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Surfons tranquille 2.0 ! / Olivier Bogaert

Public ISBD Titre : Surfons tranquille 2.0 ! Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Olivier Bogaert, Auteur Editeur : Bruxelles : Racine Année de publication : 2013 Autre Editeur : RTBF Importance : 1 vol. (221 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87386-837-6 Mots-clés : Criminalité informatique  Internet -- Mesures de sûreté  Ordinateurs -- Accès -- Contrôle  Messageries électroniques  Réseaux sociaux (Internet)  Web 2.0  Commerce électronique  Enfants internautes  Internautes Index. décimale : 004.056 Sécurité informatique. Protection. Sauvegarde. Piratage. Antivirus Résumé : En vous aidant à trouver le bon mot de passe, à bien choisir votre antivirus, à acquérir les bons réflexes derrière le clavier, "Surfons tranquille !" vous permet de profiter de ce formidable outil en toute sécurité. En trois grands chapitres (Astuces, Réseaux sociaux et Arnaques), cette nouvelle version vous fait découvrir les bons conseils pour configurer vos outils numériques, les bonnes pratiques en matière d'usage des réseaux sociaux et de nombreux trucs pour déjouer les pièges tendus par les acteurs malveillants qui sévissent sur le Net. Sous une forme simple et compréhensible, vous découvrirez comment vous pouvez désormais surfer tranquille sur votre ordinateur, votre smartphone ou votre tablette. Surfons tranquille 2.0 ! [Livres, articles, périodiques] / Olivier Bogaert, Auteur . - Bruxelles : Racine : [S.l.] : RTBF, 2013 . - 1 vol. (221 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm. ISBN : 978-2-87386-837-6 Mots-clés : Criminalité informatique  Internet -- Mesures de sûreté  Ordinateurs -- Accès -- Contrôle  Messageries électroniques  Réseaux sociaux (Internet)  Web 2.0  Commerce électronique  Enfants internautes  Internautes Index. décimale : 004.056 Sécurité informatique. Protection. Sauvegarde. Piratage. Antivirus Résumé : En vous aidant à trouver le bon mot de passe, à bien choisir votre antivirus, à acquérir les bons réflexes derrière le clavier, "Surfons tranquille !" vous permet de profiter de ce formidable outil en toute sécurité. En trois grands chapitres (Astuces, Réseaux sociaux et Arnaques), cette nouvelle version vous fait découvrir les bons conseils pour configurer vos outils numériques, les bonnes pratiques en matière d'usage des réseaux sociaux et de nombreux trucs pour déjouer les pièges tendus par les acteurs malveillants qui sévissent sur le Net. Sous une forme simple et compréhensible, vous découvrirez comment vous pouvez désormais surfer tranquille sur votre ordinateur, votre smartphone ou votre tablette.

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004 .056 BOG	Livres	Bibliothèque HELMo Campus Guillemins	Libre-Accès	Disponible	CG013

Pachamama / Raphy Rafaël

Public ISBD Titre : Pachamama Type de document : CD Audio Auteurs : Raphy Rafaël, Auteur Editeur : RTBF Année de publication : 2000 Importance : 1 cd audio Langues : Français (fre) Index. décimale : -70 Ancien Arts plastiques: généralités, histoire Pachamama [CD Audio] / Raphy Rafaël, Auteur . - [S.l.] : RTBF, 2000 . - 1 cd audio. Langues : Français (fre) Index. décimale : -70 Ancien Arts plastiques: généralités, histoire

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N°176	CD	Bibliothèque HELMo Saint-Roch	CD/DVD	Disponible	SR4000106

Si tous les souliers... / Joël Smets

Public ISBD Titre : Si tous les souliers... Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Joël Smets, Auteur ; Philippe Geluck, Illustrateur Editeur : Bruxelles : Labor Année de publication : 1984 Autre Editeur : RTBF Importance : 21 p. Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8040-0005-9 Langues : Français (fre) Index. décimale : -82 Ancien Littérature Si tous les souliers... [Livres, articles, périodiques] / Joël Smets, Auteur ; Philippe Geluck, Illustrateur . - Bruxelles : Labor : [S.l.] : RTBF, 1984 . - 21 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ISBN : 978-2-8040-0005-9 Langues : Français (fre) Index. décimale : -82 Ancien Littérature

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82-93 SME	Livres	Bibliothèque HELMo Saint-Roch	Albums – Primaire	Disponible	SR1002162

