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Auteur Philippe Pignarre
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Faire une suggestion Affiner la rechercheLe champignon de la fin du monde / Anna Lowenhaupt Tsing
Titre : Le champignon de la fin du monde : sur la possibilité de vivre dans les ruines du capitalisme Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Anna Lowenhaupt Tsing (1952-....), Auteur ; Philippe Pignarre, Traducteur ; Isabelle Stengers, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Éditions La Découverte Année de publication : 2015 Importance : 1 vol. (415 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-359-25136-4 Prix : 23,50 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : Ecologie humaine Développement économique Aspect environnemental Pollution Capitalisme Index. décimale : 333.72 Conservation et protection Résumé : Ce n’est pas seulement dans les pays ravagés par la guerre qu’il faut apprendre à vivre dans les ruines. Car les ruines se rapprochent et nous enserrent de toute part, des sites industriels aux paysages naturels dévastés. Mais l’erreur serait de croire que l’on se contente d’y survivre.
Dans les ruines prolifèrent en effet de nouveaux mondes qu’Anna Tsing a choisi d’explorer en suivant l’odyssée étonnante d’un mystérieux champignon qui ne pousse que dans les forêts détruites.
Suivre les matsutakes, c’est s’intéresser aux cueilleurs de l’Oregon, ces travailleurs précaires, vétérans des guerres américaines, immigrés sans papiers, qui vendent chaque soir les champignons ramassés le jour et qui termineront comme des produits de luxe sur les étals des épiceries fines japonaises. Chemin faisant, on comprend pourquoi la "précarité" n’est pas seulement un terme décrivant la condition des cueilleurs sans emploi stable mais un concept pour penser le monde qui nous est imposé.
Suivre les matsutakes, c’est apporter un éclairage nouveau sur la manière dont le capitalisme s’est inventé comme mode d’exploitation et dont il ravage aujourd’hui la planète.
Suivre les matsutakes, c’est aussi une nouvelle manière de faire de la biologie : les champignons sont une espèce très particulière qui bouscule les fondements des sciences du vivant.
Les matsutakes ne sont donc pas un prétexte ou une métaphore, ils sont le support surprenant d’une leçon d’optimisme dans un monde désespérant.Le champignon de la fin du monde : sur la possibilité de vivre dans les ruines du capitalisme [Livres, articles, périodiques] / Anna Lowenhaupt Tsing (1952-....), Auteur ; Philippe Pignarre, Traducteur ; Isabelle Stengers, Préfacier, etc. . - Paris : Éditions La Découverte, 2015 . - 1 vol. (415 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-359-25136-4 : 23,50 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : Ecologie humaine Développement économique Aspect environnemental Pollution Capitalisme Index. décimale : 333.72 Conservation et protection Résumé : Ce n’est pas seulement dans les pays ravagés par la guerre qu’il faut apprendre à vivre dans les ruines. Car les ruines se rapprochent et nous enserrent de toute part, des sites industriels aux paysages naturels dévastés. Mais l’erreur serait de croire que l’on se contente d’y survivre.
Dans les ruines prolifèrent en effet de nouveaux mondes qu’Anna Tsing a choisi d’explorer en suivant l’odyssée étonnante d’un mystérieux champignon qui ne pousse que dans les forêts détruites.
Suivre les matsutakes, c’est s’intéresser aux cueilleurs de l’Oregon, ces travailleurs précaires, vétérans des guerres américaines, immigrés sans papiers, qui vendent chaque soir les champignons ramassés le jour et qui termineront comme des produits de luxe sur les étals des épiceries fines japonaises. Chemin faisant, on comprend pourquoi la "précarité" n’est pas seulement un terme décrivant la condition des cueilleurs sans emploi stable mais un concept pour penser le monde qui nous est imposé.
Suivre les matsutakes, c’est apporter un éclairage nouveau sur la manière dont le capitalisme s’est inventé comme mode d’exploitation et dont il ravage aujourd’hui la planète.
Suivre les matsutakes, c’est aussi une nouvelle manière de faire de la biologie : les champignons sont une espèce très particulière qui bouscule les fondements des sciences du vivant.
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Rangé en Support Localisation Section Disponibilité Code-barres 330/LOW Livres Centre de ressources documentaires de l'HELMo ESAS Libre-Accès Disponible ES8905 Comment la dépression est devenue une épidémie / Philippe Pignarre
Titre : Comment la dépression est devenue une épidémie Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Philippe Pignarre Editeur : Paris : la Découverte Année de publication : 2001 Collection : Cahiers libres (La Découverte Importance : 153 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-3517-9 Mots-clés : Dépression Médecine Biologie Psychiatrie Santé mentale Thérapies Traitements Antidépresseurs Index. décimale : 610 Médecine Résumé : Le nombre de personnes souffrant de dépression en France et dans les pays occidentaux a été multiplié par sept en dix ans : c'est comme une épidémie. Comment expliquer un phénomène aussi extraordinaire ? Est-il l'effet, comme on le dit souvent, d'un environnement social de plus en plus stressant ?
