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De l'eutonie à la co-thérapie psychiatrique. [L'avènement du sujet. La différenciation. Dossier : Le corps différent] / Marie-Claire Guinand in Pratiques corporelles, N°92 (Septembre 1991)

Public ISBD [article]  in Pratiques corporelles > N°92 (Septembre 1991) . - p. 5-9 Titre : De l'eutonie à la co-thérapie psychiatrique. [L'avènement du sujet. La différenciation. Dossier : Le corps différent] Type de document : Livres, articles, périodiques Auteurs : Marie-Claire Guinand, Auteur Année de publication : 1991 Article en page(s) : p. 5-9 Langues : Français (fre) Résumé : Lorsqu'après ma formation, j'ai commencé à transmettre ce que j'avais reçu, je me suis trouvée confrontée à beaucoup d'interrogations. J'étais par exemple frappée par la difficulté que j'avais de parler de mon travail, à expliquer ce qu'est l'eutonie. Etait-ce vraiment parce qu'il est difficile "par définition" de parler de ce qui relève du non-verbal (il faut sentir pour comprendre), ou était-ce parce que notre pratique n'avait pas encore trouvé de conceptualisation satisfaisante ? Il m'était plus facile de dire ce que l'eutonie n'était pas. Elle ne se voulait ni méthode de gymnastique ou d'expression corporelle de plus, ni une méthode de relaxation, ni une branche de la kinésithérapie, ou de la psychomotricité, non plus une technique de médiation. L'eutonie n'était-elle qu'un complément à ces différentes pratiques ? N'avait-elle pas d'existence propre ? [article] De l'eutonie à la co-thérapie psychiatrique. [L'avènement du sujet. La différenciation. Dossier : Le corps différent] [Livres, articles, périodiques] / Marie-Claire Guinand, Auteur . - 1991 . - p. 5-9. Langues : Français (fre) in Pratiques corporelles > N°92 (Septembre 1991) . - p. 5-9 Résumé : Lorsqu'après ma formation, j'ai commencé à transmettre ce que j'avais reçu, je me suis trouvée confrontée à beaucoup d'interrogations. J'étais par exemple frappée par la difficulté que j'avais de parler de mon travail, à expliquer ce qu'est l'eutonie. Etait-ce vraiment parce qu'il est difficile "par définition" de parler de ce qui relève du non-verbal (il faut sentir pour comprendre), ou était-ce parce que notre pratique n'avait pas encore trouvé de conceptualisation satisfaisante ? Il m'était plus facile de dire ce que l'eutonie n'était pas. Elle ne se voulait ni méthode de gymnastique ou d'expression corporelle de plus, ni une méthode de relaxation, ni une branche de la kinésithérapie, ou de la psychomotricité, non plus une technique de médiation. L'eutonie n'était-elle qu'un complément à ces différentes pratiques ? N'avait-elle pas d'existence propre ?