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Un dialogue nécessaire pour étudier la santé mentale des enfants / Stéphanie Monnier-Besnard in La santé en action, Numéro 469 (Avril 2025)

Public ISBD [article]  in La santé en action > Numéro 469 (Avril 2025) . - p. 34-35 Titre : Un dialogue nécessaire pour étudier la santé mentale des enfants Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Stéphanie Monnier-Besnard ; Yvon Motreff ; Louise Seconda ; Nolwenn Regnault Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 34-35 Langues : Français (fre) Mots-clés : Santé publique France  Enfants -- Santé mentale  Concertation Résumé : L'Étude nationale sur le bien-être des enfants (Enabee), lancée par Santé publique France en 2021, a pour objectif d'évaluer la santé mentale des 3-11 ans en leur donnant la parole, ce qui fait sa singularité. Pour assurer son bon déroulement, une démarche de concertation a été mise en place entre 2021 et 2023, impliquant divers acteurs concernés (professionnels de santé, enseignants, parents d'élèves, syndicats de l'Éducation nationale, etc.). Peu usuel en épidémiologie, le dialogue s'est ainsi instauré entre l'équipe projet et les parties prenantes, ce qui a permis de lever des craintes sur le sujet sensible voire tabou de la santé mentale des enfants et de faciliter le déploiement de l'étude. [article] Un dialogue nécessaire pour étudier la santé mentale des enfants [Livres, articles, périodiques] / Stéphanie Monnier-Besnard ; Yvon Motreff ; Louise Seconda ; Nolwenn Regnault . - 2025 . - p. 34-35. Langues : Français (fre) in La santé en action > Numéro 469 (Avril 2025) . - p. 34-35 Mots-clés : Santé publique France  Enfants -- Santé mentale  Concertation Résumé : L'Étude nationale sur le bien-être des enfants (Enabee), lancée par Santé publique France en 2021, a pour objectif d'évaluer la santé mentale des 3-11 ans en leur donnant la parole, ce qui fait sa singularité. Pour assurer son bon déroulement, une démarche de concertation a été mise en place entre 2021 et 2023, impliquant divers acteurs concernés (professionnels de santé, enseignants, parents d'élèves, syndicats de l'Éducation nationale, etc.). Peu usuel en épidémiologie, le dialogue s'est ainsi instauré entre l'équipe projet et les parties prenantes, ce qui a permis de lever des craintes sur le sujet sensible voire tabou de la santé mentale des enfants et de faciliter le déploiement de l'étude.