A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Détail de l'auteur
Auteur Jean-Pierre Bours
Documents disponibles écrits par cet auteur
Faire une suggestion Affiner la rechercheActualités en droit fiscal / Marc Bourgeois ; Jean-Pierre Bours ; ULg
Titre : Actualités en droit fiscal : les effets de la crise bancaire et dix ans de réforme de la procédure / Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Marc Bourgeois ; Jean-Pierre Bours ; ULg Editeur : Liège : Anthemis Année de publication : 2009 Collection : Formation permanente CUP num. 111 Importance : 309 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87455-149-9 Résumé : Les actualités en droit fiscal, objet du présent ouvrage, se déclinent en cinq contributions s'articulant autour de deux grandes thématiques : les effets de la crise bancaire et financière, d'une part, dix ans de réforme de la procédure, d'autre part. Les turbulences que nous affrontons depuis la fin de l'année 2008 méritent que l'on s'attarde sur le régime belge actuel de taxation des produits d’épargne et de placement (actions, obligations, instruments d’assurance-vie, titres d’organismes de placement collectif). Denis-Emmanuel Philippe soumet, à cet égard, une synthèse claire et pratique des règles actuellement en vigueur. En s’appuyant sur cet examen préalable, l’auteur s’est efforcé de mettre en lumière des modifications législatives récentes, ainsi que certaines perspectives de réforme, directement induites par le contexte de crise et motivées, entre autres, par la nécessité de relancer l’économie. La crise engendre des déficits publics auxquels il conviendra de remédier. L’heure est ainsi venue de lutter, plus efficacement dit-on, contre les pratiques de fraude et le recours aux havres fiscaux. L’occasion est ainsi offerte de recenser, de manière critique, les pouvoirs d’investigation dont dispose, tant en Belgique qu’à l’étranger, le fisc belge. Les contours et les limites de ceux-ci sont opportunément commentés par Jean-Pierre Bours. Cela fait un peu plus de dix ans que la procédure fiscale contentieuse a été réformée. Marc Levaux et Manuel Gustin saisissent le prétexte de cet anniversaire pour faire le point sur la mise en ‘uvre pratique des lois des 15 et 23 mars 1999 et sur les difficultés que cette révolution continue de susciter en ce qui concerne la procédure d’instance en matière d’impôts sur les revenus. Aurélien Bortolotti et Lionel Orban se sont, pour leur part, astreints à exposer les principales modifications législatives et évolutions jurisprudentielles ayant caractérisé, durant ces dix dernières années, la procédure fiscale locale, aujourd’hui régionalisée. Un sujet particulièrement d’actualité clôture l’ouvrage. Sous la pression de la Cour européenne des droits de l’homme, les juridictions nationales ont progressivement attribué aux sanctions administratives en vigueur en droit fiscal un caractère pénal au sens de l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme. En conséquence de ce processus de requalification, les juges judiciaires se sont estimés compétents pour exercer, vis-à-vis des amendes fiscales, un contrôle de pleine juridiction et pour appliquer à celles-ci des principes propres aux sanctions pénales en général. Une controverse caractérise néanmoins la manière dont il convient d’interpréter la notion de « pleine juridiction ». Marc Bourgeois et Jordan Oprenyeszk proposent un inventaire critique et commenté de l’état actuel de la jurisprudence en la matière. Actualités en droit fiscal : les effets de la crise bancaire et dix ans de réforme de la procédure / [Livres, articles, périodiques] / Marc Bourgeois ; Jean-Pierre Bours ; ULg . - Liège : Anthemis, 2009 . - 309 p.. - (Formation permanente CUP; 111) .