Loin de cette idée reçue, la réponse que propose Philippe Pignarre dans cet ouvrage très accessible en surprendra plus d'un. Quand la dépression a commencé à se répandre dans les années soixante-dix, explique-t-il, les psychiatres, se détournant de la psychanalyse, ont opté pour la psychiatrie biologique : l'origine de la dépression ne serait pas dans le psychisme du patient, mais dans ses neurones. C'est cette hypothèse fragile, paradoxalement, qui est à l'origine de "l'épidémie".
Elle a mobilisé d'énormes moyens financiers, alors qu'aucun test biologique ne permet de diagnostiquer la dépression : les industriels du médicament testent au hasard les substances et élargissent les définitions des différentes formes de dépression (toujours plus nombreuses) chaque fois qu'ils trouvent un médicament "efficace".
Chacun se voit désormais offrir la possibilité de traduire sous forme de 'dépression' son mal-être : la cause déclenchante (deuil d'un proche, problèmes familiaux, harcèlement moral) serait secondaire, le problème viendrait des gènes ou de la biologie du cerveau. Et les antidépresseurs sont là pour redonner l'énergie qui semble manquer...
Cette approche est-elle vraiment la meilleure pour soulager les souffrances bien réelles de millions de personnes ? Philippe Pignarre explore ici d'autres voies. Et il montre qu'une véritable biologie psychiatrique ne se constituera pas dans le simple prolongement des connaissances empiriques permettant de mettre au point les antidépresseurs.Comment la dépression est devenue une épidémie [Livres, articles, périodiques] / Philippe Pignarre . - Paris : la Découverte, 2001 . - 153 p.. - (Cahiers libres (La Découverte) .
ISBN : 978-2-7071-3517-9
Mots-clés : Dépression Médecine Biologie Psychiatrie Santé mentale Thérapies Traitements Antidépresseurs Index. décimale : 610 Médecine Résumé : Le nombre de personnes souffrant de dépression en France et dans les pays occidentaux a été multiplié par sept en dix ans : c'est comme une épidémie. Comment expliquer un phénomène aussi extraordinaire ? Est-il l'effet, comme on le dit souvent, d'un environnement social de plus en plus stressant ?
Loin de cette idée reçue, la réponse que propose Philippe Pignarre dans cet ouvrage très accessible en surprendra plus d'un. Quand la dépression a commencé à se répandre dans les années soixante-dix, explique-t-il, les psychiatres, se détournant de la psychanalyse, ont opté pour la psychiatrie biologique : l'origine de la dépression ne serait pas dans le psychisme du patient, mais dans ses neurones. C'est cette hypothèse fragile, paradoxalement, qui est à l'origine de "l'épidémie".
Elle a mobilisé d'énormes moyens financiers, alors qu'aucun test biologique ne permet de diagnostiquer la dépression : les industriels du médicament testent au hasard les substances et élargissent les définitions des différentes formes de dépression (toujours plus nombreuses) chaque fois qu'ils trouvent un médicament "efficace".
Chacun se voit désormais offrir la possibilité de traduire sous forme de 'dépression' son mal-être : la cause déclenchante (deuil d'un proche, problèmes familiaux, harcèlement moral) serait secondaire, le problème viendrait des gènes ou de la biologie du cerveau. Et les antidépresseurs sont là pour redonner l'énergie qui semble manquer...
Cette approche est-elle vraiment la meilleure pour soulager les souffrances bien réelles de millions de personnes ? Philippe Pignarre explore ici d'autres voies. Et il montre qu'une véritable biologie psychiatrique ne se constituera pas dans le simple prolongement des connaissances empiriques permettant de mettre au point les antidépresseurs.Réservation
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Rangé en Support Localisation Section Disponibilité Code-barres 610/PIG Livres Centre de ressources documentaires de l'HELMo ESAS Libre-Accès Disponible ES2427 Qu'est-ce qu'on choisit dans un trouble mental? / Philippe Pignarre in Ethica clinica, 51 (Septembre 2008)
[article]
in Ethica clinica > 51 (Septembre 2008) . - p. 58-65
Titre : Qu'est-ce qu'on choisit dans un trouble mental? Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Philippe Pignarre, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 58-65 Langues : Français (fre) Mots-clés : Éthique Pharmacologie Préparations pharmaceutiques Psychanalyse Santé mentale [article] Qu'est-ce qu'on choisit dans un trouble mental? [Livres, articles, périodiques] / Philippe Pignarre, Auteur . - 2008 . - p. 58-65.
Langues : Français (fre)
in Ethica clinica > 51 (Septembre 2008) . - p. 58-65
Mots-clés : Éthique Pharmacologie Préparations pharmaceutiques Psychanalyse Santé mentale