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Les paradoxes de l'art médical / Anne-Laure Boch in Perspective soignante, Numéro 35 (Septembre 2009)

Public ISBD [article]  in Perspective soignante > Numéro 35 (Septembre 2009) . - p. 38-58 Titre : Les paradoxes de l'art médical Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Anne-Laure Boch, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 38-58 Langues : Français (fre) Mots-clés : médecine  technique  science  être  souffrance  tragique  connaissance Résumé : La médecine est liée à deux étranges paradoxes, que la modernité révèle et amplifie. Le premier paradoxe qui ronge la médecine est un paradoxe de méthode. Cette méthode, la médecine moderne la doit à une seule puissance : la science, qui décrit le corps et donne les moyens pour agir pour lui... Hors de la connaissance scientifique, point de salut, point de progrès pour la médecine. Or la science a un domaine exclusif : c'est le domaine des objets. Elle ne peut connaître que les objets, les choses. C'est sans doute sans importance quand l'objet de la science est un objet inanimé. Les difficultés commencent quand l'objet de la science est l'homme, qui est plus qu'un objet inanimé. L'homme a cette prétention : avoir une âme. Note de contenu : Du rabougrissement de l'être La médecine contre la souffrance Trois objections Un avenir tragique ? La comédie du monde Connaissance scientifique, connaissance tragique [article] Les paradoxes de l'art médical [Livres, articles, périodiques] / Anne-Laure Boch, Auteur . - 2009 . - p. 38-58. Langues : Français (fre) in Perspective soignante > Numéro 35 (Septembre 2009) . - p. 38-58 Mots-clés : médecine  technique  science  être  souffrance  tragique  connaissance Résumé : La médecine est liée à deux étranges paradoxes, que la modernité révèle et amplifie. Le premier paradoxe qui ronge la médecine est un paradoxe de méthode. Cette méthode, la médecine moderne la doit à une seule puissance : la science, qui décrit le corps et donne les moyens pour agir pour lui... Hors de la connaissance scientifique, point de salut, point de progrès pour la médecine. Or la science a un domaine exclusif : c'est le domaine des objets. Elle ne peut connaître que les objets, les choses. C'est sans doute sans importance quand l'objet de la science est un objet inanimé. Les difficultés commencent quand l'objet de la science est l'homme, qui est plus qu'un objet inanimé. L'homme a cette prétention : avoir une âme. Note de contenu : Du rabougrissement de l'être La médecine contre la souffrance Trois objections Un avenir tragique ? La comédie du monde Connaissance scientifique, connaissance tragique