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Auteur Jean Caille
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Faire une suggestion Affiner la rechercheEcole et souffrance / Jean Caille in Pratiques corporelles, N°122 (Mars 1999)
in Pratiques corporelles > N°122 (Mars 1999) . - p. 42-45
Titre : Ecole et souffrance Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Jean Caille, Auteur Année de publication : 1999 Article en page(s) : p. 42-45 Langues : Français (fre) Résumé : Il y a dans cet article quelque chose de prémonitoire quand Jean Caille évoque les concepts d'indocilité-indiscipline (pensez aux "sauvageons"), les peurs de l'Autre, de Soi, d'un a-venir, d'un Moi dans ce monde. Quelle place, quelle fonction pour un système éducatif à vocation plus informatrice qu'initiatrice ?
La souffrance est le résultat d'une relation organisme-environnement tellement mal vécue que l'on en éprouve une angoisse, c'est-à-dire une peur permanente plus ou moins forte, sans danger manifeste, sans motif apparent. Elle peut regarder ou bien mon corps en rapport avec les personnes et les objets proches ou bien mes représentations intellectuelles, mes connaissances ; mes idées concernant le monde humain - peur que les autres me gênent - et/ou le monde physique, la matière - peur que les choses me manquent.[article] Ecole et souffrance [Livres, articles, périodiques] / Jean Caille, Auteur . - 1999 . - p. 42-45.
Langues : Français (fre)
in Pratiques corporelles > N°122 (Mars 1999) . - p. 42-45
Résumé : Il y a dans cet article quelque chose de prémonitoire quand Jean Caille évoque les concepts d'indocilité-indiscipline (pensez aux "sauvageons"), les peurs de l'Autre, de Soi, d'un a-venir, d'un Moi dans ce monde. Quelle place, quelle fonction pour un système éducatif à vocation plus informatrice qu'initiatrice ?
La souffrance est le résultat d'une relation organisme-environnement tellement mal vécue que l'on en éprouve une angoisse, c'est-à-dire une peur permanente plus ou moins forte, sans danger manifeste, sans motif apparent. Elle peut regarder ou bien mon corps en rapport avec les personnes et les objets proches ou bien mes représentations intellectuelles, mes connaissances ; mes idées concernant le monde humain - peur que les autres me gênent - et/ou le monde physique, la matière - peur que les choses me manquent.
in Pratiques corporelles > N°77 (Décembre 1987) . - p. 27-29
Titre : L'éducation du corps-langage. Ou le désir/plaisir d'apprendre à lire/écrire. Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Jean Caille, Auteur Année de publication : 1987 Article en page(s) : p. 27-29 Langues : Français (fre) Résumé : Pour apprendre à lire/écrire, tout enfant qui souffre d'angoisse-simple vis-à-vis de son corps, ou double vis-à-vis de son corps mais aussi de l'environnement - doit modifier son attitude à l'égard du langage parlé, c'est-à-dire changer radicalement son rapport à soi et aux autres, parfois aussi au monde : il doit, en définitive réévaluer le sentiment qu'il éprouve à l'égard de son organisme et relation avec l'environnement.
Comment, dans ces conditions, l'école maternelle pourrait-elle être préventive - éviter le plus tôt possible à certains enfants affectivement fragiles de dériver vers une souffrance paralysant les apprentissages - et contribuer ainsi à une école de la réussite ?
Dans le but d'esquisser ici une solution à ce problème, il sera successivement étudié : en quoi consiste le rapport à soi et au langage, comment ce rapport peut devenir disharmonieux - engendrant de ce fait des difficultés dans les activités de communications orales et écrites -, quelle éducation favoriserait l'intégration harmonieuse de soi.[article] L'éducation du corps-langage. Ou le désir/plaisir d'apprendre à lire/écrire. [Livres, articles, périodiques] / Jean Caille, Auteur . - 1987 . - p. 27-29.
Langues : Français (fre)
in Pratiques corporelles > N°77 (Décembre 1987) . - p. 27-29
Résumé : Pour apprendre à lire/écrire, tout enfant qui souffre d'angoisse-simple vis-à-vis de son corps, ou double vis-à-vis de son corps mais aussi de l'environnement - doit modifier son attitude à l'égard du langage parlé, c'est-à-dire changer radicalement son rapport à soi et aux autres, parfois aussi au monde : il doit, en définitive réévaluer le sentiment qu'il éprouve à l'égard de son organisme et relation avec l'environnement.
Comment, dans ces conditions, l'école maternelle pourrait-elle être préventive - éviter le plus tôt possible à certains enfants affectivement fragiles de dériver vers une souffrance paralysant les apprentissages - et contribuer ainsi à une école de la réussite ?
Dans le but d'esquisser ici une solution à ce problème, il sera successivement étudié : en quoi consiste le rapport à soi et au langage, comment ce rapport peut devenir disharmonieux - engendrant de ce fait des difficultés dans les activités de communications orales et écrites -, quelle éducation favoriserait l'intégration harmonieuse de soi.
