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Le dihydrogène comme molécule thérapeutique / Victor Pascal Moussellard in La Recherche, N°580 (Janvier/Mars 2025)

Public ISBD [article]  in La Recherche > N°580 (Janvier/Mars 2025) . - p. 75-79 Titre : Le dihydrogène comme molécule thérapeutique Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Victor Pascal Moussellard, Auteur ; Cordélia Salomez-Ihl, Auteur Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 75-79 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hydrogène  Molécules  Thérapeutique  Chine  Japon  Etudes  Cellules Résumé : Le dihydrogène est la plus petite molécule de l'Univers et pourtant son potentiel thérapeutique est énorme. Les travaux montrant ses effets bénéfiques pour notre santé ont même conduit la Chine et le Japon à le reconnaître comme molécule thérapeutique. Ses capacités antioxydantes et anti-inflammatoires font qu'elle peut être utilisée aussi bien pour le traitement des maladies cardiovasculaires que celui des cancers. Son emploi est d'autant plus intéressant qu'aucune toxicité pour nos cellules n'a été rapportée et qu'il n'induit pas d'effet secondaire connu. Les études cherchent désormais à inclure plus de patients. [article] Le dihydrogène comme molécule thérapeutique [Livres, articles, périodiques] / Victor Pascal Moussellard, Auteur ; Cordélia Salomez-Ihl, Auteur . - 2025 . - p. 75-79. Langues : Français (fre) in La Recherche > N°580 (Janvier/Mars 2025) . - p. 75-79 Mots-clés : Hydrogène  Molécules  Thérapeutique  Chine  Japon  Etudes  Cellules Résumé : Le dihydrogène est la plus petite molécule de l'Univers et pourtant son potentiel thérapeutique est énorme. Les travaux montrant ses effets bénéfiques pour notre santé ont même conduit la Chine et le Japon à le reconnaître comme molécule thérapeutique. Ses capacités antioxydantes et anti-inflammatoires font qu'elle peut être utilisée aussi bien pour le traitement des maladies cardiovasculaires que celui des cancers. Son emploi est d'autant plus intéressant qu'aucune toxicité pour nos cellules n'a été rapportée et qu'il n'induit pas d'effet secondaire connu. Les études cherchent désormais à inclure plus de patients.