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Auteur Maria Melchior
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Faire une suggestion Affiner la recherche"L'accès à un mode de garde collectif est associé à moins de difficultés relationnelles ultérieures" / Nathalie Quéruel in La santé en action, Numéro 449 (Septembre 2019)
in La santé en action > Numéro 449 (Septembre 2019) . - p. 43-44
Titre : "L'accès à un mode de garde collectif est associé à moins de difficultés relationnelles ultérieures" Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Nathalie Quéruel, Auteur ; Maria Melchior, Personne interviewée Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 43-44 Langues : Français (fre) Mots-clés : Garde d'enfants Enfants -- Développement Résumé : Une enquête réalisée en France auprès de 1 428 mères-enfants conclut que l'accès à un mode de garde collectif entre 0 et 3 ans est associé à environ trois fois moins de difficultés émotionnelles ou relationnelles chez les enfants dans leur vie ultérieure, c'est-à-dire au delà de 3 ans. Un enfant fréquentant un mode de garde collectif pendant au moins un an est par la suite moins anxieux à l'école, rencontre moins de problèmes de relations entre pairs, et a un comportement prosocial (empathie, partage) plus favorable. [article] "L'accès à un mode de garde collectif est associé à moins de difficultés relationnelles ultérieures" [Livres, articles, périodiques] / Nathalie Quéruel, Auteur ; Maria Melchior, Personne interviewée . - 2019 . - p. 43-44.
Langues : Français (fre)
in La santé en action > Numéro 449 (Septembre 2019) . - p. 43-44
Mots-clés : Garde d'enfants Enfants -- Développement Résumé : Une enquête réalisée en France auprès de 1 428 mères-enfants conclut que l'accès à un mode de garde collectif entre 0 et 3 ans est associé à environ trois fois moins de difficultés émotionnelles ou relationnelles chez les enfants dans leur vie ultérieure, c'est-à-dire au delà de 3 ans. Un enfant fréquentant un mode de garde collectif pendant au moins un an est par la suite moins anxieux à l'école, rencontre moins de problèmes de relations entre pairs, et a un comportement prosocial (empathie, partage) plus favorable.
in La santé en action > Numéro 447 (Mars 2019) . - p. 23-26
Titre : Grandir sans chez-soi [Dossier : Les besoins fondamentaux des enfants] Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Stéphanie Vandentorren ; Stéphane Darbeda ; Mathilde Roze ; Maria Melchior ; Bruno Falissard Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 23-26 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sans-abri Enfants sans-abri Enfants -- Développement Bien-être Santé mentale Résumé : Vivre sans domicile a un impact dévastateur sur le développement psychomoteur des enfants et sur leur bien‑être psychologique. [article] Grandir sans chez-soi [Dossier : Les besoins fondamentaux des enfants] [Livres, articles, périodiques] / Stéphanie Vandentorren ; Stéphane Darbeda ; Mathilde Roze ; Maria Melchior ; Bruno Falissard . - 2019 . - p. 23-26.
Langues : Français (fre)
in La santé en action > Numéro 447 (Mars 2019) . - p. 23-26
Mots-clés : Sans-abri Enfants sans-abri Enfants -- Développement Bien-être Santé mentale Résumé : Vivre sans domicile a un impact dévastateur sur le développement psychomoteur des enfants et sur leur bien‑être psychologique. 
in La santé en action > Numéro 461 (Septembre 2022) . - p. 12-15
Titre : L'impact de la pandémie Covid-19 sur la santé mentale des Français Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Maria Melchior ; Judith van der Waerden ; Cédric Galéra ; Camille Davisse-Paturet ; Cécile Vuillermoz ; Alexandra Rouquette Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 12-15 Note générale : Fait partie du dossier : "Promouvoir la santé mentale des populations en temps 3 de Covid-19" Langues : Français (fre) Résumé : Tous les indicateurs scientifiques convergent : la pandémie de Covid-19 a dégradé la santé mentale de l'ensemble de la population, et tout particulièrement celle de certaines catégories : jeunes, femmes, précaires. Ainsi les jeunes (en particulier les 15-24 ans) sont-ils le groupe au sein duquel les niveaux de symptômes de dépression sont les plus élevés.
Autre résultat qui souligne le poids des déterminants de santé et des inégalités : les personnes les plus à risque de dépression tout au long de la crise sanitaire liée à la Covid-19 sont certes les étudiants, mais encore plus, parmi les 18-24 ans, les personnes qui ne sont ni en formation ni en emploi et, parmi les 25-30 ans, celles qui sont au chômage.
Les facteurs les plus fortement associés à une augmentation des symptômes de dépression ou d'anxiété pendant la crise sanitaire sont notamment des antécédents de difficultés psychologiques avant la pandémie et une dégradation de la situation professionnelle et financière.
Ces résultats soulignent les importantes inégalités sociales en matière de santé mentale dans le contexte de la pandémie de Covid-19, et le fait que certains groupes de la population, tels les jeunes ou les personnes qui ne travaillent pas, nécessitent une attention particulière en termes de prévention et d'accompagnement.En ligne : https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/sante-mentale/depres [...] [article] L'impact de la pandémie Covid-19 sur la santé mentale des Français [Livres, articles, périodiques] / Maria Melchior ; Judith van der Waerden ; Cédric Galéra ; Camille Davisse-Paturet ; Cécile Vuillermoz ; Alexandra Rouquette . - 2022 . - p. 12-15.
