Les bibliothèques HELMo

Documents disponibles écrits par cet auteur

Universalité du stress / Roland Platel in Evolutions psychomotrices, N°58 (Année 2002)

Public ISBD [article]  in Evolutions psychomotrices > N°58 (Année 2002) . - p. 171-177 Titre : Universalité du stress Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Roland Platel, Auteur Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 171-177 Langues : Français (fre) Mots-clés : stress  néocortex  système limbique  hypothalamus  système orthosympathique  glandes surrénales  adrénaline  glycocorticoïdes (Cortisol)  maladies de civilisation  inhibition de l'action Résumé : Après avoir rappelé la définition originelle du mot "stress", on lui reconnaît un caractère d'universalité en ce sens qu'il s'agit de la réponse que donne tout organisme à l'égard de modifications environnementales qui perturbent son existence. Dans le cas le plus fréquent où cette existence est compromise, ce syndrome général d'adaptation constitue l'expression même de la conservation de la Vie. Cependant la complexité d'organisation du monde vivant engendre et hiérarchise une multitude d'expressions du stress. Elles sont évoquées ici à propos de vertébrés, puis plus particulièrement chez les mammifères et l'homme. Si pour tous les vertébrés les structures encéphaliques et le système endocrinien (surtout surrénalien) sont associés dans l'organisation de la réponse, celle-ci s'accompagne chez les Mammifères de composantes psychiques liées à l'acquisition du néocortex et du système limbique : elles sont responsables, à des degrés divers, de l'expression de nouveaux aspects du stress. Chez l'homme enfin, psychisme élevé et contraintes sociales se combinent dans une "inhibition de l'action" préjudiciable, à l'origine de pathologies qui appellent des thérapies où la psychomotricité et la relaxation ont un rôle à tenir. [article] Universalité du stress [Livres, articles, périodiques] / Roland Platel, Auteur . - 2002 . - p. 171-177. Langues : Français (fre) in Evolutions psychomotrices > N°58 (Année 2002) . - p. 171-177 Mots-clés : stress  néocortex  système limbique  hypothalamus  système orthosympathique  glandes surrénales  adrénaline  glycocorticoïdes (Cortisol)  maladies de civilisation  inhibition de l'action Résumé : Après avoir rappelé la définition originelle du mot "stress", on lui reconnaît un caractère d'universalité en ce sens qu'il s'agit de la réponse que donne tout organisme à l'égard de modifications environnementales qui perturbent son existence. Dans le cas le plus fréquent où cette existence est compromise, ce syndrome général d'adaptation constitue l'expression même de la conservation de la Vie. Cependant la complexité d'organisation du monde vivant engendre et hiérarchise une multitude d'expressions du stress. Elles sont évoquées ici à propos de vertébrés, puis plus particulièrement chez les mammifères et l'homme. Si pour tous les vertébrés les structures encéphaliques et le système endocrinien (surtout surrénalien) sont associés dans l'organisation de la réponse, celle-ci s'accompagne chez les Mammifères de composantes psychiques liées à l'acquisition du néocortex et du système limbique : elles sont responsables, à des degrés divers, de l'expression de nouveaux aspects du stress. Chez l'homme enfin, psychisme élevé et contraintes sociales se combinent dans une "inhibition de l'action" préjudiciable, à l'origine de pathologies qui appellent des thérapies où la psychomotricité et la relaxation ont un rôle à tenir.