Titre : | Acquisitions, fusions et réorganisations de sociétés. Edition 2020 | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Thierry Blockerye, Auteur ; Hugues Lamon, Préfacier, etc. ; Alexandre Ooms, Auteur | Mention d'édition : | Mise à jour au 15 avril 2020 | Editeur : | Limal : Anthemis | Année de publication : | 2020 | Collection : | Collection de l’école supérieure des sciences fiscales ICHEC-ESSF (Bruxelles) num. 7 | Importance : | 599 p. | Présentation : | Tableaux, schémas | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-8072-0691-5 | Prix : | 137 € | Note générale : | Bibliographie | Mots-clés : | Fiscalité Impôt direct Sociétés (I.Soc) Fusions de sociétés -- Impôt des sociétés Acquisitions de sociétés Acquisitions -- Entreprises Fusions -- Entreprises Réorganisations d'entreprises | Index. décimale : | 347.7 Droit des affaires (anciennement Droit commercial. Droit des sociétés) | Résumé : | Cet ouvrage constitue la troisième mise à jour de la première édition de 2012, une actualisation devenue urgente à la suite des nombreuses modifications et nouveautés introduites par les lois de réforme fiscale de 2016 et 2017, la loi fiscale CSA du 17 mars 2019, la refonte du droit des sociétés, sans oublier le nouvel arrêté royal comptable du 29 avril 2019.
Comme dans les précédentes éditions, l'auteur réalise un tour d'horizon systématique de la matière et dresse un parallélisme entre le nouveau droit des sociétés, le droit comptable et la fiscalité. Il analyse tour à tour les dispositions fiscales régissant les acquisitions d'actifs ou de sociétés, la réconciliation des fonds propres comptables et fiscaux, le rachat d'actions, les opérations taxées, les fusions, les scissions, les apports de branche d'activité et d'universalité, les transferts de siège social et les opérations de réorganisation transfrontalière. Avec une approche pratique, et en recourant à de nombreux exemples, il présente les positions de la doctrine, de l'administration fiscale, de la jurisprudence et du Service des décisions anticipées.
L'ouvrage s'adresse aux étudiants et praticiens qui désirent se former ou se spécialiser dans le domaine de plus en plus complexe des acquisitions et fusions de sociétés | Note de contenu : | La matière des acquisitions et des restructurations étant régie par une multitude de dispositions fiscales, comptables et de droit des sociétés, la moindre réforme dans ces domaines a un impact direct sur l'un ou l'autre pan de la matière. On imagine donc aisément l'impact causé par le tsunami de modifications et de nouveautés introduites depuis la dernière édition. Sans prétendre les nommer toutes, citons à titre illustratif : les dispositions relatives à la taxe de sortie (exit tax), les nouvelles réglementations CFC et en matière de déduction d'intérêts, la nouvelle corbeille en matière de limitations d'utilisation des déficits reportés ; l'introduction d'une (jugée trop) légère, consolidation fiscale, les nouvelles règles en matière de réduction de capital, les conséquences fiscales induites par le changement du critère de nationalité pour les sociétés, la disparition de la notion de capital pour les SRL, le maintien du seuil fiscal des 20 % en cas d'acquisition d'actions propres, les nouvelles règles de transformation de sociétés (incluant dorénavant les cas d'immigration et d'émigration de sociétés), la possibilité de transformer les ASBL en sociétés, les modifications apportées aux fusions et scissions, etc. |
Acquisitions, fusions et réorganisations de sociétés. Edition 2020 [Livres, articles, périodiques] / Thierry Blockerye, Auteur ; Hugues Lamon, Préfacier, etc. ; Alexandre Ooms, Auteur . - Mise à jour au 15 avril 2020 . - Limal : Anthemis, 2020 . - 599 p. : Tableaux, schémas. - ( Collection de l’école supérieure des sciences fiscales ICHEC-ESSF (Bruxelles); 7) . ISBN : 978-2-8072-0691-5 : 137 € Bibliographie Mots-clés : | Fiscalité Impôt direct Sociétés (I.Soc) Fusions de sociétés -- Impôt des sociétés Acquisitions de sociétés Acquisitions -- Entreprises Fusions -- Entreprises Réorganisations d'entreprises | Index. décimale : | 347.7 Droit des affaires (anciennement Droit commercial. Droit des sociétés) | Résumé : | Cet ouvrage constitue la troisième mise à jour de la première édition de 2012, une actualisation devenue urgente à la suite des nombreuses modifications et nouveautés introduites par les lois de réforme fiscale de 2016 et 2017, la loi fiscale CSA du 17 mars 2019, la refonte du droit des sociétés, sans oublier le nouvel arrêté royal comptable du 29 avril 2019.
Comme dans les précédentes éditions, l'auteur réalise un tour d'horizon systématique de la matière et dresse un parallélisme entre le nouveau droit des sociétés, le droit comptable et la fiscalité. Il analyse tour à tour les dispositions fiscales régissant les acquisitions d'actifs ou de sociétés, la réconciliation des fonds propres comptables et fiscaux, le rachat d'actions, les opérations taxées, les fusions, les scissions, les apports de branche d'activité et d'universalité, les transferts de siège social et les opérations de réorganisation transfrontalière. Avec une approche pratique, et en recourant à de nombreux exemples, il présente les positions de la doctrine, de l'administration fiscale, de la jurisprudence et du Service des décisions anticipées.
L'ouvrage s'adresse aux étudiants et praticiens qui désirent se former ou se spécialiser dans le domaine de plus en plus complexe des acquisitions et fusions de sociétés | Note de contenu : | La matière des acquisitions et des restructurations étant régie par une multitude de dispositions fiscales, comptables et de droit des sociétés, la moindre réforme dans ces domaines a un impact direct sur l'un ou l'autre pan de la matière. On imagine donc aisément l'impact causé par le tsunami de modifications et de nouveautés introduites depuis la dernière édition. Sans prétendre les nommer toutes, citons à titre illustratif : les dispositions relatives à la taxe de sortie (exit tax), les nouvelles réglementations CFC et en matière de déduction d'intérêts, la nouvelle corbeille en matière de limitations d'utilisation des déficits reportés ; l'introduction d'une (jugée trop) légère, consolidation fiscale, les nouvelles règles en matière de réduction de capital, les conséquences fiscales induites par le changement du critère de nationalité pour les sociétés, la disparition de la notion de capital pour les SRL, le maintien du seuil fiscal des 20 % en cas d'acquisition d'actions propres, les nouvelles règles de transformation de sociétés (incluant dorénavant les cas d'immigration et d'émigration de sociétés), la possibilité de transformer les ASBL en sociétés, les modifications apportées aux fusions et scissions, etc. |
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