ISBN : 978-2-87455-149-9
Résumé : Les actualités en droit fiscal, objet du présent ouvrage, se déclinent en cinq contributions s'articulant autour de deux grandes thématiques : les effets de la crise bancaire et financière, d'une part, dix ans de réforme de la procédure, d'autre part. Les turbulences que nous affrontons depuis la fin de l'année 2008 méritent que l'on s'attarde sur le régime belge actuel de taxation des produits d’épargne et de placement (actions, obligations, instruments d’assurance-vie, titres d’organismes de placement collectif). Denis-Emmanuel Philippe soumet, à cet égard, une synthèse claire et pratique des règles actuellement en vigueur. En s’appuyant sur cet examen préalable, l’auteur s’est efforcé de mettre en lumière des modifications législatives récentes, ainsi que certaines perspectives de réforme, directement induites par le contexte de crise et motivées, entre autres, par la nécessité de relancer l’économie. La crise engendre des déficits publics auxquels il conviendra de remédier. L’heure est ainsi venue de lutter, plus efficacement dit-on, contre les pratiques de fraude et le recours aux havres fiscaux. L’occasion est ainsi offerte de recenser, de manière critique, les pouvoirs d’investigation dont dispose, tant en Belgique qu’à l’étranger, le fisc belge. Les contours et les limites de ceux-ci sont opportunément commentés par Jean-Pierre Bours. Cela fait un peu plus de dix ans que la procédure fiscale contentieuse a été réformée. Marc Levaux et Manuel Gustin saisissent le prétexte de cet anniversaire pour faire le point sur la mise en ‘uvre pratique des lois des 15 et 23 mars 1999 et sur les difficultés que cette révolution continue de susciter en ce qui concerne la procédure d’instance en matière d’impôts sur les revenus. Aurélien Bortolotti et Lionel Orban se sont, pour leur part, astreints à exposer les principales modifications législatives et évolutions jurisprudentielles ayant caractérisé, durant ces dix dernières années, la procédure fiscale locale, aujourd’hui régionalisée. Un sujet particulièrement d’actualité clôture l’ouvrage. Sous la pression de la Cour européenne des droits de l’homme, les juridictions nationales ont progressivement attribué aux sanctions administratives en vigueur en droit fiscal un caractère pénal au sens de l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme. En conséquence de ce processus de requalification, les juges judiciaires se sont estimés compétents pour exercer, vis-à-vis des amendes fiscales, un contrôle de pleine juridiction et pour appliquer à celles-ci des principes propres aux sanctions pénales en général. Une controverse caractérise néanmoins la manière dont il convient d’interpréter la notion de « pleine juridiction ». Marc Bourgeois et Jordan Oprenyeszk proposent un inventaire critique et commenté de l’état actuel de la jurisprudence en la matière. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Rangé en Support Localisation Section Disponibilité Code-barres 336 .2 CUP BOU 2009 Livres Bibliothèque HELMo Campus Guillemins Libre-Accès Disponible MA300
Titre : La constitution d'une société par le titulaire d'une profession libérale Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Jean-Pierre Bours, Auteur Mention d'édition : 2e éd. Editeur : Limal : Anthemis Année de publication : 2013 Importance : 135 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87455-584-8 Mots-clés : Passage en société -- Professions libérales Index. décimale : 347.7 Droit des affaires (anciennement Droit commercial. Droit des sociétés) Résumé : Les clés pour un passage en société réussi.
De plus en plus de titulaires de professions libérales exercent leur activité en société. Certaines de ces entreprises comptent elles-mêmes, parmi leurs associés, des SPRL unipersonnelles.
Ce phénomène de la patrimonialisation des clientèles et de l'apparition, dans notre droit, des sociétés d’une personne peut avoir des causes diverses : le désir de mieux structurer une association, des préoccupations d’ordre social, mais aussi, et surtout, un souci de planification fiscale.
Le présent ouvrage est un guide précis et pratique en la matière.
Quand devient-il intéressant pour un titulaire de profession libérale de constituer une société ? À quel prix peut-il lui céder sa clientèle ? Celle-ci peut-elle faire l’objet d’amortissements et, si oui, dans quel délai ? Quelle sera l’économie d’impôt réalisée ? L’interposition d’une société permettra-t-elle de se doter à moindres frais d’un régime de pension complémentaire ? Mais aussi quels sont les inconvénients du passage en société ? Quelle est la responsabilité incombant au dirigeant d’entreprise que sont devenus l’avocat, le notaire, le médecin, l’architecte, l’expert-comptable, le comptable, le réviseur ou le pharmacien ? Existe-t-il des risques d’ordre pénal liés à la poursuite en société d’une activité libérale ? Et quels sont les coûts de cette mutation ?