Allô! police / Daniel Nokin

Public ISBD Titre : Allô! police : Au nom de la loi Type de document : K7 vidéo, DVD Auteurs : Daniel Nokin, Auteur Editeur : RTBF Année de publication : 1988 Langues : Français (fre) Mots-clés : Police Résumé : Mercredi 14 décembre 1988 Manu Bonmariage poursuit son exploration de la société avec Allô! police. Une mise à plat d'un quotidien qui n'a rien de spectaculaire en soi mais qui touche le téléspectateur En décidant de consacrer un long reportage aux interventions quotidiennes de la police de Charleroi, Manu Bonmariage ne pensait pas à ce qui constitue les clichés les plus spectaculaires de l'action policière: interventions rapides et dangereuses, poursuites de gangsters, etc. Car le travail quotidien de la police concerne beaucoup plus la face cachée de la vie des gens, les problèmes qu'ils rencontrent et dont la presse ne fait pas ses gros titres, les difficultés de vivre dans un monde qui les repousse parfois. Une des caractéristiques du tournage d'Allô police en fut le caractère improvisé. Quand l'équipe - une équipe très réduite, composée seulement d'un preneur de son et de Manu Bonmariage lui-même à la caméra - partait avec la voiture de la police, elle ne savait jamais très bien sur quel genre d'histoire elle allait tomber. Et une fois sur trois d'ailleurs, en voyant arriver la caméra, les personnes concernées lui fermaient leur porte. Ce qui était d'ailleurs bien leur droit. Lors de la présentation du film à la presse il y a quelques mois, Manu Bonmariage relevait que ce refus avait été davantage le fait des familles vivant aisément que celles des milieux moins favorisés. Ce qu'on retient du film dans son ensemble, c'est qu'il montre des personnes en situation de crise. Crises mineures le plus souvent, mais aux conséquences imprévisibles, puisqu'un des faits divers dont il est question dans Allô police - une querelle de voisinage - débouchera sur le suicide d'un adolescent pour qui le poids de cette atmosphère est devenu proprement invivable. On ne peut donc plus parler de «crises mineures» quand elles débouchent sur de tels drames. Ainsi, on n'a pas du tout envie de rire - même si Manu Bonmariage a construit son film selon les bonnes vieilles lois de la progression dramatique - d'un vieux qui parle tout seul, oubliant complètement la présence de la caméra, des policiers et même de son épouse pour raconter sa vie. Ou de celui que deux policiers ramassent en rue, endormi, complètement ivre, et qui a bien du mal à leur expliquer où il habite pour qu'ils l'y ramènent. Ou des histoires de chiens bruyants. Combien de ces anecdotes qui peuvent même paraître plaisantes, faire l'objet de bons mots, tournent mal? De toute manière, cette plongée dans un monde où le tapage des voisins est obsédant - c'est une des constantes - en compagnie de policiers qui tentent, dans un premier temps, d'aplanir les différends, est un voile qui se lève pour nous montrer ce que Manu Bonmariage appelle «une société duale»: «Pour certains, la crise économique est passée, pour les autres elle ne fait que s'accentuer. Ce film, Allô police, est en fait la suite logique de la vie des gens qui perdaient leur emploi dans Du beurre sur les tartines.» Une chose fait de ce film, qui aurait pu n'être qu'un témoignage comme un autre, une oeuvre exceptionnelle: la qualité du regard de Manu Bonmariage qui, derrière sa caméra, ne se moque jamais du sort de ceux qu'il prend en images sans les prendre en otages. Une sorte de compassion ressort des images qui ne nécessitent pas de commentaire extérieur, parce qu'elles contiennent tout. Et qu'elles nous font éprouver le même sentiment. PIERRE MAURY. «Au nom de la loi», R.T.B.F. 1, 20 heures. (http://archives.lesoir.be/apres-du-beurre-sur-les-tartines-et-malaises-_t-19881214-Z016M9.html) Allô! police : Au nom de la loi [K7 vidéo, DVD] / Daniel Nokin, Auteur . - [S.l.] : RTBF, 1988. Langues : Français (fre) Mots-clés : Police Résumé : Mercredi 14 décembre 1988 Manu Bonmariage poursuit son exploration de la société avec Allô! police. Une mise à plat d'un quotidien qui n'a rien de spectaculaire en soi mais qui touche le téléspectateur En décidant de consacrer un long reportage aux interventions quotidiennes de la police de Charleroi, Manu Bonmariage ne pensait pas à ce qui constitue les clichés les plus spectaculaires de l'action policière: interventions rapides et dangereuses, poursuites de gangsters, etc. Car le travail quotidien de la police concerne beaucoup plus la face cachée de la vie des gens, les problèmes qu'ils rencontrent et dont la presse ne fait pas ses gros titres, les difficultés de vivre dans un monde qui les repousse parfois. Une des caractéristiques du tournage d'Allô police en fut le caractère improvisé. Quand l'équipe - une équipe très réduite, composée seulement d'un preneur de son et de Manu Bonmariage lui-même à la caméra - partait avec la voiture de la police, elle ne savait jamais très bien sur quel genre d'histoire elle allait tomber. Et une fois sur trois d'ailleurs, en voyant arriver la caméra, les personnes concernées lui fermaient leur porte. Ce qui était d'ailleurs bien leur droit. Lors de la présentation du film à la presse il y a quelques mois, Manu Bonmariage relevait que ce refus avait été davantage le fait des familles vivant aisément que celles des milieux moins favorisés. Ce qu'on retient du film dans son ensemble, c'est qu'il montre des personnes en situation de crise. Crises mineures le plus souvent, mais aux conséquences imprévisibles, puisqu'un des faits divers dont il est question dans Allô police - une querelle de voisinage - débouchera sur le suicide d'un adolescent pour qui le poids de cette atmosphère est devenu proprement invivable. On ne peut donc plus parler de «crises mineures» quand elles débouchent sur de tels drames. Ainsi, on n'a pas du tout envie de rire - même si Manu Bonmariage a construit son film selon les bonnes vieilles lois de la progression dramatique - d'un vieux qui parle tout seul, oubliant complètement la présence de la caméra, des policiers et même de son épouse pour raconter sa vie. Ou de celui que deux policiers ramassent en rue, endormi, complètement ivre, et qui a bien du mal à leur expliquer où il habite pour qu'ils l'y ramènent. Ou des histoires de chiens bruyants. Combien de ces anecdotes qui peuvent même paraître plaisantes, faire l'objet de bons mots, tournent mal? De toute manière, cette plongée dans un monde où le tapage des voisins est obsédant - c'est une des constantes - en compagnie de policiers qui tentent, dans un premier temps, d'aplanir les différends, est un voile qui se lève pour nous montrer ce que Manu Bonmariage appelle «une société duale»: «Pour certains, la crise économique est passée, pour les autres elle ne fait que s'accentuer. Ce film, Allô police, est en fait la suite logique de la vie des gens qui perdaient leur emploi dans Du beurre sur les tartines.» Une chose fait de ce film, qui aurait pu n'être qu'un témoignage comme un autre, une oeuvre exceptionnelle: la qualité du regard de Manu Bonmariage qui, derrière sa caméra, ne se moque jamais du sort de ceux qu'il prend en images sans les prendre en otages. Une sorte de compassion ressort des images qui ne nécessitent pas de commentaire extérieur, parce qu'elles contiennent tout. Et qu'elles nous font éprouver le même sentiment. PIERRE MAURY. «Au nom de la loi», R.T.B.F. 1, 20 heures. (http://archives.lesoir.be/apres-du-beurre-sur-les-tartines-et-malaises-_t-19881214-Z016M9.html)

