[article] in Santé conjuguée > 108 (Septembre 2024) . - p. 14-16 Titre : | La pudeur et la médecine | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Jean-Claude Bologne | Année de publication : | 2024 | Article en page(s) : | p. 14-16 | Note générale : | Cet article fait partie du dossier "Le corps, terrain de rencontre". | Langues : | Français (fre) | Résumé : | Le monde médical s'est de tout temps interrogé sur la manière de respecter la pudeur dans des métiers touchant à l'intime. Les réponses varient selon les conceptions de la pudeur. Une définition prudente en fait une «disposition, propension à se retenir de montrer, d'observer, de faire état de certaines parties de son corps, principalement celles de nature sexuelle, ou de montrer, d'observer, de faire état de choses considérées comme étant plus ou moins directement d'ordre sexuel». Une disposition (sans préjuger de sa nature, vertu, comportement, sentiment) qui touche le patient (qui montre) et le soignant (qui observe), car la pudeur est double : la gêne du spectateur suscite celle du patient. | En ligne : | https://www.maisonmedicale.org/la-pudeur-et-la-medecine/ |
[article] La pudeur et la médecine [Livres, articles, périodiques] / Jean-Claude Bologne . - 2024 . - p. 14-16. Cet article fait partie du dossier "Le corps, terrain de rencontre". Langues : Français ( fre) in Santé conjuguée > 108 (Septembre 2024) . - p. 14-16 Résumé : | Le monde médical s'est de tout temps interrogé sur la manière de respecter la pudeur dans des métiers touchant à l'intime. Les réponses varient selon les conceptions de la pudeur. Une définition prudente en fait une «disposition, propension à se retenir de montrer, d'observer, de faire état de certaines parties de son corps, principalement celles de nature sexuelle, ou de montrer, d'observer, de faire état de choses considérées comme étant plus ou moins directement d'ordre sexuel». Une disposition (sans préjuger de sa nature, vertu, comportement, sentiment) qui touche le patient (qui montre) et le soignant (qui observe), car la pudeur est double : la gêne du spectateur suscite celle du patient. | En ligne : | https://www.maisonmedicale.org/la-pudeur-et-la-medecine/ |
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