[article] in L'Observatoire > 95 (Juin 2018) . - pp.55-59 Titre : | Les traumas de l’exil... | Titre original : | De la nécessité d’une clinique en santé mentale spécifique | Type de document : | Livres, articles, périodiques | Auteurs : | Paul Jacques, Auteur ; Nouné Kara Khanian, Auteur | Année de publication : | 2018 | Article en page(s) : | pp.55-59 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Femmes migration exil trauma violence communauté santé mentale | Résumé : | La Clinique de l’exil est né en 2000, au départ d’un appel à projets de la Région wallonne intitulé : « Action coordonnée dans le réseau autour des soins et des services de première ligne ». Le service a reçu un agrément comme équipe spécifique d’un Service de Santé Mentale (SSM) en 2003 et est rattaché au SSM Provincial de la Province de Namur.
La Clinique de l’exil propose des interventions cliniques transculturelles pour migrants, réfugiés et victimes de violence organisée. Elle a également une mission d’appui au réseau des équipes non spécialisées. Le service s’adresse principalement, mais pas uniquement, aux demandeurs d’asile en procédure qui sont accueillis, en grand nombre, dans les Centres d’accueil Fedasil ou Croix Rouge et dans les Initiatives Locales d’accueil des CPAS des provinces de Namur et de Luxembourg. Les langues proposées par l’équipe sont le russe, l’arménien, l’anglais, le néerlandais, le français, et, ponctuellement, le kinyarwanda, le kirundi et le swahili. Pour les autres langues, il fait appel au SeTIS wallon, un service d’interprétariat social.
L’équipe est composée de trois psychologues, d’un psychiatre et d’un secrétariat. Elle intervient pour 300 situations en moyenne par an, ce qui représente plus de 1700 prestations. |
[article] Les traumas de l’exil... = De la nécessité d’une clinique en santé mentale spécifique [Livres, articles, périodiques] / Paul Jacques, Auteur ; Nouné Kara Khanian, Auteur . - 2018 . - pp.55-59. Langues : Français ( fre) in L'Observatoire > 95 (Juin 2018) . - pp.55-59 Mots-clés : | Femmes migration exil trauma violence communauté santé mentale | Résumé : | La Clinique de l’exil est né en 2000, au départ d’un appel à projets de la Région wallonne intitulé : « Action coordonnée dans le réseau autour des soins et des services de première ligne ». Le service a reçu un agrément comme équipe spécifique d’un Service de Santé Mentale (SSM) en 2003 et est rattaché au SSM Provincial de la Province de Namur.
La Clinique de l’exil propose des interventions cliniques transculturelles pour migrants, réfugiés et victimes de violence organisée. Elle a également une mission d’appui au réseau des équipes non spécialisées. Le service s’adresse principalement, mais pas uniquement, aux demandeurs d’asile en procédure qui sont accueillis, en grand nombre, dans les Centres d’accueil Fedasil ou Croix Rouge et dans les Initiatives Locales d’accueil des CPAS des provinces de Namur et de Luxembourg. Les langues proposées par l’équipe sont le russe, l’arménien, l’anglais, le néerlandais, le français, et, ponctuellement, le kinyarwanda, le kirundi et le swahili. Pour les autres langues, il fait appel au SeTIS wallon, un service d’interprétariat social.
L’équipe est composée de trois psychologues, d’un psychiatre et d’un secrétariat. Elle intervient pour 300 situations en moyenne par an, ce qui représente plus de 1700 prestations. |
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