. L'histoire selon Jacques Ferrandez, c'est cela : un mélange de savoir, de fiction et de mémoire. Paul-Yanis Alban questionnant l'histoire de sa famille, c'est aussi Jacques Ferrandez s'interrogeant sur l'histoire de l'Algérie.
Comme l'écrit Kamel Daoud dans sa préface, « en Algérie, le temps remonte le temps ». Tel est bien le cas des Suites algériennes, où Jacques Ferrandez insère des vignettes issues de ses livres précédents. Cette technique de collage, qui est une de ses marques de fabrique, est le moyen d'exprimer la complexité de ces boucles du temps et des identités algériennes.
Il en va de même de la structure du récit. Les dix premiers albums - récemment réunis en deux gros volumes, Carnets d'Orient, 1830-1954 et Carnets d'Algérie, 1954-1962 - suivaient l'ordre chronologique. Quoique consacrés aux années 1962-2019, les deux derniers s'y refusent en partie. En les intitulant Suites algériennes, Jacques Ferrandez n'a d'ailleurs pas seulement voulu signaler qu'ils étaient une suite aux Carnets. Comme en musique, ses suites collées les unes aux autres ont une unité de ton, mais elles battent différemment le temps.
On passe ainsi de la fin de la guerre d'indépendance, en 1962, au Festival panafricain de 1969 puis à la « décennie noire » des années 1990 et au Salon international du livre d'Alger de 2019, tout cela en multipliant les flash-back sur la guerre elle-même ou sur ce XIXe siècle sans lequel il est difficile de comprendre l'Algérie d'aujourd'hui, et par lequel Jacques Ferrandez a commencé cette histoire, à sa façon, il y a plus de trente-cinq ans.
Suites algériennes. 1962-2019, seconde partie, Jacques Ferrandez, préface de Kamel Daoud, Bruxelles, Casterman, 2023.[article] Guide Bande dessinée : Algérie, suite et fin [Livres, articles, périodiques] / Sylvain Venayre, Auteur . - 2023 . - p. 88.
Langues : Français (fre)
in L'Histoire > N° 508 (Juin 2023) . - p. 88
Mots-clés : livre BD Algérie suite Note de contenu : Jacques Ferrandez clôt un récit choral commencé il y a trente-cinq ans.
Avec cette seconde partie des Suites algériennes s'achève une oeuvre de longue haleine. Bien plus qu'un livre en deux volumes : une oeuvre commencée en 1987 avec la parution des Carnets d'Orient. Depuis lors, avec opiniâtreté, humanisme et élégance, Jacques Ferrandez a raconté l'histoire de l'Algérie, de la conquête française à aujourd'hui.
C'est peu dire que cette histoire a quelque chose à voir avec l'auteur, né à Alger en 1955 et installé à Nice dès l'année suivante. Ses souvenirs familiaux, ses amitiés, ses nombreuses lectures, ses fréquents voyages de l'autre côté de la Méditerranée, ont servi ce long récit qui, tout au long de douze volumes centrés sur l'histoire d'une famille, s'est résolument placé à hauteur d'individus. Jacques Ferrandez n'écrit et ne dessine pas depuis son propre point de vue. Lorsque ses personnages s'expriment en arabe, il emploie un lettrage qui s'inspire de la calligraphie arabe, qui n'est pas la sienne. Lorsque ses personnages émettent une opinion, il s'efforce de la défendre, même si ce n'est pas la sienne.
Dans ce second volume des Suites algériennes, on retrouve ainsi Momo, l'âme de la Casbah ; Serge et Mathilde, les « pieds-rouges » (militants installés en Algérie après 1962 pour participer au développement du pays) ; Bouzid, l'ancien des maquis devenu colonel ; Hakim, son fils devenu islamiste ; Nour, l'étudiante éprise de liberté - et puis un écrivain en partie inspiré par le souvenir de Rachid Mimouni. Il y a aussi le mystérieux Salihafa, un des chefs de la Sécurité militaire, à propos duquel Jacques Ferrandez reprend la légende du général Toufik avertissant les États-Unis d'Amérique de l'imminence des attentats du 11 septembre 2001.
Des vignettes des livres précédents
On retrouve, enfin, les descendants de cette famille dont Jacques Ferrandez raconte l'histoire depuis 1987 : Octave, l'ancien soldat français qui avait dénoncé l'utilisation de la torture pendant la guerre d'indépendance algérienne ; sa femme Samia, qui avait dû fuir l'Algérie en 1962 ; leur fils au nom double et à la double culture, Paul-Yanis, dans les traits duquel on peut reconnaître ceux de Jacques Ferrandez lui-même, comme si l'oeuvre aux si nombreux personnages se concluait par son auteur. Ce ne serait pas un paradoxe. L'histoire selon Jacques Ferrandez, c'est cela : un mélange de savoir, de fiction et de mémoire. Paul-Yanis Alban questionnant l'histoire de sa famille, c'est aussi Jacques Ferrandez s'interrogeant sur l'histoire de l'Algérie.
Comme l'écrit Kamel Daoud dans sa préface, « en Algérie, le temps remonte le temps ». Tel est bien le cas des Suites algériennes, où Jacques Ferrandez insère des vignettes issues de ses livres précédents. Cette technique de collage, qui est une de ses marques de fabrique, est le moyen d'exprimer la complexité de ces boucles du temps et des identités algériennes.
Il en va de même de la structure du récit. Les dix premiers albums - récemment réunis en deux gros volumes, Carnets d'Orient, 1830-1954 et Carnets d'Algérie, 1954-1962 - suivaient l'ordre chronologique. Quoique consacrés aux années 1962-2019, les deux derniers s'y refusent en partie. En les intitulant Suites algériennes, Jacques Ferrandez n'a d'ailleurs pas seulement voulu signaler qu'ils étaient une suite aux Carnets. Comme en musique, ses suites collées les unes aux autres ont une unité de ton, mais elles battent différemment le temps.
On passe ainsi de la fin de la guerre d'indépendance, en 1962, au Festival panafricain de 1969 puis à la « décennie noire » des années 1990 et au Salon international du livre d'Alger de 2019, tout cela en multipliant les flash-back sur la guerre elle-même ou sur ce XIXe siècle sans lequel il est difficile de comprendre l'Algérie d'aujourd'hui, et par lequel Jacques Ferrandez a commencé cette histoire, à sa façon, il y a plus de trente-cinq ans.
Suites algériennes. 1962-2019, seconde partie, Jacques Ferrandez, préface de Kamel Daoud, Bruxelles, Casterman, 2023.