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DVD 68	DVD	Centre de ressources documentaires de l'HELMo ESAS	Libre-Accès	Disponible	ES5542

Les enfants de la place

Public ISBD Titre : Les enfants de la place : Faits divers Type de document : K7 vidéo, DVD Editeur : RTBF Année de publication : 1995 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prostitution  Prostitution enfantine  Enfance Résumé : Mardi 31 octobre 1995 A Liège, «Faits divers» zone aux abords de la place de la République. La parole brute de la rue. Place à la rue et à ceux qui l'arpentent, pour mille francs, pour une dose, pour une fugue... On a déjà beaucoup écrit, beaucoup parlé et beaucoup montré sur la drogue et la prostitution, notamment celle des jeunes. Avec «Les enfants de la place», l'équipe de «Fait divers» lui donne la parole, directement, dans son état le plus brut, à travers les regards vagues, les propos amers et désabusés de jeunes garçons et de jeunes filles, qui ont souvent moins de 20 ans et dont la vie se résume à la prostitution qui permet de s'offrir les doses quotidiennes et nécessaires. Au départ, André Leruth et Abder Rarrbo cherchent à comprendre pourquoi Cindy, l'une d'entre eux, se pend aux pitons des rideaux de la chambre dans le home où on venait de la replacer après une énième fugue. À l'arrivée, ils ont dressé une galerie de portraits et ont donné la parole au monde de la rue, à ces jeunes qui témoignent, à visage découvert, de leur plongée dans un enfer qu'ils ne sont pas seuls à avoir construit. Un récit et un monde qui étaient faits pour se rencontrer et pour se quitter, tragiquement. DEUX SUJETS SINON... Cindy avait à peine 17 ans. Sa vie, pourtant, semble déjà une accumulation de clichés. Violée par son beau-père, elle finit par porter plainte à la gendarmerie. Elle n'a que 13 ans à l'époque. Le beau-père nie et celle qui aurait dû être son premier secours, sa mère, fait pression pour qu'elle retire sa plainte. Le juge de la jeunesse décide alors de la soustraire au milieu familial, «pour son bien». Commence alors la valse des homes, des fugues, des premières rencontres avec les gens de la rue. Puis, immanquablement, la première prise de drogue et, rapidement, la dépendance... donc la prostitution. Enfin, la mort. À 17 ans. Le problème pour Cindy, c'est qu'au lieu de n'être qu'une accumulation de clichés, c'était ça la vie. Du moins la sienne. Effleurant le problème des homes pour jeunes et des conditions de «détention», le reportage souligne surtout la manière dont ceux-ci ressentent un placement. Cindy a le courage de dénoncer celui qui abuse d'elle et c'est elle qu'on « enferme». De victime, elle devient coupable. C'est un peu comme si le monde des adultes la poignardait dans le dos, explique une éducatrice de rue. Se pendre, c'est un peu dire merde à toutes ces institutions qui ne l'ont pas comprise, poursuit-elle. ... RIEN Et puis, à travers le récit de cette courte vie, c'est tout un monde que l'équipe de la RTBF fait découvrir. La rue, celle qui sauve et celle qui fait tomber. Premier refuge pour les fugueurs ou les désoeuvrés, elle offre des contacts faciles et cultive quelques mystères. Pour Cindy, la première fugue fut quelque chose d'exaltant, un moyen de découvrir la «vrai vie ». Puis il y a la drogue, la prostitution, l'argent pour survivre dehors ou pour s'offrir l'illusion de la vie. Et, très vite, tout se mêle. Et, chaque fois, c'est la drogue qui prend le dessus. L'héro, c'est quelque chose qu'on n'oublie jamais, explique un ancien petit ami de Cindy, rien que parce que je viens de vous en parler, c'est comme si j'avais le goût en bouche. Je sais que dès que je vais partir d'ici, il faudra que j'aille en chercher. Pour beaucoup d'entre eux, poursuit l'éducatrice, quitter la drogue, c'est devoir se couper de la rue. Mais alors, que leur reste-t-il ? À ces jeunes prostitués qui ne sont pourtant pas homosexuels et qui finissent par avoir des problèmes d'identité sexuelle avec leurs partenaires féminines ? À ce jeune garçon qui maintient la force de son amour pour celui qui l'a rendu séropositif ? À celui qui veut arrêter de se prostituer s'il rencontre une petite amie. Quitte à voler ! À celui qui dit avoir perdu l'amour qui était en lui ? ÉRIC RENETTE «Faits divers» : RTBF 1, 20 h 10. (http://archives.lesoir.be/m/a-liege-faits-divers-zone-aux-abords-de-la-place-de-la-_t-19951031-Z0A7MJ.html) Les enfants de la place : Faits divers [K7 vidéo, DVD] . - [S.l.] : RTBF, 1995. Langues : Français (fre) Mots-clés : Prostitution  Prostitution enfantine  Enfance Résumé : Mardi 31 octobre 1995 A Liège, «Faits divers» zone aux abords de la place de la République. La parole brute de la rue. Place à la rue et à ceux qui l'arpentent, pour mille francs, pour une dose, pour une fugue... On a déjà beaucoup