[article] in Bulletin infirmier du cancer > Vol. 24, n° 2 (Avril Mai Juin 2024) . - p. 63-73 Titre : | Chutes iatrogènes en cancérologie : évaluer le risque et les prévenir chez les seniors. Webinaire, 19 octobre 2023 | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Priscille Le Bon ; Nicolas Bertrand ; Isabelle Carpentier ; Albane Cherel ; Cynthia Choquet ; Cyril Magnan ; Bérengère Beauplet | Année de publication : | 2024 | Article en page(s) : | p. 63-73 | Note générale : | DOI : 10.1684/bic.2024.273 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Personne âgée Chute iatrogène Cancer Risque Prévention Tumeur hématologique Effet secondaire Effet indésirable Ostéoporose Fracture | Résumé : | Introduction.
Les patients âgés atteints de cancer présentent un risque accru de chute, en particulier pendant les traitements actifs, les toxicités des médicaments anticancéreux étant plus importantes chez les patients âgés en raison de vulnérabilités ou de comorbidités. Les conséquences des chutes peuvent influencer le pronostic du cancer. Il est crucial de dépister le risque de chute avant d?initier un nouveau traitement oncologique, et en cours de traitement lorsqu?il est à risque élevé de chute, nécessitant une surveillance étroite.
Méthodes.
L?Unité de coordination en oncogériatrie (UCOG) Onco-Normandie a organisé un webinaire de sensibilisation au repérage du risque de chute iatrogène en cancérologie le 19 octobre 2023, en partenariat avec l?Observatoire du médicament, des dispositifs médicaux et de l?innovation thérapeutique (OMEDIT) Normandie et Hauts de France, et le Centre Eugène Marquis de Rennes.
Résultats.
La collaboration entre infirmiers en pratique avancée (IPA) ou infirmiers de coordination (IDEC), gériatres, oncologues et pharmaciens est essentielle pour évaluer le risque de chute et optimiser les traitements médicamenteux chez les patients âgés en cancérologie. Il ne s?agit pas que de réduire la polymédication, mais d?arrêter les médicaments identifiés à risque de chute si possible ou limiter le risque de fracture.
Conclusion.
L?évaluation et la correction de tous les facteurs de risque, grâce aux outils concrets et aux recommandations nationales intégrés dans la pratique des soignants, permettront de mieux prévenir les chutes. |
[article] Chutes iatrogènes en cancérologie : évaluer le risque et les prévenir chez les seniors. Webinaire, 19 octobre 2023 [Livres, articles, périodiques] / Priscille Le Bon ; Nicolas Bertrand ; Isabelle Carpentier ; Albane Cherel ; Cynthia Choquet ; Cyril Magnan ; Bérengère Beauplet . - 2024 . - p. 63-73. DOI : 10.1684/bic.2024.273 Langues : Français ( fre) in Bulletin infirmier du cancer > Vol. 24, n° 2 (Avril Mai Juin 2024) . - p. 63-73 Mots-clés : | Personne âgée Chute iatrogène Cancer Risque Prévention Tumeur hématologique Effet secondaire Effet indésirable Ostéoporose Fracture | Résumé : | Introduction.
Les patients âgés atteints de cancer présentent un risque accru de chute, en particulier pendant les traitements actifs, les toxicités des médicaments anticancéreux étant plus importantes chez les patients âgés en raison de vulnérabilités ou de comorbidités. Les conséquences des chutes peuvent influencer le pronostic du cancer. Il est crucial de dépister le risque de chute avant d?initier un nouveau traitement oncologique, et en cours de traitement lorsqu?il est à risque élevé de chute, nécessitant une surveillance étroite.
Méthodes.
L?Unité de coordination en oncogériatrie (UCOG) Onco-Normandie a organisé un webinaire de sensibilisation au repérage du risque de chute iatrogène en cancérologie le 19 octobre 2023, en partenariat avec l?Observatoire du médicament, des dispositifs médicaux et de l?innovation thérapeutique (OMEDIT) Normandie et Hauts de France, et le Centre Eugène Marquis de Rennes.
Résultats.
La collaboration entre infirmiers en pratique avancée (IPA) ou infirmiers de coordination (IDEC), gériatres, oncologues et pharmaciens est essentielle pour évaluer le risque de chute et optimiser les traitements médicamenteux chez les patients âgés en cancérologie. Il ne s?agit pas que de réduire la polymédication, mais d?arrêter les médicaments identifiés à risque de chute si possible ou limiter le risque de fracture.
Conclusion.
L?évaluation et la correction de tous les facteurs de risque, grâce aux outils concrets et aux recommandations nationales intégrés dans la pratique des soignants, permettront de mieux prévenir les chutes. |
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