Toutes ces questions sont analysées à la lumière des nombreuses modifications législatives intervenues depuis 2009. L’auteur reprend les barèmes applicables pour l’exercice 2014 (année d’imposition 2013) et commente en outre la nouvelle disposition anti-abus.
Un ouvrage clair, fouillé, pragmatique, indispensable dans la bibliothèque de tout titulaire de profession libérale.La constitution d'une société par le titulaire d'une profession libérale [Livres, articles, périodiques] / Jean-Pierre Bours, Auteur . - 2e éd. . - Limal : Anthemis, 2013 . - 135 p.
ISBN : 978-2-87455-584-8
Mots-clés : Passage en société -- Professions libérales Index. décimale : 347.7 Droit des affaires (anciennement Droit commercial. Droit des sociétés) Résumé : Les clés pour un passage en société réussi.
De plus en plus de titulaires de professions libérales exercent leur activité en société. Certaines de ces entreprises comptent elles-mêmes, parmi leurs associés, des SPRL unipersonnelles.
Ce phénomène de la patrimonialisation des clientèles et de l'apparition, dans notre droit, des sociétés d’une personne peut avoir des causes diverses : le désir de mieux structurer une association, des préoccupations d’ordre social, mais aussi, et surtout, un souci de planification fiscale.
Le présent ouvrage est un guide précis et pratique en la matière.
Quand devient-il intéressant pour un titulaire de profession libérale de constituer une société ? À quel prix peut-il lui céder sa clientèle ? Celle-ci peut-elle faire l’objet d’amortissements et, si oui, dans quel délai ? Quelle sera l’économie d’impôt réalisée ? L’interposition d’une société permettra-t-elle de se doter à moindres frais d’un régime de pension complémentaire ? Mais aussi quels sont les inconvénients du passage en société ? Quelle est la responsabilité incombant au dirigeant d’entreprise que sont devenus l’avocat, le notaire, le médecin, l’architecte, l’expert-comptable, le comptable, le réviseur ou le pharmacien ? Existe-t-il des risques d’ordre pénal liés à la poursuite en société d’une activité libérale ? Et quels sont les coûts de cette mutation ?
Toutes ces questions sont analysées à la lumière des nombreuses modifications législatives intervenues depuis 2009. L’auteur reprend les barèmes applicables pour l’exercice 2014 (année d’imposition 2013) et commente en outre la nouvelle disposition anti-abus.
Un ouvrage clair, fouillé, pragmatique, indispensable dans la bibliothèque de tout titulaire de profession libérale.Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Rangé en Support Localisation Section Disponibilité Code-barres 347.72 BOU 2013 Livres Bibliothèque HELMo Campus Guillemins Libre-Accès Disponible CG0179 Documents numériques
Table des matièresAdobe Acrobat PDF La preuve et la difficile quête de la vérité judiciaire / Georges de Leval
Titre : La preuve et la difficile quête de la vérité judiciaire Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Georges de Leval, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean-Pierre Bours, Auteur ; Jacques van Compernolle, Auteur Editeur : Liège : Anthemis Année de publication : 2011 Collection : Formation permanente CUP num. 126 Importance : 285 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Preuve (droit) -- Belgique Preuve (droit) -- Pays de l'Union européenne Résumé : Dans le procès, si le socle factuel est contesté par le défendeur, le demandeur a la charge de prouver les faits qu’il allègue. Autant le principe est limpide, autant sa concrétisation peut s’avérer délicate tant la quête de la vérité judiciaire est, en ce cas difficile. « La science est l’asymptote de la vérité. Elle approche sans cesse et ne touche jamais » (HUGO). A fortiori, cette règle est transposable en matière judiciaire. Au demeurant, l’autorité de la chose jugée ne s’identifie pas à la vérité mais elle est seulement tenue pour la vérité judiciaire. En un mot, le juge ne peut prétendre avoir atteint la vérité mais, dans le respect du droit substantiel et procédural applicable, il a tout mis en œuvre à cette fin. Cette chronique a pour objet de revisiter quelques aspects de ce droit applicable au départ de l’incidence de