écrit, beaucoup parlé et beaucoup montré sur la drogue et la prostitution, notamment celle des jeunes. Avec «Les enfants de la place», l'équipe de «Fait divers» lui donne la parole, directement, dans son état le plus brut, à travers les regards vagues, les propos amers et désabusés de jeunes garçons et de jeunes filles, qui ont souvent moins de 20 ans et dont la vie se résume à la prostitution qui permet de s'offrir les doses quotidiennes et nécessaires. Au départ, André Leruth et Abder Rarrbo cherchent à comprendre pourquoi Cindy, l'une d'entre eux, se pend aux pitons des rideaux de la chambre dans le home où on venait de la replacer après une énième fugue. À l'arrivée, ils ont dressé une galerie de portraits et ont donné la parole au monde de la rue, à ces jeunes qui témoignent, à visage découvert, de leur plongée dans un enfer qu'ils ne sont pas seuls à avoir construit. Un récit et un monde qui étaient faits pour se rencontrer et pour se quitter, tragiquement. DEUX SUJETS SINON... Cindy avait à peine 17 ans. Sa vie, pourtant, semble déjà une accumulation de clichés. Violée par son beau-père, elle finit par porter plainte à la gendarmerie. Elle n'a que 13 ans à l'époque. Le beau-père nie et celle qui aurait dû être son premier secours, sa mère, fait pression pour qu'elle retire sa plainte. Le juge de la jeunesse décide alors de la soustraire au milieu familial, «pour son bien». Commence alors la valse des homes, des fugues, des premières rencontres avec les gens de la rue. Puis, immanquablement, la première prise de drogue et, rapidement, la dépendance... donc la prostitution. Enfin, la mort. À 17 ans. Le problème pour Cindy, c'est qu'au lieu de n'être qu'une accumulation de clichés, c'était ça la vie. Du moins la sienne. Effleurant le problème des homes pour jeunes et des conditions de «détention», le reportage souligne surtout la manière dont ceux-ci ressentent un placement. Cindy a le courage de dénoncer celui qui abuse d'elle et c'est elle qu'on « enferme». De victime, elle devient coupable. C'est un peu comme si le monde des adultes la poignardait dans le dos, explique une éducatrice de rue. Se pendre, c'est un peu dire merde à toutes ces institutions qui ne l'ont pas comprise, poursuit-elle. ... RIEN Et puis, à travers le récit de cette courte vie, c'est tout un monde que l'équipe de la RTBF fait découvrir. La rue, celle qui sauve et celle qui fait tomber. Premier refuge pour les fugueurs ou les désoeuvrés, elle offre des contacts faciles et cultive quelques mystères. Pour Cindy, la première fugue fut quelque chose d'exaltant, un moyen de découvrir la «vrai vie ». Puis il y a la drogue, la prostitution, l'argent pour survivre dehors ou pour s'offrir l'illusion de la vie. Et, très vite, tout se mêle. Et, chaque fois, c'est la drogue qui prend le dessus. L'héro, c'est quelque chose qu'on n'oublie jamais, explique un ancien petit ami de Cindy, rien que parce que je viens de vous en parler, c'est comme si j'avais le goût en bouche. Je sais que dès que je vais partir d'ici, il faudra que j'aille en chercher. Pour beaucoup d'entre eux, poursuit l'éducatrice, quitter la drogue, c'est devoir se couper de la rue. Mais alors, que leur reste-t-il ? À ces jeunes prostitués qui ne sont pourtant pas homosexuels et qui finissent par avoir des problèmes d'identité sexuelle avec leurs partenaires féminines ? À ce jeune garçon qui maintient la force de son amour pour celui qui l'a rendu séropositif ? À celui qui veut arrêter de se prostituer s'il rencontre une petite amie. Quitte à voler ! À celui qui dit avoir perdu l'amour qui était en lui ? ÉRIC RENETTE «Faits divers» : RTBF 1, 20 h 10. (http://archives.lesoir.be/m/a-liege-faits-divers-zone-aux-abords-de-la-place-de-la-_t-19951031-Z0A7MJ.html)

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DVD 67	DVD	Centre de ressources documentaires de l'HELMo ESAS	Libre-Accès	Disponible	ES5543

L'amour en marge : la vie affective des personnes handicapées mentales / Bruno Clément

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Wild Wild Web - Pris dans la toile (RTBF, 20 janvier 2010) 

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Femmes et Islam (Questions à la une, 20 janvier 2010) 

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Ados en crise (C'est la vie en plus, 14 Janvier 2009)

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Avanti (Transversales, 17 janvier 2009)

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Bye bye Belgium (Tout ça, 13 décembre 2006) 

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Au petit château (C'est la vie, 19 septembre 2007) / Olivier Langlois

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Les fiches de l'actualité / Le Soir (quotidien) (Bruxelles)

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