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Prise en charge hospitalière de l’enfant victime de traumatisme crânien non accidentel / Morgane Sonnet in Soins Pédiatrie/Puériculture, N°322 (Septembre/Octobre 2021)

Public ISBD [article]  in Soins Pédiatrie/Puériculture > N°322 (Septembre/Octobre 2021) . - p. 10-15 Titre : Prise en charge hospitalière de l’enfant victime de traumatisme crânien non accidentel Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Morgane Sonnet ; Christian Dransart ; Anne-Pascale Michard-Lenoir ; Armelle Gayot Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 10-15 Note générale : https://dx.doi.org/10.1016/j.spp.2021.07.003 Cet article fait partie du dossier « Syndrome du bébé secoué » Langues : Français (fre) Résumé : Le bébé victime de secouement n’est pas toujours diagnostiqué lors de son premier passage aux urgences. La recommandation de bonne pratique face aux situations de syndrome du bébé secoué, publiée en juillet 2017 par la Haute Autorité de santé, permet d’aider à la pose de diagnostic et à la prise en charge de ces nourrissons par les soignants. Lorsque ce diagnostic est posé, le parcours de soins du bébé est généralement long et ponctué de multiples examens. [article] Prise en charge hospitalière de l’enfant victime de traumatisme crânien non accidentel [Livres, articles, périodiques] / Morgane Sonnet ; Christian Dransart ; Anne-Pascale Michard-Lenoir ; Armelle Gayot . - 2021 . - p. 10-15. https://dx.doi.org/10.1016/j.spp.2021.07.003 Cet article fait partie du dossier « Syndrome du bébé secoué » Langues : Français (fre) in Soins Pédiatrie/Puériculture > N°322 (Septembre/Octobre 2021) . - p. 10-15 Résumé : Le bébé victime de secouement n’est pas toujours diagnostiqué lors de son premier passage aux urgences. La recommandation de bonne pratique face aux situations de syndrome du bébé secoué, publiée en juillet 2017 par la Haute Autorité de santé, permet d’aider à la pose de diagnostic et à la prise en charge de ces nourrissons par les soignants. Lorsque ce diagnostic est posé, le parcours de soins du bébé est généralement long et ponctué de multiples examens.

Syndrome du bébé secoué, aspects juridiques / Anne-Pascale Michard-Lenoir in Soins Pédiatrie/Puériculture, N°322 (Septembre/Octobre 2021)

Public ISBD [article]  in Soins Pédiatrie/Puériculture > N°322 (Septembre/Octobre 2021) . - p. 16-17 Titre : Syndrome du bébé secoué, aspects juridiques Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Anne-Pascale Michard-Lenoir Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 16-17 Note générale : https://dx.doi.org/10.1016/j.spp.2021.07.004 Cet article fait partie du dossier « Syndrome du bébé secoué » Langues : Français (fre) Résumé : En juillet 2017, la Haute Autorité de santé publie une recommandation de bonne pratique spécifique au syndrome du bébé secoué précisant la démarche diagnostique, les mécanismes en cause dans le secouement et la datation des lésions. Cette recommandation détaille les aspects juridiques dans le cas où le diagnostic de traumatisme crânien non accidentel est posé, ainsi que la démarche à suivre pour signaler ces situations. La Haute Autorité de santé réaffirme cette recommandation en décembre 2019, insistant sur l’importance du rôle des soignants dans le repérage, le diagnostic et la prévention de ces situations. [article] Syndrome du bébé secoué, aspects juridiques [Livres, articles, périodiques] / Anne-Pascale Michard-Lenoir . - 2021 . - p. 16-17. https://dx.doi.org/10.1016/j.spp.2021.07.004 Cet article fait partie du dossier « Syndrome du bébé secoué » Langues : Français (fre) in Soins Pédiatrie/Puériculture > N°322 (Septembre/Octobre 2021) . - p. 16-17 Résumé : En juillet 2017, la Haute Autorité de santé publie une recommandation de bonne pratique spécifique au syndrome du bébé secoué précisant la démarche diagnostique, les mécanismes en cause dans le secouement et la datation des lésions. Cette recommandation détaille les aspects juridiques dans le cas où le diagnostic de traumatisme crânien non accidentel est posé, ainsi que la démarche à suivre pour signaler ces situations. La Haute Autorité de santé réaffirme cette recommandation en décembre 2019, insistant sur l’importance du rôle des soignants dans le repérage, le diagnostic et la prévention de ces situations.