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Education familiale et civique : L'art d'éduquer / Solveig Fenet-Chantereau in Les Dossiers de l'Obstétrique, 543 (Septembre 2024)

Public ISBD [article]  in Les Dossiers de l'Obstétrique > 543 (Septembre 2024) . - p. 21-24 Titre : Education familiale et civique : L'art d'éduquer Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Solveig Fenet-Chantereau Article en page(s) : p. 21-24 Note générale : DOI : https://doi.org/10.54695/do.51.543.0021 Langues : Français (fre) Résumé : La mission éducative familiale et civique pose des questions éthiques, notamment celle de la correction de l'éducation des enfants, souvent controversée. En posant la question "L'art d'éduquer : faut-il ou non corriger son enfant?", cette étude explore l'éthique des vertus d'Aristote pour proposer une réflexion sur la correction dans l'éducation sans violence. Corriger va-t-il à l'encontre de la bienveillance? Aristote, dans l?Éthique à Nicomaque, propose d'adresser la correction au sens positif, pour amener nos actes vers la recherche du Bien suprême en apprenant à naviguer vers le juste milieu, où chaque vertu est en équilibre entre 2 vices extrêmes. En appliquant ce concept, les parents peuvent trouver des repères intemporels pour penser la correction de manière constructive, en favorisant la recherche du bien supérieur et du bonheur véritable, au-delà d'un mode de penser et de ses injonctions. [article] Education familiale et civique : L'art d'éduquer [Livres, articles, périodiques] / Solveig Fenet-Chantereau . - p. 21-24. DOI : https://doi.org/10.54695/do.51.543.0021 Langues : Français (fre) in Les Dossiers de l'Obstétrique > 543 (Septembre 2024) . - p. 21-24 Résumé : La mission éducative familiale et civique pose des questions éthiques, notamment celle de la correction de l'éducation des enfants, souvent controversée. En posant la question "L'art d'éduquer : faut-il ou non corriger son enfant?", cette étude explore l'éthique des vertus d'Aristote pour proposer une réflexion sur la correction dans l'éducation sans violence. Corriger va-t-il à l'encontre de la bienveillance? Aristote, dans l?Éthique à Nicomaque, propose d'adresser la correction au sens positif, pour amener nos actes vers la recherche du Bien suprême en apprenant à naviguer vers le juste milieu, où chaque vertu est en équilibre entre 2 vices extrêmes. En appliquant ce concept, les parents peuvent trouver des repères intemporels pour penser la correction de manière constructive, en favorisant la recherche du bien supérieur et du bonheur véritable, au-delà d'un mode de penser et de ses injonctions.