Titre : | Comme la prunelle de mes yeux : récit d'une détresse en milieu médical | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Marguerite Poultier | Editeur : | Bruxelles : GERM | Année de publication : | 1982 | Collection : | Les cahiers du GERM num. 173-174 | Importance : | 1 vol. (113 p.) | Format : | 22 cm | Mots-clés : | Maladies psychosomatiques Hôpitaux Psychologie | Index. décimale : | 82-3 Oeuvres de fiction. Prose narrative | Résumé : | Cela s'est passé à Bruxelles, pépinière d'hôpitaux ultra-modernes au carrefour de l'Europe, là où le corps médical et les patients ont à portée de la main les techniques les plus perfectionnées du moment; là aussi où, malheureusement, la simple communication d'individu à individu est trop souvent considérée comme le dernier des détails à régler. Un peu comme si l'excellence du savoir-faire scientifique et de l'appareillage moderne devait suffire à apaiser la sensibilité en émoi des êtres démunis et désorientées qui viennent là conjurer un malheur.
Mais non, il faut mentir, donner la comédie, inventer un scénario. Il faut surtout laisser le patient se débattre seul contre toutes les difficultés de la nouvelle condition d'handicapé.
Voilà la règle à laquelle, catéchumène en la matière, une patiente de cinquante ans découvre que se plient, innocemment ou non, des gens que la plus part d'entre nous ont gardé l'habitude de ranger parmi les humanistes les mieux préparés à mettre le progrès technique au service de la personne. |
Comme la prunelle de mes yeux : récit d'une détresse en milieu médical [Livres, articles, périodiques] / Marguerite Poultier . - Bruxelles : GERM, 1982 . - 1 vol. (113 p.) ; 22 cm. - ( Les cahiers du GERM; 173-174) . Mots-clés : | Maladies psychosomatiques Hôpitaux Psychologie | Index. décimale : | 82-3 Oeuvres de fiction. Prose narrative | Résumé : | Cela s'est passé à Bruxelles, pépinière d'hôpitaux ultra-modernes au carrefour de l'Europe, là où le corps médical et les patients ont à portée de la main les techniques les plus perfectionnées du moment; là aussi où, malheureusement, la simple communication d'individu à individu est trop souvent considérée comme le dernier des détails à régler. Un peu comme si l'excellence du savoir-faire scientifique et de l'appareillage moderne devait suffire à apaiser la sensibilité en émoi des êtres démunis et désorientées qui viennent là conjurer un malheur.
Mais non, il faut mentir, donner la comédie, inventer un scénario. Il faut surtout laisser le patient se débattre seul contre toutes les difficultés de la nouvelle condition d'handicapé.
Voilà la règle à laquelle, catéchumène en la matière, une patiente de cinquante ans découvre que se plient, innocemment ou non, des gens que la plus part d'entre nous ont gardé l'habitude de ranger parmi les humanistes les mieux préparés à mettre le progrès technique au service de la personne. |
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