Fait partie du dossier : "Promouvoir la santé mentale des populations en temps 3 de Covid-19"
Langues : Français (fre)
in La santé en action > Numéro 461 (Septembre 2022) . - p. 12-15
Résumé : Tous les indicateurs scientifiques convergent : la pandémie de Covid-19 a dégradé la santé mentale de l'ensemble de la population, et tout particulièrement celle de certaines catégories : jeunes, femmes, précaires. Ainsi les jeunes (en particulier les 15-24 ans) sont-ils le groupe au sein duquel les niveaux de symptômes de dépression sont les plus élevés.
Autre résultat qui souligne le poids des déterminants de santé et des inégalités : les personnes les plus à risque de dépression tout au long de la crise sanitaire liée à la Covid-19 sont certes les étudiants, mais encore plus, parmi les 18-24 ans, les personnes qui ne sont ni en formation ni en emploi et, parmi les 25-30 ans, celles qui sont au chômage.
Les facteurs les plus fortement associés à une augmentation des symptômes de dépression ou d'anxiété pendant la crise sanitaire sont notamment des antécédents de difficultés psychologiques avant la pandémie et une dégradation de la situation professionnelle et financière.
Ces résultats soulignent les importantes inégalités sociales en matière de santé mentale dans le contexte de la pandémie de Covid-19, et le fait que certains groupes de la population, tels les jeunes ou les personnes qui ne travaillent pas, nécessitent une attention particulière en termes de prévention et d'accompagnement.En ligne : https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/sante-mentale/depres [...]
in La santé en action > Numéro 455 (Mars 2021) . - p. 20-23
Titre : Migrants en centres d'hébergement : impact de la Covid-19 et adhésion aux mesures de prévention Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Cécile Longchamps ; Simon Ducarroz ; Lisa Crouzet ; Tarik El Aarbaoui ; Cécile Allaire ; Anne-Claire Colleville ; Maria Melchior Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 20-23 Note générale : Fait partie du dossier "Migrants en situation de vulnérabilité et santé" Langues : Français (fre) Mots-clés : COVID-19 Emigrants et immigrants Hebergement (centre) Inégalité sociale Population de passage et migrants Prévention des infections Santé Résumé : L’étude ECHO évalue les connaissances, attitudes et pratiques liées à l’épidémie de Covid‑19 et mesure l’impact de cette dernière sur les personnes en situation de précarité vivant en centres d’hébergement en France, dont une grande majorité d’étrangers. Une première vague de cette étude a été menée en mai et juin 2020. Une bonne connaissance des symptômes de la Covid‑19 et une adhésion satisfaisante aux mesures de prévention et de prise en charge de l’infection (test, isolement) ont été retrouvées chez les participants nés à l’étranger. Les facteurs associés à l’adoption des comportements recommandés pour lutter contre l’épidémie au sein de cette population sont l’âge, le niveau de diplôme, la confiance dans les informations officielles et l’inquiétude vis‑à‑vis de la Covid‑19. Une proportion importante de renoncement aux soins pour des motifs non liés à la Covid‑19, une dégradation importante de la santé mentale ainsi que de la situation socio‑économique des personnes (emploi, difficultés alimentaires et administratives...) ont également été observés. [article] Migrants en centres d'hébergement : impact de la Covid-19 et adhésion aux mesures de prévention [Livres, articles, périodiques] / Cécile Longchamps ; Simon Ducarroz ; Lisa Crouzet ; Tarik El Aarbaoui ; Cécile Allaire ; Anne-Claire Colleville ; Maria Melchior . - 2021 . - p. 20-23.
Fait partie du dossier "Migrants en situation de vulnérabilité et santé"
Langues : Français (fre)
in La santé en action > Numéro 455 (Mars 2021) . - p. 20-23
Mots-clés : COVID-19 Emigrants et immigrants Hebergement (centre) Inégalité sociale Population de passage et migrants Prévention des infections Santé Résumé : L’étude ECHO évalue les connaissances, attitudes et pratiques liées à l’épidémie de Covid‑19 et mesure l’impact de cette dernière sur les personnes en situation de précarité vivant en centres d’hébergement en France, dont une grande majorité d’étrangers. Une première vague de cette étude a été menée en mai et juin 2020. Une bonne connaissance des symptômes de la Covid‑19 et une adhésion satisfaisante aux mesures de prévention et de prise en charge de l’infection (test, isolement) ont été retrouvées chez les participants nés à l’étranger. Les facteurs associés à l’adoption des comportements recommandés pour lutter contre l’épidémie au sein de cette population sont l’âge, le niveau de diplôme, la confiance dans les informations officielles et l’inquiétude vis‑à‑vis de la Covid‑19. Une proportion importante de renoncement aux soins pour des motifs non liés à la Covid‑19, une dégradation importante de la santé mentale ainsi que de la situation socio‑économique des personnes (emploi, difficultés alimentaires et administratives...) ont également été observés.
