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25 idées reçues sur les addictions / Laurent Karila

Public ISBD Titre : 25 idées reçues sur les addictions : comprendre, soigner, prévenir Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Laurent Karila (1973-....), Auteur Mention d'édition : 2e éd. revue et augmentée Année de publication : 2017 Importance : 1 vol. (181 p.) Présentation : ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-1-03-180214-5 Prix : 20 EUR Note générale : Bibliogr. p. 179-181. Glossaire Langues : Français (fre) Mots-clés : Toxicomanie  Dépendance (physiologie)  Dépendance (psychologie) Index. décimale : 616.86 Toxicomanies, intoxications Résumé : Longtemps limité au périmètre des drogues et de l’alcool, le diagnostic d’« addiction » s’est étendu progressivement aux comportements (internet, jeu, sexe, travail, achats, etc.) au point de déborder sur notre vie de tous les jours, dans les films, la publicité, la mode… Aujourd’hui, on est addict à tout et n’importe quoi. C’est oublier que l’addiction est une maladie qui touche le système cérébral de récompense et d’émotion, et c’est ainsi faire le lit d’idées reçues tenaces tout autant que destructrices : « Il y a les drogues douces et les drogues dures », « Les addictions comportementales sont moins graves que les addictions aux drogues ou à l’alcool », « L’addiction au travail, c’est juste la passion de son travail », « Quand on tient bien l’alcool, il n’y aucun risque », « Pour s’en sortir il suffit d’avoir de la volonté », etc. Parce que la pire des toxicomanies est celle des idées reçues, il est essentiel de les dépasser pour comprendre, soigner et prévenir. 25 idées reçues sur les addictions : comprendre, soigner, prévenir [Livres, articles, périodiques] / Laurent Karila (1973-....), Auteur  . -  2e éd. revue et augmentée . - 2017 . - 1 vol. (181 p.) : ill. ; 21 cm. ISBN : 979-1-03-180214-5 : 20 EUR Bibliogr. p. 179-181. Glossaire Langues : Français (fre) Mots-clés : Toxicomanie  Dépendance (physiologie)  Dépendance (psychologie) Index. décimale : 616.86 Toxicomanies, intoxications Résumé : Longtemps limité au périmètre des drogues et de l’alcool, le diagnostic d’« addiction » s’est étendu progressivement aux comportements (internet, jeu, sexe, travail, achats, etc.) au point de déborder sur notre vie de tous les jours, dans les films, la publicité, la mode… Aujourd’hui, on est addict à tout et n’importe quoi. C’est oublier que l’addiction est une maladie qui touche le système cérébral de récompense et d’émotion, et c’est ainsi faire le lit d’idées reçues tenaces tout autant que destructrices : « Il y a les drogues douces et les drogues dures », « Les addictions comportementales sont moins graves que les addictions aux drogues ou à l’alcool », « L’addiction au travail, c’est juste la passion de son travail », « Quand on tient bien l’alcool, il n’y aucun risque », « Pour s’en sortir il suffit d’avoir de la volonté », etc. Parce que la pire des toxicomanies est celle des idées reçues, il est essentiel de les dépasser pour comprendre, soigner et prévenir.

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308.3/KAR	Livres	Centre de ressources documentaires de l'HELMo ESAS	Libre-Accès	Disponible	ES9753

Addiction à la cocaïne : approches pharmacologiques [Dossier Addiction à la cocaïne] / Laurent Karila in Santé mentale, 301 (Octobre 2025)

Public ISBD [article]  in Santé mentale > 301 (Octobre 2025) . - p. 56-60 Titre : Addiction à la cocaïne : approches pharmacologiques [Dossier Addiction à la cocaïne] Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Laurent Karila (1973-....), Auteur ; Donnadieu Rigole, Hélène, Auteur Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 56-60 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dépendance (psychologie)  Cocaïne  Médicaments  Pharmacocinétique  Pharmacodynamie  Pharmacologie  Syndrome de sevrage  Traitement de substitution  Vaccination Résumé : Actuellement en France, aucun traitement médicamenteux ne dispose d'autorisation de mise sur le marché dans l'accompagnement de la réduction de la consommation de cocaïne ou de l'aide au maintien de l'abstinence. Trois pistes pharmacologiques sont actuellement explorées : pharmacocinétique, pharmacodynamique, substitutive. L'approche pharmacocinétique est basée sur l'expérimentation de vaccins, d'AC monoclonaux. La piste pharmacodynamique a pour but d'utiliser des médicaments existants sur les circuits dopaminergiques, sérotoninergiques, noradrénergiques, glutamatergiques ou gabaergiques. Les médicaments les plus connus et utilisés sont le N-Acetyl-cysteine et le topiramate. Enfin la piste substitutive envisage d'utiliser les amphétamines. En aucun cas, des médicaments comme les antidépresseurs, les anti psychotiques ou les traitements de substitution aux opiacés ne doivent être utilisés pour la seule indication de l'addiction à la cocaïne. [article] Addiction à la cocaïne : approches pharmacologiques [Dossier Addiction à la cocaïne] [Livres, articles, périodiques] / Laurent Karila (1973-....), Auteur ; Donnadieu Rigole, Hélène, Auteur . - 2025 . - p. 56-60. Langues : Français (fre) in Santé mentale > 301 (Octobre 2025) . - p. 56-60 Mots-clés : Dépendance (psychologie)  Cocaïne  Médicaments  Pharmacocinétique  Pharmacodynamie  Pharmacologie  Syndrome de sevrage  Traitement de substitution  Vaccination Résumé : Actuellement en France, aucun traitement médicamenteux ne dispose d'autorisation de mise sur le marché dans l'accompagnement de la réduction de la consommation de cocaïne ou de l'aide au maintien de l'abstinence. Trois pistes pharmacologiques sont actuellement explorées : pharmacocinétique, pharmacodynamique, substitutive. L'approche pharmacocinétique est basée sur l'expérimentation de vaccins, d'AC monoclonaux. La piste pharmacodynamique a pour but d'utiliser des médicaments existants sur les circuits dopaminergiques, sérotoninergiques, noradrénergiques, glutamatergiques ou gabaergiques. Les médicaments les plus connus et utilisés sont le N-Acetyl-cysteine et le topiramate. Enfin la piste substitutive envisage d'utiliser les amphétamines. En aucun cas, des médicaments comme les antidépresseurs, les anti psychotiques ou les traitements de substitution aux opiacés ne doivent être utilisés pour la seule indication de l'addiction à la cocaïne.