la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme sur l’administration de la preuve dans le procès civil (J. van Compernolle). Sur ce socle consacrant « le droit à la preuve », il importe ensuite de faire le point sur les techniques d’approche de la vérité judiciaire en matière civile en examinant tant les techniques d’émergence de la vérité dans le procès que la proclamation de cette vérité dans le jugement (G. de Leval). De toutes les mesures d’instruction, l’expertise est celle qui nécessite le plus grand déploiement de moyens car prend place dans le procès judiciaire une séquence technique dont la maîtrise échappe à la compétence du juge ; l’avis de l’expert peut ainsi être déterminant dans la solution du litige (O. Mignolet). Enfin, le droit de la preuve, indépendamment des règles communes à toutes les matières, peut être influencé par la nature du contentieux. C’est ce que développent trois autres contributions : vérité et preuve pénale (L. Kennes et A. Marc), la légalité de la preuve confrontée au droit de la vie privée du salarié (F. Kéfer) et vérité et preuve fiscale (J.P. Bours). Cette matière, quotidiennement mise en œuvre par les praticiens, est bruissante de multiples ajustements aux exigences de notre époque et à la conception que nous avons du fonctionnement de la justice en ce début de XXIe siècle. La preuve et la difficile quête de la vérité judiciaire [Livres, articles, périodiques] / Georges de Leval, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean-Pierre Bours, Auteur ; Jacques van Compernolle, Auteur . - Liège : Anthemis, 2011 . - 285 p.. - (Formation permanente CUP; 126) .
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Preuve (droit) -- Belgique Preuve (droit) -- Pays de l'Union européenne Résumé : Dans le procès, si le socle factuel est contesté par le défendeur, le demandeur a la charge de prouver les faits qu’il allègue. Autant le principe est limpide, autant sa concrétisation peut s’avérer délicate tant la quête de la vérité judiciaire est, en ce cas difficile. « La science est l’asymptote de la vérité. Elle approche sans cesse et ne touche jamais » (HUGO). A fortiori, cette règle est transposable en matière judiciaire. Au demeurant, l’autorité de la chose jugée ne s’identifie pas à la vérité mais elle est seulement tenue pour la vérité judiciaire. En un mot, le juge ne peut prétendre avoir atteint la vérité mais, dans le respect du droit substantiel et procédural applicable, il a tout mis en œuvre à cette fin. Cette chronique a pour objet de revisiter quelques aspects de ce droit applicable au départ de l’incidence de la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme sur l’administration de la preuve dans le procès civil (J. van Compernolle). Sur ce socle consacrant « le droit à la preuve », il importe ensuite de faire le point sur les techniques d’approche de la vérité judiciaire en matière civile en examinant tant les techniques d’émergence de la vérité dans le procès que la proclamation de cette vérité dans le jugement (G. de Leval). De toutes les mesures d’instruction, l’expertise est celle qui nécessite le plus grand déploiement de moyens car prend place dans le procès judiciaire une séquence technique dont la maîtrise échappe à la compétence du juge ; l’avis de l’expert peut ainsi être déterminant dans la solution du litige (O. Mignolet). Enfin, le droit de la preuve, indépendamment des règles communes à toutes les matières, peut être influencé par la nature du contentieux. C’est ce que développent trois autres contributions : vérité et preuve pénale (L. Kennes et A. Marc), la légalité de la preuve confrontée au droit de la vie privée du salarié (F. Kéfer) et vérité et preuve fiscale (J.P. Bours). Cette matière, quotidiennement mise en œuvre par les praticiens, est bruissante de multiples ajustements aux exigences de notre époque et à la conception que nous avons du fonctionnement de la justice en ce début de XXIe siècle. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Rangé en Support Localisation Section Disponibilité Code-barres 347 .94 CUP DEL 2011 Livres Bibliothèque HELMo Campus Guillemins Libre-Accès Disponible MA040